• View image on Twitter

    http://www.levif.be/actualite/insolite/joyeux-noel-voici-comment-on-le-souhaite-dans-toute-l-europe/

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Injectées repas combinées insulines longue durée, insulines ultra-rapides contrôlent mieux glycémie.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • Vous avez invité toute la famille pour le repas sacré du réveillon. Mais surprise : votre neveu a récemment adopté un régime végétarien ! Que faire ?

     

    Un végétarien à la table du réveillon, que faire?

     

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • L'OEUF COLUMBUS SPORT :

    L'oeuf Columbus Vision

    Le sport est source de bien-être. L'oeuf Columbus Sport met l'accent sur sa richesse en antioxydants (Vitamine E, Sélénium) qui contribuent à la protection des cellules contre le stress oxydatif (1).

     

     Valeurs nutritionnelles moyennes par 100 g sans coquille


    AJR*
    Energie 630 Kj / 150 Kcal  
    Protéines 12.50 g  
    Glucides (dont sucres) 0.10 g (0.10 g)  
    Lipides (dont)
    10.0 g  
    Saturés 2.64 g  
    Monoinsaturés 3.52 g  
    Polyinsaturés (dont) 2.64 g  
    Omega-6 1.32 g  
    Omega-3 (dont) 1.32 g  
    ALA 1.10 g  
    EPA + DPA + DHA 220 mg  
    Fibres alimentaires
    0.00 g  
    Sodium 0.12 g  
    Sélénium 28 μg 50 %
    Iode 75 μg 50 %
    Vitamine E 10 mg 83 %
    Vitamine B12 0.88 μg 35 %
    Folate (Vitamine B9) 60.00 μg 30 %
    *Apport Journalier Recommandé



    Garantie

    Belovo SA donne les meilleurs soins à la production des oeufs Columbus. Les oeufs doivent arriver dans un état impeccable.

    Si, malgré tous nos soins, vous n'êtes pas satisfaits, envoyez les informations marquées sur l'emballage + le ticket de caisse à :
    Belovo SA, Zoning 1, rue de la Fagne d'Hi 43 - B-6600 BASTOGNE - Belgique ou support@columbus-egg.be

    (1) Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée et d'un mode de vie sain (accompagné d'une activité physique régulière).

     

    http://www.columbus-egg.be/fr/gamme/oeuf-sport.html

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Pourquoi sommes-nous souvent déprimés en hiver ?

    Pourquoi sommes-nous souvent déprimés en hiver ?

    Les chercheurs du National Institutes of Health (NIH) ont découvert, dans les années 80, la forte dépendance du corps à la lumière du jour. Leurs recherches ont notamment confirmé que le manque de lumière durant l’hiver pouvait provoquer des troubles de l’humeur. La lumière bloque la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil, et favorise la sécrétion de sérotonine, une hormone qui agit contre la dépression. 

    Aujourd’hui, plus de 18% de la population québécoise et plus de 15% de la population française souffrent de déprime hivernale, qui lorsque les symptômes persistent, peut devenir une dépression saisonnière.

    Les symptômes de la déprime hivernale rendent le quotidien plus pénible. Une fatigue, un manque d’entrain, une tendance à rester enfermé(e),  de la paresse, de la morosité, de la mélancolie et de l’ennui ont tendance à se faire ressentir…  mais ne sont pas irrémédiables. Découvrez nos conseils pour lutter contre les petits coups de blues de l’hiver.

    Pratiquer une activité physique

    Pratiquer une activité physique

    La marche matinale devrait être un réflexe automatique ! Profitez de la lumière du jour qui favorise la sécrétion de sérotonine en marchant durant 15 à 20 minutes. L’air frais permettra en plus de démarrer la journée du bon pied !

    En plus de réveiller même les plus endormis, la marche est recommandée pour être en bonne santé. Bouger permet de désintoxiquer son corps, de diminuer son niveau de stress et de se sentir mieux dans sa peau. Une activité physique quotidienne de faible ou de moyenne intensité est conseillée ainsi que de 1 à 2 séances hebdomadaires d’activité physique d’intensité élevée.

    Egayer son environnement

    Egayer son environnement

    La musique. Même si les paroles des chansons mélancoliques sont très belles et agréables, elles n’égayent pas toujours nos journées ! Écouter une musique entraînante, avec un rythme qui donne envie de danser, permet de se sentir plus heureux et plus motivé tout au long de la journée. Pour en savoir plus, consultez également notre fiche musicothérapie.

    Les vêtements. Contre la déprime hivernale, il est conseillé de privilégier les couleurs vives et d’éviter de porter tous les jours du gris ou du noir, des couleurs qui ne sont pas toujours synonymes de bonne humeur. Même si le soleil n’est pas au rendez-vous pendant l’hiver, n’hésitez pas à porter des couleurs vives qui mettront un peu d’été dans votre quotidien et dans celui des gens que vous côtoyez.

     

    Miser sur l'alimentation

    Miser sur l'alimentation

    En été, l’exposition au soleil peut procurer jusqu’à 90 % de l’apport quotidien recommandé en vitamine D. En hiver, le risque de carence est plus élevé : il est donc conseillé de pallier le manque de soleil en ayant une alimentation riche en cette vitamine. En effet, un manque de vitamine D pourrait être responsable de symptômes dépressifs, d’après la revue International Archives of Medecine. Pour cela, misez sur le saumon, le thon, la truite, le hareng, le lait de vache et les boissons de soja qui en sont d’excellentes sources. Si une carence en vitamine D est identifiée, des suppléments alimentaires peuvent également être pris. Pour les personnes en bonne santé de moins de 50 ans, une dose de 400 UI à 1 000 UI (10 à 25 µg) de vitamine D par jour est conseillée. Pour les personnes de plus de 50 ans, il est plutôt recommandé de prendre un supplément de 800 UI à 2 000 UI (20 à 50 µg) de vitamine D quotidiennement.

    Ensuite, les combinaisons de plantes comme le millepertuis, un antidépresseur, et le romarin, un antioxydant et un stimulant du système nerveux, aident à la régularisation de l’humeur et à la prévention de la dépression. Il suffit de faire bouillir une tasse d’eau et d’y infuser pendant 10 minutes une cuillère à soupe de feuilles de romarin et une cuillère à soupe de fleurs de millepertuis. Cette tisane peut être consommée deux à trois fois par jour.

