• Ce spécimen de Requin poche a été pêché en 2010 puis congelé, pour être analysé à partir d'octobre 2013. © Mark Grace/AP/SIPA

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  • Le club Saint-Denis Émotion développe des entraînements destinés à un public malade. Sous surveillance médicale, avec des moniteurs spécifiquement formés. Les diabétiques peuvent sans risque aborder une pratique physique adaptée qui leur permet de mieux se porter.

     

     

     

     

    « C’est le docteur Frédéric Courage, licencié au club, qui nous a proposé cette initiative », explique Daniel Balme, secrétaire général de Saint-Denis Émotion (SDE), un des clubs d’athlétisme locaux (1). « Puis, nous nous sommes mis en relation avec l’association Dianefra (2) dont le but est d’aider les diabétiques dans leur vie quotidienne, aussi bien sur le plan alimentaire, le maintien en forme que les conseils plus médicaux. » 

    En octobre 2009, SDE lance cette initiative avec une quinzaine de personnes, principalement issues du centre médical municipal du quartier Plaine. Depuis le cercle s’est un peu élargi et ce n’est que le début. « Toute personne qui souhaite participer à ces activités sportives spécifiques peut le faire en s’adressant directement au club et en prenant une licence FFA Athlé santé », ajoute Daniel Balme. 

    « En fait, poursuit-il, nous développons là un axe social, certes éloigné du haut niveau. La plupart des clubs d’athlétisme proposent des activités de remise en forme générale, mais nous sommes parmi les premiers à nous adresser à ce public. Ce qui nous vaut un intérêt soutenu de la part de la Fédération française. » 

    « Une pratique à la portée de tous »


    « Il s’agit d’entraîner des personnes diabétiques, en surpoids… pour qui, en fait, il n’y a pas plus de risques que pour d’autres à pratiquer une activité physique », commente Lamine Camara, par ailleurs entraîneur du club de basket du Saint-Denis US mais qui intervient là, à la demande de SDE, avec sa casquette de formateur spécialisé.

    « Mon but est de mettre le sport, bien évidemment adapté, à la portée de tous, même de ceux qui n’ont jamais pratiqué, ou qui ont tout abandonné depuis dix ans ou plus, dit-il. Nous pratiquons le mardi soir au stade annexe du Stade de France, avec des exercices qui n’ont pas grand-chose à voir avec ce que l’on peut trouver dans les clubs privés, et le samedi matin au parc de La Courneuve, pour de la marche avec ou sans bâtons. »

    « J’aime bien parler de sport préventif », explique Lamine Camara, qui développe aussi des projets dans ce sens avec le docteur Anne-Louise Avronsart, du centre médico-sportif (3). « Dans le domaine du sport de compétition, il s’agit par exemple de faire en sorte que les blessés ne se blessent pas à nouveau. C’est toute une action à mener avec le kiné, pour la reprise d’activité… Dans le cas du diabète ou de la possible déclaration de cette maladie, c’est d’une certaine façon la même chose. Une activité sportive peut enrayer la mauvaise machine et éviter bien des complications. » 

    Premier bilan : « ça marche »


    Un point de vue qu’approuve Frédéric Courage, lui-même coureur de fond et de marathon « chez les vétérans désormais ». Ce que « nous proposons convient parfaitement aux personnes trop sédentaires, âgées de 45 ans et plus, atteintes d’obésité, de diabète, d’hypertension… qui risquent entre autres pathologies de développer des maladies cardiaques si elles ne pratiquent pas 
    d’exercice ».

    En même temps, le docteur Courage est lucide : « Il ne suffit pas de dire aux gens : ce serait bien que vous fassiez du sport. Dans notre démarche, un certificat médical d’aptitude à la pratique sportive est délivré et une diététicienne intervient pour conseiller comment changer son mode d’alimentation. Il n’est pas question là de régime à proprement parler, mais de conseils pour se nourrir autrement, avec plus de fruits et de légumes et moins de mauvaises choses… »

    Au bout de trois mois, Saint-Denis Émotion fait un premier bilan : « Ça marche ! » Frédéric Courage cite plusieurs cas, comme celui d’un homme de moins de 40 ans qui a perdu 12 kilos en trois mois (il en pesait 140) et a pu ainsi arrêter l’insuline qui fait aussi grossir (4).