     

    Essayer la luminothérapie

    Essayer la luminothérapie

    La luminothérapie donne de bons résultats sur la déprime hivernale. Il s’agit de s’exposer quotidiennement à la lumière blanche d’une lampe étudiée pour imiter celle du soleil. La luminothérapie favorise de manière artificielle, la sécrétion de sérotonine et peut ainsi rétablir les dérèglements de l’horloge biologique et les troubles de l’humeur. Ce traitement est considéré comme un remède médical fiable et est reconnu par la communauté scientifique.

    http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=deprime-hiver

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

    Cécile Coumau

    Publié le : 29 Décembre 2013 par

    Nos ancêtres, il y a 4000 ans, souffraient aussi d’athérosclérose, ces plaques de graisse qui bouchent et abîment nos vaisseaux sanguins…

    C'est étonnant parce que jusqu’à présent, on a l’habitude de dire que ces problèmes cardio-vasculaires qui sont responsables des infarctus ou des AVC sont liés à nos habitudes de vie moderne, telles que le manque d’activité physique, la nourriture trop riche en graisse, le tabagisme… Si bien que lorsque qu’une équipe de chercheurs s’est intéressée à l’état des artères de momies datant de plus de 4000 ans, ils ne s’imaginaient pas découvrir des résidus de plaques d’athérosclérose dans leurs aortes, dans leurs artères fémorales ou iliaques…


    Comment ont-ils fait pour les voir ?

    C’est tout simple ils ont utilisé les techniques d’imagerie médicale, en l’occurrence des scanners. Et ils ont ainsi ausculté les corps entiers de plus de 130 momies provenant de plusieurs civilisations différentes, l’Egypte bien sûr, mais aussi du Pérou, ou bien de l’Alaska…


    Donc, autant de modes de vie différents…

    Exactement, par exemple, on considère que les momies égyptiennes sont en général issues de la haute société, plutôt mieux nourries et moins actives, donc rien à voir avec les momies d’Alaska issues d’un peuple de chasseurs cueilleurs habitués à se déplacer dans les conditions climatiques extrêmes…


    Donc qu’est-ce qui explique la présence de l’athérosclérose ?

    Pour le moment, nous n’avons pas vraiment la réponse. Certains spécialistes estiment que c’est peut-être lié au vieillissement. Mais pour les auteurs de ce travail qui a été présenté au Congrès américain de cardiologie, le fait de retrouver autant d’athérosclérose chez des civilisations anciennes, et aussi variées, donne juste une certitude : les médecins n’ont pas encore levé le voile sur tous les mécanismes impliqués dans ces problèmes cardio-vasculaires.


    Est-ce que cela signifie qu’on peut se précipiter sur un hamburger géant, et un gros paquet de frites huileuses ?

    Evidemment non ! Il ne faut pas se dire que le cholestérol n’est qu’une fatalité, qu’il n’y a pas besoin de faire attention à son hygiène de vie… Car le danger est toujours là : avoir des plaques de graisses dans ces artères conduit forcément, et cela qu’elle que soit l’époque, à un risque d’infarctus ou d’accident vasculaire cérébral…

     

    http://www.pourquoidocteur.fr/Nos-ancetres-souffraient-d-atherosclerose-2258.html

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Anti-inflammatoire naturel, la gaulthérie est particulièrement reconnue, en aromathérapie, pour soulager les douleurs musculaires, les rhumatismes, l'arthrite… Elle est aussi hépato-stimulante.

    Qu’est-ce que l’huile essentielle (HE) de gaulthérie ?

    La gaulthérie (gaultheria procumbens en latin, appelée aussi gaulthérie couchée) est un petit arbuste d’environ 10 cm, pouvant atteindre jusqu’à 16 cm. Ses feuilles, odorantes, ont la forme de petites cloches. Elles sont finement dentées et assez coriaces.

    La gaulthérie porte en période estivale des fleurs blanches à rose pâle, situées à la base des feuilles. En hiver, elle dispose de baies de couleur rouge écarlate. Ses fruits comportent une essence aromatique appelée wintergreen. La gaulthérie fait partie de la famille des éricacées.

    La gaulthérie est originaire de Chine et d’Amérique du Nord, mais on peut également la trouver en Australie. Elle pousse principalement sur des sols sableux, dans les bois, les pentes montagneuses ensoleillées et les marais acides.

    L’huile essentielle de gaulthérie est obtenue par distillation de ses feuilles et de ses baies.Elle est habituellement de couleur rouge foncé à pourpre. Son odeur est caractéristique : douce et camphrée.

    Principaux composés de l’huile essentielle de gaulthérie : salicylate de méthyle.

    Quels sont les bienfaits de l’huile essentielle de gaulthérie ?

    L’huile essentielle (HE) de gaulthérie a des propriétés calmantes, antispasmodiques, vasodilatatrices, antiseptiques, digestives, anti-inflammatoires, antitussives et stimulantes.

    Elle est aussi hépato-stimulante et antidouleur.

    Plus généralement, l’huile essentielle de gaulthérie régénère les cellules du foie (en cas d’insuffisance hépatique) et agit positivement sur les tendinites, crampes, tennis-elbow, golf-elbow, arthrites, polyarthrites, arthroses, rhumatismes et contractures musculaires. A lire aussi : 4 solutions naturelles pour soulager les crampes

    Elle est aussi utilisée pour apaiser l’hypertension, les lithiases (calculs) rénales et vésicales. Elle calme les frustrations lors de comportements compulsifs (boulimie) et renforce la confiance en soi. Elle est également préconisée en cas de cellulite, d’affections névralgiques (faciales, par exemple) et de sciatiques.

    Utilisation de l’huile essentielle de gaulthérie

    Voici quelques exemples d'utilisation de l'huile essentielle de gaultherie, en massage, en diffusion et dans le bain.

    En massage 

    • Afin de calmer les fatigues dues à une insuffisance hépatique, mélangez une goutte d’huile essentielle (HE) de gaulthérie à une goutte d’huile essentielle de citron dans deux à quatre gouttes d’huile végétale d’amande douce. Massez au niveau du foie pendant une vingtaine de minutes, jusqu’à absorption de la préparation après le repas du soir. Renouvelez ce massage pendant vingt et un jours.

    • Si une dent vous fait souffrir, vous pouvez mélanger une goutte d'HE de gaulthérie à quatre gouttes d’huile végétale (amande douce, par exemple) et masser la joue du côté de la dent douloureuse.

    • Pour calmer les douleurs liées à des rhumatismes, mélangez une goutte d'HE de thym, une goutte d'HE de gaulthérie et une goutte d'HE de basilic exotique à trois gouttes d’huile végétale de noisette. Pratiquez un massage sur les zones douloureuses trois fois par jour.
      A lire aussi : Les plantes qui soulagent les rhumatismes

    • En cas d’entorses, afin d’apaiser la douleur, préparez un mélange de dix gouttes d’huile essentielle de gaulthérie, dix gouttes d’huile essentielle de romarin officinal, cinq gouttes d’huile essentielle de laurier noble dans 15 ml d’huile végétale de macadamia ou d’amande douce. Déposez quelques gouttes en massage doux sur les parties douloureuses.

    En diffusion

    Pour réchauffer une ambiance et mettre de l’optimisme dans une pièce, mélangez trois gouttes d'HE de gaulthérie, cinq gouttes d'HE de lavandin et cinq gouttes d'HE de pamplemousse.

    Laissez diffuser la préparation dans un bol ou un diffuseur (produits disponibles dans la plupart des grandes surfaces).

    Dans le bain

    Pour détendre les muscles et apaiser les contractures, mélangez à une base neutre (de type huile végétale d’amande douce, par exemple) dix à douze gouttes d’huile essentielle de gaulthérie et incorporez la préparation à l’eau du bain.

    Les contre-indications de l’huile essentielle de gaulthérie

    • L’utilisation de l’huile essentielle de gaulthérie est déconseillée pendant toute la durée de la grossesse et durant l’allaitement.

    • Elle est contre-indiquée chez les enfants de moins de six ans.

    • Utilisée pure ou à trop forte dose, l’huile essentielle de gaulthérie peut provoquer des irritations cutanées. En préalable à tout usage, il est donc recommandé de tester votre tolérance à cette huile en l’appliquant en faible dose au creux de votre coude.

    • Si vous ne supportez pas l’aspirine, il vous est déconseillé d’utiliser l’huile essentielle de gaulthérie par voie interne.

    Attention : les huiles essentielles ne conviennent pas à tout le monde ! Les sujets atteints de maladies chroniques et les personnes âgées doivent demander l’avis d’un médecin avant d’utiliser des huiles essentielles.
    A lire aussi : la fiche sur l'aromathérapie

     

    http://www.santemagazine.fr/huile-essentielle-de-gaultherie-gaultheria-procumbens-fiche-aromatherapie-38935.html

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • La vie d'une blogueuse est régulièrement ponctuée d'invitations à venir découvrir un nouveau produit très certainement révolutionnaire, d'un nouveau lieu qui deviendra à coup sûr le 'Place To Be' et de présentations sur des sujets divers et variés... Nous essayons de faire un tri très sélectif lorsque nous recevons ce genre d'invitation. Malgré tout, nous sommes aussi amenées à faire de belles rencontres et à apprendre mille et une choses autour de la cuisine. Lorsque nous avons reçu une invitation pour rencontrer Martine Fallon, je peux vous dire qu'il ne nous a pas fallu 2 secondes pour y répondre positivement ! Nous nous rendons bien compte de la chance que nous avons car ce genre d’événement n'est réservé, en général, qu'à une poignée de chanceux !

    Nous voici donc en route pour aller écouter ce petit bout de femme, pleine de vie et d'enthousiasme. C'est le stylo affûté et l'oreille attentive que nous essayons de capter tout ce que Martine a bien voulu partager avec nous le temps d'un délicieux lunch.

    Martine est tombée dans la cuisine de l'Energie suite à une vie bien (trop) remplie. Elle était à la tête d'une affaire de prêt-à-porter, avait une vie sociale très VIP, maman d'une petite fille et femme accomplie... telle une geisha, elle menait tout de front... S'en suit, comme beaucoup de femme malheureusement, un burn-out et un très grave accident de la route. Pour lui permettre de reprendre sa vie en main et de surmonter ces moments difficiles, elle décide de se tourner vers la diététique énergétique. Elle découvre ainsi la magie austère du riz et du poisson vapeur. Triste assiette, triste pensée! Malgré tout, elle constate que ça fonctionne; la voici maintenant avec une énergie débordante ! Elle décide alors de transformer ces recettes si tristes en petits plats terriblement gourmands. Elle fait la part belle aux fruits et légumes de saison, aux poissons et viandes de qualité et cherche dans les épices cette touche d'inattendu qui rendra tous ces produits irrésistiblement délicieux...

    A cette époque, c'est aussi la période noire de la vache folle. Ses amis se tournent vers elle pour qu'elle puisse les aider à transformer leur alimentation et pour qu'elle leur apprenne les bases de la diététique énergétique sous couvert de ses délicieuses recettes. Sa nouvelle voie était donc toute tracée. Elle allait donner des cours, animer des présentations, proposer des cures détox et même écrire des livres sur le sujet... et ça marche ! Martine nous livre une cuisine saine, savoureuse, pleine d'énergie qui nous permettra de retrouver une vitalité perdue, de perdre quelque kilos au passage (mais juste ce qu'il faut) et de revivre en pleine santé. Il est bien connu que nous sommes ce que nous mangeons ! Cette petite phrase, toute simple, illustre tellement bien le message que Martine nous envoie.

    Les bases de la cuisine de l'énergie consistent à éviter autant que possible les aliments acidifiants et à préférer les aliments basiques,  à se nourrir de bons fruits et légumes (pas moins de 700 gr par jour et par personne et issus de l'agriculture biologique idéalement) et à dissocier les aliments au cours du repas pour éviter les désagréments d'une digestion compliquée.

    Notre état cellulaire dépend directement de nos choix alimentaires. Dans l'alimentation, nous trouvons des aliments acides qui sont par définition corrosifs. Ces aliments contiennent des minéraux acides comme le soufre, le chlore, le phosphore... Les aliments basiques contiennent eux des minéraux alcalins comme le magnésium, le potassium, le calcium... Le taux d'acidité dépend d'un aliment à l'autre mais aussi d'une saison à l'autre, de sa maturité et de sa fraîcheur (par exemple, une tomate cueillie en hiver sera acide alors que cueillie en été et à maturité, elle sera tout à fait correcte).

    Pour savoir si un aliment est acide ou basique, nous ne fierons pas à son goût : le citron qui est acide au goût et un aliment basique à consommer sans modération et le sucre blanc, si doux pour nos papilles, est une bombe acide ! La méthode de conservation, de préparation et de cuisson d'un aliment a aussi toute son importance. C'est bien dommage de choisir de beaux légumes de saison d'une fraîcheur irréprochable si nous le tuons avec une cuisson trop forte... privilégions les cuissons basse température, la vapeur douce, la déshydratation...

    Notre corps, pour fonctionner correctement a besoin de neutraliser l'acidité. Si nous ne lui donnons pas suffisamment de bases, il compensera en puisant dans nos tissus, nos os ou nos neurones par exemple... Mais ces réserves ne sont pas inépuisables ! Bref, c'est le vieillissement assuré ! Cela explique pourquoi autant de personnes souffrent d'ostéoporose, de rhumatisme, d'eczéma, de démangeaisons, de rides, de pertes de cheveux, de ballonnements, de fatigue, de perte d'immunité et d'énergie (pour ne citer que cela). Tous les aliments acides ne sont pas à fuir pour autant ! A nous de trouver le juste équilibre... Par exemple, les protéines (acide) nous sont essentielles pour composer une assiette équilibrée et pour la construction cellulaire. Il n'est donc pas nécessaire de les chasser de notre alimentation mais de bien les choisir, d'en manger en petite quantité tous les jours et de choisir une cuisson douce pour ne pas l'agresser. Idem pour les céréales (on les choisira complètes), elles sont indispensables pour nous assurer notre apport en glucose et ses fibres nous évitent les fringales (qui nous pousserons inévitablement vers des aliments super acides!). On essayera de consommer 75% d'aliments basiques et 25% d'aliments acides.