    « Une pratique sportive régulière, sans être intense, permet une réelle perte de poids et la transformation de graisses en muscles.
    Particulièrement chez l’homme de moins de 50 ans, mais c’est valable pour tout le monde, y compris chez les femmes. » Puis il ajoute : « Chacun doit se prendre en main, avec le soutien du club et des soignants. Quand je vois comme l’autre samedi matin de décembre, le groupe des plus convaincus marcher sous la pluie dans le parc de La Courneuve, je me dis que nous sommes sur la bonne voie… »

    Gérald Rossi

    (1) Saint-Denis Émotion, Tél. : 01 48 2 56 81 , site :http://www.saint-denis-marathon.com/emotion.html
    (2)http://www.dianefra.fr/ 
    (3) Le centre municipal médical des sports est installé au palais des sports Auguste-Delaune, Tél. : 01 48 22 55 45  
    (4) La règle ordinaire dans un régime pour maigrir est de 2 kilos par mois.

     

    Voir vidéo sur :http://lejsd.com/index.php?s=17&r=3296

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  • Le "calculateur végétarien" mensuel ou annuel permet de calculer l'impact moyen qu'exerce la pratique du végétarisme. En fonction de la période pendant laquelle vous n'avez pas consommé de viande, le calculateur vous donne une indication de l'influence de vos habitudes alimentaires sur l'environnement.

     

    Calculez combien d'animaux vous avez déjà "sauvé" en tant que végétarien 

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  • Valeur nutritionnelle pour 100 g Chips
    Calories : 570 kcal
    ● Proteines : 5 g
    ● Glucides : 50 g
    ● Lipides : 39 g

    Famille : Corps gras

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  • Chacun sait qu'une vie saine passe par une alimentation équilibrée, de l'exercice physique, le bannissement du tabac ou encore par la limitation de la consommation de certaines substances, comme l'alcool. Et chacun sait aussi qu'une vie saine favorise la bonne santé, la longévité, réduit les risques de maladies... Alors pourquoi est-ce qu'on ne s'y met pas tous ?

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  • L'Association belge des directeurs d'hôpitaux (ABDH) souhaite pouvoir construire des bâtiments en financement propre. Dans un communiqué diffusé lundi, l'association regrette le déclin des investissements publics. Elle n'exclut pas de voir augmenter le prix des admissions pour les patients.

    Hôpitaux : "Le prix pour le patient pourrait augmenter" 

    Le docteur William Van Langegem avec un patient 

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  • Même si on sait que la routine matinale est importante pour arriver en forme au travail, on est nombreux à la négliger. Selon le magazine américain Time, bien commencer sa journée peut pourtant booster la productivité. Aussi énumère-t-il 5 erreurs à éviter lors de sa routine matinale.

    Cinq erreurs à éviter lors de sa routine matinale 

     

     

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  • Brillante, d’une belle couleur orangée, ferme, sans craquelure ni tache, voilà les signes de fraîcheur d’une carotte en bonne santé ! Présentées en botte, leurs feuilles doivent être bien vertes et surtout pas défraîchies. Sinon, passez votre chemin ! Les carottes dites « de garde » (ou « de conservation ») se conservent 8 à 10 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur ou dans une cave. Plus fragiles, les carottes primeurs doivent être consommées dans les 3 jours suivant leur achat. Pensez à ôter leurs fanes avant de les entreposer au réfrigérateur. 

     

    Une fois pelée, la carotte se plaît de l’entrée au dessert, crue ou cuite. Râpée, on l’aime en salade, mêlée à du chou blanc, de la mâche ou des noisettes. Cuite, elle se plaît en velouté, en gratin, en purée, braisée avec des aromates, ou rapidement sautée au wok avec gingembre et sauce soja. Essayez-la aussi au dessert, intégrée à un cake ou une tarte au potiron. De quoi avoir bonne mine toute l’année !

    Atouts nutritionnels  Comme la plupart des légumes racines, l’apport énergétique de la carotte est modéré (33 kcal/100g). L’un de ses principaux atouts reste son exceptionnelle richesse en carotène dont les propriétés antioxydantes agissent comme une véritable barrière contre les radicaux libres. À noter que plus la carotte est colorée, plus elle contient de carotène. À l’image de l’ensemble des fruits et légumes, elle joue un rôle bénéfique dans la prévention des maladies cardio-vasculaires et de certains cancers. La carotte apporte également des vitamines du groupe B, de la vitamine K et un peu de vitamine C, ainsi que des quantités intéressantes de sels minéraux dont du potassium, du calcium, du magnésium et du fer. Riche en fibres composées en majorité de pectine et de cellulose et bien tolérées, elle régule en douceur le transit intestinal. Pour limiter les pertes en vitamines, il est préférable de gratter les carottes sous l’eau fraîche plutôt que les éplucher, les vitamines se logeant en grande partie sous la peau. De même, mieux vaut ne pas les laisser tremper. Dans la mesure du possible, essayez de les manger plutôt crues ou peu cuites, certains nutriments étant en partie détruits à la cuisson.