    Pour s'y retrouver entre les éléments basiques et acides, Martine nous livre une petite liste bien utile : 

    Les aliments très basiques : les légumes à feuilles vertes, les légumes et fruits frais (- de 2 jours de récolte), graines germées et jeunes pousses, algues, citrons, amandes pelées et pré trempées, avocats, châtaignes et noix, huîtres... 

    Les aliments basiques : Les légumes frais (+de 2 jours de récolte), olives noires, riz complet, quinoa, maïs, légumineuses germées, huiles de première pression, pommes de terre, oeufs, pêches, bananes, pommes, poires, figues, mirabelles, melons, grosses fraises, raisins, dattes, raisins secs, laits végétaux, thés verts... 

    Les aliments acides (mais avec un bonus santé) : Rhubarbes, tomates, épinards, cresson, olives vertes, champignons, asperges, pain complet au levain, légumineuses, miel, fruits secs (sauf amandes pelées et pré trempées), fruits hors saison, groseilles, cassis, framboises, petites fraises, ananas, poisson et poulet,...

    Les aliments acidifiants (à consommer avec modération) : Protéines animales, produits laitiers et crustacés, pains, pâtes, légumineuses non germées, ... 

    Les aliments très acidifiants (à ne pas consommer) : conserves, sucre blanc et dérivés, chocolats et confiseries, pâtisseries, alcool, ketchup, mayo industrielle, sauce salade, café et thé noir, huiles transformées, jus de fruits en conserve, sodas, préparations industrielles, ... 

    La dissociation des aliments nous permettra aussi de nous sentir mieux. En effet, l'organisme a besoin de certaines enzymes pour digérer correctement les aliments. Lorsque nous ingérons toutes sortes d'aliments à la fois, le corps ne parvient pas à trouver les enzymes correspondant à chaque nutriment (c'est un peu le bazar dans l'estomac)... de plus certaines enzymes vont se neutraliser l'une l'autre et donc la digestion devient plus compliquée avec les désagréments qui vont avec. Par pallier à cela, Martine nous suggère d'associer certains aliments pour optimiser l'action des enzymes. Voici le BA.BA à retenir sur la dissociation des aliments : le cru avant le cuit (nous avons  besoin des enzymes du cru pour digérer le cuit) / pas d'eau pendant le repas (trop de liquide dans l'estomac va diluer les sucs gastriques et réduire l'efficacité de la digestion) / légumes + céréales à midi / protéines + légumes le soir / pas de fruits pendant ou après le repas (sauf pomme, ananas et papaye qui possède les enzymes pour digérer les protéines et pour éviter la fermentation) / pas de fruits doux (banane, figues, mangues) avec des fruits acides (fraises, ananas, grenade) / pas de mélange de produits laitiers avec des protéines animales / éviter d'associer différentes protéines animales au cours d'un même repas (évitons donc l'entrée de poisson et le steak en plat) / pas de légumineuses avec des protéines animales (par contre, on les associe avec les céréales).

    Concernant les sucres, c'est simple, on les évite autant que possible !!!

    Outre le fait de 'faire le ménage' dans notre assiette, pourquoi ne le ferions-nous pas dans notre vie quotidienne, on s'octroie donc de belles balades au grand air et on se décide (enfin) à pratiquer une activité sportive douce (c'est bientôt les bonnes résolutions, pourquoi ne pas décider de prendre soin de soi... c'est tout le bon qu'on vous souhaite déjà pour 2015!).

    Malgré les apparences de tout ce qui est expliqué ci-dessus, Martine ne nous impose pas de suivre ces préceptes à la lettre. Elle ne souhaite pas que nous devenions des ayatollahs de la cuisine énergétique mais juste que nous intégrions ces principes dans notre vie de tous les jours (qu'elles deviennent de bonnes habitudes de vie) et surtout, nous permettre, de temps en temps, un bon poulet rôti en famille ou un chouette resto avec les copines... c'est aussi ça prendre soin de soi. Savoir ce qui est bon pour nous sans pour autant nous priver de tout le reste... Un bel équilibre à adopter pour (re)devenir des êtres sains, bourrés d'énergie et d'amour !

    Voici donc en résumé, ce que nous avons appris. Autant vous dire que ce n'est qu'une synthèse, il y a encore tellement à dire ! Nous ne souhaitons pas ici vous dire ce qui est bien et ce qui est mal en matière de nutrition (nous ne sommes pas nutritionnistes) mais juste vous transmettre un peu de notre enthousiasme par rapport à cette cuisine si riche en saveurs.

    Pour vous mettre l'eau à la bouche, voici le menu proposé par Martine ce jour-là (ce qui a fini par totalement nous convaincre) : mousse de betterave au raifort et pain esseinien, rouleaux de printemps aux légumes crus de saison et sa petite sauce au tamari, soupe d'orties (super fraîches, juste cueillies le matin même), poisson blanc et ses légumes croquants au curry doux, cheesecake aux mûres et noix (gâteau cru réalisé par Dilara Feray, la fille de Martine). Et pour ne pas repartir les mains vides, Martine nous avait préparé des petits sachets de mélange d'épices aux algues que j'ai pris beaucoup de plaisir à parsemer sur mes légumes vapeurs les semaines qui ont suivis ce lunch. Je vous laisse la recette ici (qui sera du plus bel effet sur vos tables de fêtes ou comme petit cadeau gourmand à offrir à vos proches ;-) ) 

     

    Mélange d'épices aux algues de Martine :

    Blindez grossièrement 1 cas de coriandre en grain, 1 cas de baies de poivre rose, 1 càs de sel rose (dernièrement, je l'ai refait avec de la fleur de sel), 1 cas de piment d’Espelette, 4 càs de salade du pêcheur (mélange d'algues séchés en vente en magasin bio). Mettez et pot et placez-le à table. Ce mélange est idéal pour les légumes cuits à la vapeur ou le riz et les pâtes... 

     

    // écrit par nath // 6 décembre 2014

    © mi'dinettes  

     

    Si vous souhaitez aller plus loin et découvrir les délicieuses recettes de Martine Fallon, nous ne pouvons que vous conseiller de vous procurer son dernier livre 'La cuisine de l'Energie' aux Editions Les Arènes (mon préféré de cet auteur) et de vous inscire à sa page Facebook (elle n'est pas radine en infos et recettes ;-) )

     

    http://www.midinettes.be/index.php?option=com_content&view=article&id=449:la-cuisine-de-lenergie-de-martine-fallon&catid=93:decembre&Itemid=51

     

    * Si vous souhaitez aller plus loin et découvrir les délicieuses recettes de Martine Fallon, nous ne pouvons que vous conseiller de vous procurer son dernier livre 'La cuisine de l'Energie' aux Editions Les Arènes (mon préféré de cet auteur) et de vous inscire à sa page Facebook (elle n'est pas radine en infos et recettes ;-) )

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Les courbatures se traduisent par des douleurs musculaires. Mobilité réduite, douleur, gêne, inconfort, les courbatures ne sont certainement pas une partie de plaisir !
    PasseportSanté vous propose de découvrir les 5 règles d’or pour prévenir les courbatures...

    Boire : la meilleure arme contre les courbatures

    Boire : la meilleure arme contre les courbatures

    L’eau représente entre 60% et 70% du corps humain, c’est dire qu’elle est essentielle à la vie. Le corps utilise l’eau pour extraire l’énergie des aliments car elle n’en fournit pas directement. Assurant les processus vitaux de l’organisme, elle joue un rôle essentiel sur les fluides qui occupent la quasi-totalité de l’organisme.

    Comment l’eau préviendrait-elle des courbatures ?

    En moyenne on préconise de boire 1.5 litres (il s’agit d’une moyenne qui n’est pas valable pour tout le monde). L’eau favorise et maintient l’efficacité musculaire car elle achemine les glucides qui une fois ingérés par l'organisme se transforment en glycogène : la source principale d’énergie pour les muscles. L’hydratation oxygène les fibres musculaires en maintenant la circulation sanguine. La déshydratation fragilise les muscles qui sont alors plus exposés aux risques de microlésions des fibres musculaires entraînant les courbatures.
    Il ne faut pas attendre d’avoir soif pour s’hydrater. La soif est déjà le signe de la déshydratation. S’hydrater tout au long de la journée aide les muscles à mieux récupérer.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Les femmes, naturellement bisexuelles ?

    On le sait depuis longtemps : la sexualité de la femme diffère de celle de l'homme sur bien des plans. Mais à mesure que les scientifiques s'intéressent aux dames, on comprend peu à peu l'ampleur du phénomène. Dernier écho de ces guerres des sexes : l'excitation de la femme ne correspond pas à son orientation sexuelle.

    Trente ans de recherche sur la sexualité masculine ont permis de démontrer qu'en matière d'excitation, le comportement de l'homme restait basique (ou bestial pour les plus critiques). Mais pour les femmes, c'est loin d'être aussi simple…

    Une excitation masculine "logique"…

    BisexuellesAprès de nombreuses années de recherche en sexologie et en psychologie, la sexualité masculine a livré peu à peu ses secrets. A contrario, la sexualité féminine reste mystérieuse à bien des égards.

    De précédentes recherches ont permis de confirmer la relative simplicité de l'excitation sexuelle masculine. En utilisant des vidéos érotiques, on a pu constater que la réponse est en accord avec l'orientation sexuelle : les homosexuels sont excités par des images d'hommes et les hétérosexuels par des images de femmes.

    Cette spécificité de l'excitation masculine a pu ainsi être mesurée de manière subjective (déclarations sur l'état d'excitation) et explicite (allongement du pénis). Des instruments de mesure plus complexes ont aisément pu prouver la corrélation entre les deux. Mais jusqu'alors, peu d'études s'était intéressées à l'excitation féminine, considérée un peu vite comme le miroir de son partenaire.

    Le mystère de l'excitation sexuelle féminine

    Pour en avoir le coeur net, des chercheurs du département de psychologie de l'Université Northwestern (Etats-Unis) ont mené une expérience originale 1. Spécialisés dans les domaines de l'orientation et l'excitation sexuelles, ils ont recruté des candidats ayant différentes orientations sexuelles : homosexuels ou hétérosexuels ainsi que des transsexuels ayant été opérés (hommes devenus femmes). Au total 38 hommes et 52 femmes ont participé à l'expérience. Chacun des participants était invité à regarder des films érotiques de trois types différents : certains avec des hommes uniquement, d'autres avec des femmes uniquement et les derniers représentant des relations hétérosexuelles. Mais les images de couples suscitant une excitation pour des raisons différentes, les plus grandes différences ont été observées grâce aux images explicites de deux partenaires du même sexe (deux hommes ou deux femmes).

    Les résultats ont confirmé que l'excitation des hommes était en rapport avec leur orientation sexuelle. Au contraire, les femmes hétérosexuelles ou homosexuelles présentèrent une excitation quel que soit le film projeté. Jugées sur le plan psychologique et génital, elles témoigneraient d'une orientation naturellement bisexuelle. Ainsi, les femmes hétérosexuelles n'étaient pas insensibles à des images de lesbianisme, malgré leur préférence à avoir des rapports sexuels avec des hommes.

    Le cerveau : premier organe sexuel !

    "En fait, la grande majorité des femmes des sociétés occidentales contemporaines ont une sexualité exclusivement hétérosexuelle. Mais j'ai depuis longtemps suspecté que la sexualité féminine est très différente de celle de l'homme, et cette étude démontre scientifiquement qu'il en est ainsi" déclare, enthousiaste, Meredith Chivers du département de psychologie de l'université de Northwestern.

    Spécialisés dans le développement de l'orientation sexuelle, le principal auteur de l'étude, le professeur Michael Bailey s'interroge : mais pourquoi les femmes, excitées indifféremment par les deux sexes, choisissent-elles telle ou telle orientation sexuelle ? Probablement parce qu'elles ne sont pas uniquement guidées par l'excitation sexuelle, mais par des différences au niveau du cerveau.

    Cette hypothèse semble confortée par le comportement des transsexuels masculins après opération. En un sens, ils possèdent un cerveau masculin et un appareil génital féminin. Résultat : ceux qui préfèrent les hommes sont excités par des scènes d'hommes nus, ceux qui préfèrent les femmes par des ébats féminins.

    Selon l'auteur, ces résultats suggèrent ainsi que les cerveaux des deux sexes ne sont pas organisés de la même manière et que l'excitation ne joue pas un rôle aussi important que chez l'homme quant à son orientation sexuelle. L'auteur précise aussi que cette étude ne suggère pas pour autant que les femmes sont généralement bisexuelles. Malgré cette capacité à être excitée indifféremment par des stimuli masculins ou féminins, l'homosexualité n'est pas plus fortes chez elles que chez les hommes 2. Ainsi, mesdames, si vous êtes troublées à la vue d'une scène saphique, ne doutez pas de votre orientation sexuelle.