     

    Salade de carottes cuites, houmous



    Pour 4 personnes
    Préparation : 15 min
    Cuisson : 20 min
    Repos : 1 heure

    Ingrédients :
    12 carottes nouvelles
    Le jus de 2 oranges


    2 cuill. à soupe d’huile d’olive
    1 demi cuill. à café de graines de coriandre
    2 pincées de cumin
    Quelques pluches de coriandre fraîche
    80 gr de cœur d’artichauts
    20 gr d’olives vertes coupées
    sel, poivre    


    Préparation
    Préparer la cuisson des carottes : presser les oranges et recueillir le jus dans un bol. Saler, poivrer puis ajouter l’huile d’olive.
    Peler et laver les carottes puis les couper en rondelles et les cuire  avec le jus d’orange, l’huile d’olive et toutes les épices jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Égoutter les carottes dans un saladier pour les refroidir.

     

    Récupérer le jus de cuisson et mettre à réduire de ½  et verser sur les carottes cuites.
    Couper la coriandre finement et les artichauts en morceaux ; ajouter au mélange.

    Laisser mariner environ 1 heure au réfrigérateur.
    Servir avec du houmous frais.

     

    Frank Fol, Le Chef des Légumes® - Architecte Culinaire.
    Depuis maintenant plus de 25 ans, Frank Fol, le Chef des Légumes, est actif dans le domaine des fruits et légumes. En tant que pionnier culinaire, il sait mieux que quiconque comment le goût peut convaincre dans un style de vie équilibrée. Il accompagne EXKi, qui s’est laissé séduire par sa philosophie « Pensez Légumes ! Pensez Fruits ! », en tant que chef consultant depuis maintenant 14 ans. Le Chef des Légumes est né amoureux des fruits et légumes. Les odeurs, les goûts, les couleurs ; uniques, véritables et animés. Mais les légumes sont aussi la pierre angulaire d’une alimentation saine et équilibrée. Les légumes ont le droit d’endosser le rôle de « super star », pas seulement pour la cuisine, mais aussi pour leur aspect sain. Pensez Légumes ! Pensez Fruits !® est la plateforme internationale du Chef des Légumes®.

    Le Chef des Légumes a précisé cette vision dans sa philosophie et a prêché la bonne parole à travers l’Europe et même le monde. Son dernier accomplissement est la sortie du Gault&Millau Vert !

    Restez au courant des dernières informations ou regardez comment particip  http://www.pensezlegumes-pensezfruits.info/
    http://www.psychologies.be/fr/_/slowlife/recettes/la-carotte-un-l%C3%A9gume-de-caract%C3%A8re-r1872
     
     
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  • (illustration)

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  • Les nouveaux résilients (6/7) : le sourcier indien

    Humidifier les racines grâce à de simples bouteilles d'eau plantées dans le sol. C'est le système inédit et peu coûteux développé pour contrer les sécheresses par Gopal Komandur et l'ONG Centre for Environment Concerns.

     

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  • Les nouveaux résilients (5/7) : le marchand de carbone

    En République démocratique du Congo, Olivier Mushiete Nkole s'est lancé dans un vaste programme d'agroforesterie. Et pour financer les investissements initiaux nécessaires, il a fait appel au marché carbone.

     

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  • Les nouveaux résilients (4/7) : la militante antibrûlis

    Au Cameroun, l'agriculture sur brûlis fait des ravages et accélère la déforestation. Dans un village du bassin du Congo, des jeunes gens apprennent aux paysans à planter des vergers écologiques et à diversifier leurs revenus.

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  • Les nouveaux résilients (3/7) : le VRP du hanza mal-aimé

    Au Niger, on dénigre certaines plantes autochtones. Or, elles sont parfois les plus aptes à résister aux épisodes de sécheresse. Josef Garvi s’est donné pour mission de redorer leur réputation.

     

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  • Qu'est-ce que le cancer de la thyroïde ?

    femme

    La thyroïde est une glande située à la base du cou, sous la pomme d’Adam. Elle est constituée de deux lobes, de part et d’autre du larynx. Les hormones thyroïdiennes jouent un rôle important, notamment dans le maintien de la température corporelle, le rythme cardiaque et la croissance osseuse.

    On parle de cancer de la thyroïde lorsque des cellules cancéreuses apparaissent dans la glande thyroïde et forment une tumeur maligne. Selon le type de cellules concernées, il existe plusieurs formes de cancer de la thyroïde, de gravité variable. Environ 90 % des cancers de la thyroïde se présentent sous la forme d’un nodule.

    Aujourd’hui, en France, le taux de survie cinq ans après le diagnostic d’un cancer de la thyroïde (dans ses formes les plus courantes) est de 94 %.

    Le cancer de la thyroïde est-il une maladie fréquente ?

    En France, environ 4.000 nouveaux cas de cancer de la thyroïde sont diagnostiqués chaque année, dont 75 % chez des femmes. L’âge moyen au moment du diagnostic est de 50 ans.