    David Bême

    Mis à jour le 10 mai 2011

    Sources :

    1 - Sex difference in sexual arousal - In press - Psychological Science
    2 - Fam Plann Perspect. 1994 Jan-Feb;26(1):34-8.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  • Un gramme de curcuma chaque matin pourrait améliorer la mémoire des personnes présentant un risque de déficience cognitive lié au diabète, selon des chercheurs australiens du Monash Asia Institute de l’université de Monash.Le rhizome du curcuma réduit en poudre est utilisé comme épice alimentaire, mais aussi comme médicament depuis des milliers d’années. C’est un puissant anti-inflammatoire dont la médecine moderne explore de multiples applications. © Monash University

    Le rhizome du curcuma réduit en poudre est utilisé comme épice alimentaire, mais aussi comme médicament depuis des milliers d’années. C’est un puissant anti-inflammatoire dont la médecine moderne explore de multiples applications. © Monash University

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • 10 MESURES PHARES POUR INTEGRER LA SANTE ENVIRONNEMENTALE DANS LA POLITIQUE DE SANTE

    Il y a aujourd’hui un consensus assez large autour du changement de paradigme de la santé environnementale, c’est-à-dire pour considérer que :

    • la politique de santé ne se résume pas au système de soin et que l’action sur les causes des maladies doit avoir un poids croissant dans les politiques publiques. L’enjeu est de rééquilibrer ces 2 volets.

    • la santé doit être présente dans toutes les politiques publiques,

    La santé environnementale doit en conséquence sortir de la marginalité pour devenir centrale parce que c’est la clef pour faire face au problème majeur de la croissance mondiale des maladies chroniques. Ce diagnostic a été fait par l’OMS lors de la conférence de New York en septembre 2011 comme étant le « principal défi pour le développement durable en ce début de 21ème siècle » et réaffirmé lors de la conférence New York +3 en juillet dernier.

    La France occupe une situation particulière en étant, selon les données du Centre International de Recherche sur le Cancer, le premier pays au monde pour l’incidence des cancers hormono-dépendants (sein + prostate) et des cancers masculins. Elle a commencé à prendre des mesures ambitieuses à travers la Stratégie Nationale Perturbateurs Endocriniens. Elle doit viser à faire de même par rapport à la croissance des maladies chroniques dans le monde en promouvant la santé environnementale et en adoptant l’objectif plus global de réduction de 25 % des maladies chroniques à échéance de 2025, objectif proposé par les grandes associations de malades (Non Communicable Diseases Alliance). Les causes de ces maladies sont liées à d’autres facteurs comme le mode de vie, mais l’environnement représente aujourd’hui un facteur déterminant.

    L’objectif de la table ronde « Santé Environnement » de la conférence environnementale ne doit donc pas être de refaire le Plan National Santé Environnement mais d’identifier les mesures à prendre pour situer la santé environnementale dans les politiques de santé en priorité dans la stratégie nationale de santé, et plus largement dans les politiques publiques, en priorité en lien avec les enjeux de la crise climatique et de la transition énergétique.

    10 MESURES PHARES

    1. Adoption d’un Volet Santé Environnementale dans la Stratégie Nationale de Santé et dans les plans de santé publique (plan cancer, plan nutrition santé, plan Alzheimer…)

    2. En réponse à la mise en évidence dans le bilan du PNSE2 d’un déficit de connaissance de la contamination des milieux, création d’un Institut de Veille Environnementale pour compléter le dispositif de sécurité sanitaire et environnementale

    3. Création d’une plate-forme « Technologies propres et sûres »

    4. Recherche :

    - Au niveau international, création d’un « GIEC » de la Santé Environnementale.

    - Au niveau européen, introduction d’un volet santé environnementale dans la perspective Horizon 2020

    - Au niveau national, à la suite du rapport des Alliances de recherche, structuration de l’IFRES (Initiative Française de Recherche Environnement Santé) et volet santé environnementale dans la Stratégie Nationale de Recherche

    5. Santé et territoires : Mise en place dans chaque région d’un dispositif d’analyse des inégalités géographiques de santé et d’environnement

    6. Formation : Intégration d’un module spécialisé dans la formation des professionnels de santé et des professionnels du risque ainsi que de données de base dans l’éducation de tout citoyen (construire sa santé : 4ème mission de l’enseignement primaire).

    7. Financement : Fixation d’un pourcentage des dépenses de santé pour financer la politique de santé environnementale

    8. Maladies Environnementales Émergentes : définition d’une politique d’évaluation et de prise en charge

    9. Exclusion des usages induisant une exposition grand public pour les substances de type CMR, Perturbateurs Endocriniens, Nanomatériaux (alimentation, cosmétiques, produits domestiques)

    10. Réalisation d’une campagne de protection des populations sensibles (femmes enceintes-enfants)

     

    http://reseau-environnement-sante.fr/2014/11/26/dossiers-par-themes/10-mesures-phares-pour-integrer-la-sante-environnementale-dans-la-politique-de-sante/

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Top 15 des aliments les plus riches en fibres

    Alors que les fibres sont communément associées au transit, beaucoup de gens ignorent que le rôle des fibres ne s’arrête pas là. En effet, les fibres auraient également des effets positifs sur l’hypertension, le diabète, l’obésité ou encore la santé cardiaque. 

    Tout de même, notre consommation moyenne de fibres reste faible: selon l’étude NutriNet santé réalisée en 2009, qui s’appuie sur les témoignages de centaines de milliers de volontaires, la consommation quotidienne des Français (20 grammes par jour chez les hommes, et 18 grammes par jour chez les femmes) est nettement en dessous des recommandations. Seulement un homme sur cinq et une femme sur dix seulement atteignent le seuil minimal de 25g de fibres par jour! (Le seuil idéal est autour de 30 g/jour);  Pour changer les mauvaises habitudes, Docteur BonneBouffe vous dévoile les 15 aliments qui contiennent le plus de fibres!

    LES MEILLEURS ALIMENTS SOURCES DE FIBRES

     1. LE SON D’AVOINE

    Outre son importante consistance en fibres (100 grammes de son d’avoine apporte en moyenne 15 grammes de fibres), le son d’avoine est devenu en quelques années une référence en matière de régimes. Et ce n’est pas pour rien, puisque étant extrêmement riche en fibres solubles et en pectine, il peut absorber jusqu’à trente fois son volume en eau. Sa consommation lors des repas entraîne ainsi une sensation de satiété longue durée, excellent moyen de lutter contre les grignotages. Entrainant les graisses avec elles, elles en freinent l’absorption par l’organisme, et diminuent par la même occasion la teneur glycémique des aliments ingérés. 

    Crédits photo: Shutterstock
     

    Le son de blé apporte également une grande quantité de fibres (entre 15 et 25 gr. en moyenne).

    2. LES OLIVES NOIRES

     Outre qu’elle soit excellente pour la ligne, l’olive noire est également une aide précieuse à la digestion. Ce tout petit fruit stimule l’appétit mais aussi la digestion, grâce à ces 12,2 grammes de fibres pour une portion de 100 gr d’olives.

    olives noires bienfaits digestion

    Crédits Photo: TopSanté

    3. LES AMANDES

     Les amandes sont très riches en potassium, en magnésium et en phosphore, sans oublier en calcium et en fer. Avec ses 15 % de fibres, l’amande participe au bon fonctionnement intestinal. Son fort contenu en fibre lui donne aussi l’avantage d’avoir un effet positif sur le cholestérol sanguin.

    bienfaits amandes santé

    4. LES HARICOTS ROUGES

    Les haricots rouges sont connus pour être un aliment possédant un index glycémique bas, ce qui est idéal pour stabiliser le taux de glucides dans le sang (glycémie). De plus, de part leur richesse en fibres, les haricots rouges favorisent la digestion et protègent du cancer du côlon.

    bienfaits haricots rouges santé

     

    5. LES PISTACHES

    Les pistaches sont l’une des noix et graines les plus riches en fibres : 100 grammes de pistaches apportent 10,3 grammes de fibres alimentaires.

    Crédits photo: Callebaut.com

    6. LES FIGUES SÉCHÉES

    Si la figue sèche est un fruit très énergétique, les calories qu’elles apportent sont loin d’être inutiles. Riche en calcium, magnésium et en fer, elle est également une source non négligeable de fibres alimentaires.

    bienfaits figues séchées

    Crédits photo: Boîte à Recettes

    7. LES NOIX DE PÉCAN

    La noix de pécan contient la plus grande quantité d’antioxydants parmi toutes les noix. Elle est également une source importante de fibres, avec 9,5 gr/100 grammes.

     

    Crédits photo: Boîte à Recettes

    8. LES LENTILLES

    Les bienfaits des lentilles ne se limitent pas seulement aux importantes quantités de fer qu’elles apportent. Les lentilles sont en effet intéressantes car elles fournissent de l’acide folique mais aussi pour leur excellente teneur en fibres (9,1 grammes/100 grammes), ce qui les rend particulièrement digestes.

    bienfaits lentilles

    Crédits photo: Maggi.fr

    9. LES DATTES

    Tout comme les figues séchées, les dattes sont également une source importante de fibres (8,7 gr/100 grammes).

    Bien fait dattes

    Crédits photo: Apamnci

    10. LA NOIX DE COCO RÂPÉE

    Contrairement à ce qu’on pourrait penser, la noix de coco contient une quantité élevée de fibres alimentaires. Ainsi, de la noix de coco râpée (telle que trouvée dans le commerce), en contient 7,8 grammes/100 grammes.

    bienfaits noix de coco râpée

    Crédits photo: Sereni.tv

    11. LES ARTICHAUTS

    100 grammes d’artichauts contiennent en moyenne 7,7 grammes de fibres. De plus, l’artichaut est un grand protecteur du foie: il contient en effet de l’inuline, un composé qui améliore la santé de la flore intestinale. L’artichaut protège également la vésicule biliaire et prévient de certains cancers.

    bienfaits des artichautsPhoto: Top Cuisson

    12. LE PAIN COMPLET

    A la différence du pain blanc qui contient très peu de fibres, le pain complet, lui, en est une excellente source! Vous pouvez sans hésiter opter pour une tranche de pain puisque 100 grammes de pain complet apporte environ 7,5 grammes de fibres par portion.

    pain complet fibres

    Crédits photo: Marie France

    13. LES AVOCATS

    Sa richesse en gras et sa haute teneur calorique devrait en faire un aliment à éviter, et pourtant l’avocat est un incontournable d’une alimentation saine. Outre sa teneur en potassium, en Oméga-9 ou encore en vitamine B5, l’avocat est très riche en fibres (avec environ 11 à 17 grammes par fruit).

    avocats bienfaits

    Photo:  Santé Le Figaro

    14. LES HARICOTS BLANCS

    Le haricot blanc est un féculent d’excellente qualité nutritionnelle : outre sa richesse en glucides complexes, en protéines et en sels minéraux, il est une excellente source de fibres, avec 6,8 grammes par portion de 100 grammes.

    bienfaits haricots blancs digestion santé

    Photo:  Doctissimo 

    15. LES PRUNEAUX

    Surtout réputé pour son efficacité dans le traitement de la constipation, le pruneau mériterait d’être plus apprécié, particulièrement pour ses propriétés antioxydantes. De plus, il contient une grande quantités de fibres insolubles. Celles-ci ne sont pas absorbées par l’organisme: elles se gorgent d’eau, ce qui rend les selles plus volumineuses et plus faciles à expulser. Les pruneaux contiennent également desfibres solubles, qui équilibrent les gras dans l’organisme, notamment l’excès de cholestérol.

    bienfaits pruneaux transit

    Photo:  Saveurs du monde

    LES ALIMENTS CONTENANT LE PLUS DE FIBRES (TABLEAU COMPARATIF)

    Les aliments contenant le plus de fibres. DocteurBonneBouffe.com
    Les 15 aliments contenant le plus de fibres (en grammes / 100 grammes). Crédit Photo: DocteurBonneBouffe

    http://docteurbonnebouffe.com/top-aliments-fibres-077/

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • "Petit déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince et dîner comme un pauvre", cette citation bien connue n'est peut-être pas à suivre à la lettre. Voici 5 mythes qui entourent le premier repas de la journée.5 mythes sur le petit-déjeuner

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Comment se passe une IVG ?

    En France, une interruption de grossesse peut être pratiquée jusqu’à la fin de la 12ème semaine de grossesse, soit 14 semaines après le 1er jour des dernières règles. Mais ce n’est pas le seul critère pour réaliser une IVG. Cette démarche s’effectue selon plusieurs étapes à respecter. Doctissimo fait le point.

    C’est un droit important en France : toute femme enceinte qui ne veut pas poursuivre une grossesse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse, qu’elle soit majeure ou mineure, française ou étrangère jusqu’à la 12ème semaine de grossesse.

    L’IVG en quelques chiffres

    En France, on compte environ 200 000 interruptions de grossesse par an pour 800 000 naissances. Environ 1 femme sur 3 a recours une fois dans sa vie à une IVG. "Il est important de savoir que 72 % des IVG s’effectuent alors que la femme avait une méthode de contraception lors du rapport sexuel (préservatif, pilule contraceptive, stérilet, implant…). Choisir sa contraception et l’utiliser de façon adaptée est donc un enjeu essentiel pour réduire le nombre d’interruption de grossesse en France" explique le Pr Philippe Deruelle, gynécologue-obstétricien au CHRU de Lille.