    En France, entre 1995 et 2005, le nombre de cas de cancer de la thyroïde diagnostiqué chaque année (rapporté au nombre d’habitants) a augmenté de 83 % chez les hommes et de 81 % chez les femmes, probablement en lien avec la découverte de meilleurs moyens de diagnostic.

    Qui est à risque de cancer de la thyroïde ?

    Certains facteurs de risque de cancer de la thyroïde ont été identifiés :

    • l’exposition de la thyroïde à des radiations ionisantes, en particulier pendant l’enfance (radiothérapie anticancéreuse de la tête et du cou, exposition à des substances radioactives, etc.) ;
    • la présence d’une autre maladie de la thyroïde comme un goitre ou un nodule, lorsque cette maladie n’est pas prise en charge médicalement ;
    • une prédisposition familiale.

    Peut-on dépister le cancer de la thyroïde ?

    Il n’existe pas de dépistage systématique du cancer de la thyroïde. Dans 25 % des cas, le diagnostic est fait de façon fortuite, à l’occasion du suivi d’une autre maladie de la thyroïde. Les autres circonstances qui peuvent amener à un dépistage sont la présence palpable d’un nodule dans la thyroïde ou de ganglions enflés dans le cou, ou une modification de la voix.

    Quels sont les symptômes du cancer de la thyroïde ?

    Pendant les premiers mois de la maladie, le cancer de la thyroïde passe inaperçu. Lorsqu’il est à un stade plus avancé, le cancer de la thyroïde peut provoquer un nodule palpable ou visible à la base du cou. Néanmoins, 95 % des nodules de la thyroïde ne sont pas des cancers. D’autres symptômes peuvent évoquer un cancer de la thyroïde :

    • l’apparition d’une voix rauque ;
    • des difficultés pour avaler ou pour respirer ;
    • des douleurs dans le cou ou la gorge ;
    • des ganglions lymphatiques gonflés à la base du cou.

    Le diagnostic du cancer de la thyroïde

    Le diagnostic des cancers de la thyroïde se fait généralement soit à la suite de la découverte d’un ou de plusieurs nodules thyroïdiens (qui peuvent être décelés par une palpation du cou), soit lors d’un examen pour une autre maladie de la thyroïde. Lorsque le médecin suspecte la présence d’un cancer de la thyroïde, divers examens peuvent être pratiqués pour confirmer le diagnostic :

    • une échographie du cou et de la thyroïde ;
    • une prise de sang pour doser les hormones thyroïdiennes (T3 et T4) et la thyréostimuline (TSH, l’hormone sécrétée par le cerveau qui contrôle l’activité de la thyroïde) ;
    • un prélèvement, à l’aide d’une aiguille extrafine, de cellules de la thyroïde pour examen au microscope (cytoponction) ;
    • parfois, une scintigraphie, une sorte de radiographie effectuée après avoir administré de l’iode radioactif qui marque les cellules de la thyroïde.

    Lors d’une suspicion de cancer médullaire de la thyroïde, d’autres examens complémentaires peuvent être pratiqués : scanner (tomodensitométrie) pour repérer d’éventuels autres cancers, examens génétiques pour dépister une forme héréditaire ou mesure d’une protéine sécrétée par les cellules cancéreuses, l’antigène carcino-embryonnaire (ACE).

    Les traitements du cancer de la thyroïde

    Le traitement du cancer de la thyroïde fait appel à la chirurgie pour enlever tout ou partie de la thyroïde (thyroïdectomie totale ou partielle) et à l’administration d’iode 131 (irathérapie), une forme de radiothérapie agissant par voie interne directement sur les cellules de la thyroïde. Rarement, un traitement par radiothérapie externe est également administré. Des thérapies ciblées (destinées à freiner la prolifération des cellules cancéreuses) sont à l’étude dans des essais cliniques.

    L’ablation de la totalité de la thyroïde impose au patient de prendre des hormones thyroïdiennes (le plus souvent seulement la T4) toute sa vie. Pour trouver le dosage correct en T4, des prises de sang sont régulièrement effectuées pour doser les hormones thyroïdiennes et la TSH.

    http://www.pourquoidocteur.fr/Cancer-de-la-thyroide-894.html
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  • Le maïs est-il économe en eau (à Sivens et ailleurs) ?

    Dénoncée par les opposants au barrage du Tarn, la céréale est ardemment défendue par l'industrie agroalimentaire. Et si la plante n'avait tout simplement rien à faire en France ?

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  • Pourquoi éternue-t-on lorsqu'on regarde le soleil ? Pourquoi 10% de la population est-elle gauchère ? Même les scientifiques n'ont pas de véritables réponses à ces dix mystères du corps humain.

     

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