    Pour connaître les différents moyens de contraception, découvrez notre dossier sur la contraception ou le site informatif public http://www.choisirsacontraception.fr/

    Les démarches à entreprendre

    ivg en pratiqueSi vous êtes enceinte de moins de 12 semaines, vous pouvez demander une IVG. Auparavant, vous aurez deux consultations médicales préalables avec un délai d’une semaine entre les deux consultations et un entretien psychosocial (obligatoire seulement si vous êtes mineure). Ces consultations médicales préalables à l’IVG s'effectuent auprès d’un médecin. "Vous avez le choix de prendre rendez-vous avec votre médecin traitant. Certains médecins sont agréés pour pratiquer l’IVG médicamenteuse. Si ce n’est pas le cas, il vous adressera vers un centre d’orthogénie (centre de santé où l’on pratique les IVG : planning familial, centre hospitalier…). Sinon, vous pouvez aussi vous adresser directement dans un centre d’orthogénie en cherchant les coordonnées selon votre région sur le sitehttp://www.sante.gouv.fr/ivg" poursuit le docteur.

    Lors de la première consultation médicale préalable, le médecin vous donne un guide contenant des informations sur l’IVG. Lors de la deuxième consultation, vous remettez au médecin une demande d’IVG par écrit et lui posez toutes les questions que vous avez. Le jour de l’IVG, deux méthodes sont possibles : une interruption de grossesse par médicament ou bien par chirurgie.

    L’IVG médicamenteuse

    Le choix de la méthode se discute auprès du médecin en fonction du stade de votre grossesse. "Jusqu’à 7 à 9 semaines d’aménorrhée, une IVG par voie médicamenteuse est possible. Après ce terme, le risque d’échec de l’IVG est plus important et le médecin recommande une IVG par voie chirurgicale" précise le Pr Philippe Deruelle.

    La méthode médicamenteuse consiste à prendre, en présence du médecin, 2 médicaments quientraînent l'arrêt de la grossesse puis l'expulsion de l'embryon (dans un délai de 24 heures à 10 jours). Vous rentrez chez vous après la prise des médicaments et une visite de contrôle s’effectue après l’expulsion de l’embryon via des saignements.

    L’IVG par méthode chirurgicale

    La méthode dite "par aspiration" a lieu obligatoirement dans un établissement de santé et doit être pratiquée par un médecin ou un chirurgien formé à cette technique. Vous êtes hospitalisée en hôpital de jour. Généralement, l’IVG chirurgicale s’effectue le matin sous anesthésie locale ou générale et vous ressortez dans l’après-midi. Une visite de contrôle a aussi lieu quelques jours après.

    Une semaine de réflexion entre les deux consultations médicales

    Interrompre une grossesse n’est pas un choix facile et cette action est encadrée afin de laisser un temps de réflexion aux parents. Ce délai (une semaine minimum entre la première et la deuxième consultation médicale obligatoire) n’est pourtant pas toujours très bien vécu, comme en témoigne Léa, 30 ans qui a fait le choix d’interrompre sa grossesse. "A partir du moment où je suis allée voir mon médecin pour demander une IVG, je ne pensais pas devoir encore attendre 7 jours avant de le revoir. Ma décision était prise et c’était difficile d’imaginer la vie se développer dans mon corps alors que je ne le souhaitais pas. J’ai trouvé ce délai vraiment long et cette attente m’a fait culpabiliser". Dans le cas où les démarches d’interruption de grossesse ont été entamées tardivement et que le délai autorisé pour pratiquer l’IVG risque d’être dépassé, le temps de réflexion peut être réduit à 48 h au lieu de 7 jours. Pour Philippe Deruelle, un délai de réflexion est "important mais les 7 jours réglementaires peuvent en effet paraitre longs quand les patientes sont sûres de leur choix".

    IVG : une prise en charge psychologique si nécessaire

    La première question que s’est posée Sophie lorsqu’elle a souhaité à interrompre sa grossesse à 20 ans était : "Est-ce que ce je pourrai avoir des enfants plus tard ?". En effet, nombreuses sont les femmes qui craignent des conséquences physiologiques et/ou psychologiques si elles font le choix de l’IVG. Sophie redoutait notamment l’infertilité à cause de l’acte médical mais avait surtout peur d’un blocage émotionnel. "L’IVG fait plus souvent mal au cœur qu’à l’utérus. Les séquelles traumatiques et les problèmes de fertilité suite à une interruption de grossesse sont très rares (1 cas sur plusieurs milliers) mais il peut être fréquent de ressentir de la culpabilité. C’est surtout le regard des autres qui fait souffrir les patientes. Le sujet déchaîne les passions et les critiques du personnel soignant, de l’entourage ou de la famille peuvent blesser la femme" ajoute le docteur. Dans tous les cas, il est possible d’avoir recours à l’aide d’un psychologue sur le moment ou quelques temps après l’IVG si vous en ressentez le besoin.

    L’essentiel est d’avoir accès à toutes les informations possibles afin de faire les démarches de façon réfléchie.

    Delphine Bourdet

    Créé le 06 novembre 2014

    Sources :

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • La sinusite est une inflammation des muqueuses qui recouvrent l’intérieur des sinus. Elle survient généralement après un rhume car du mucus commence par remplir les sinus et finit par s’infecter. Les symptômes de la sinusite sont une congestion nasale accompagnée de douleur dans la région du nez et des maux de tête. Voici des astuces naturelles pour combattre la sinusite et réduire l’intensité de ses symptômes.

    L'ail

    L'ail

    L’ail possède des propriétés antibactériennes que le scientifique Louis Pasteur a mis en évidence en 1858. Depuis, de nombreuses recherches ont confirmé l’activité antibiotique de l’ail. L'ESCOP reconnaît également les bienfaits de l'ail comme traitement en cas d'infection des voies respiratoires.
    Le traitement peut se faire par la consommation de cet aromate directement dans l’alimentation à raison de 4 gousses d'ail frais (16 g) par jour ou 2 à 4 g d'ail séché 3 fois par jour. Il est aussi possible d'ingérer 2 à 4 ml de teinture d'ail 3 fois par jour.

    L'ail possèderait en plus de nombreuses autres vertus. Il pourrait notamment aider à prévenir les maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle - ces bienfaits sont reconnus par l'Organisation Mondiale de la Santé - et certains cancers comme le cancer estomac, le cancer colorectal, ou celui de la prostate). 

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Conseils de pro pour manger sans gluten

     

    Manger sans gluten n’est pas si facile que ça ici en France, pays du pain, des pâtes, des tartes, des viennoiseries et autres gourmandises à base de farine de blé. Certaines habitudes alimentaires sont à perdre au profit de nouvelles, finalement pas si compliquées que ça, tout en gardant le plaisir de manger.

    Manger sans gluten en toute sécurité

    Voilà 4 grands conseils de base qui facilitent la vie des mangeurs sans gluten.

    1- Eliminer les plats industriels préparés tous faits

    Les plats préparés peuvent quand même contenir du gluten auquel on ne pense pas, dans des préparations comme la chapelure des produits panés, par exemple.

    Certes, le blé sera forcément indiqué dans la liste des ingrédients. Mais il faut prendre le temps de la lire en détails !

    • Avantage : on ne perd pas de temps à lire la liste des ingrédients !

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique