• Participer à une étude ou à un essai clinique contre de l’argent, oui, mais à quel prix ?

    Avant de lancer un nouveau médicament sur le marché, ce qui peut prendre une dizaine d’année entre la préparation et la découverte d’un traitement, l’industrie pharmaceutique fait des tests et étudie in-vitro puis sur des animaux et en final sur l’homme l’effet de ses médicaments. Les labos sont toujours à la recherche de cobayes humains et proposent de rémunérer les volontaires pour leur test clinique.

     

    Si vous voulez devenir volontaire pour tester de nouveaux médicaments et servir de cobaye humain, lisez bien ce qui suit.

    100 000 tests cliniques sont pratiqués chaque année à travers le monde pour développer de nouveaux médicaments. Devenir testeur pour les labos est une solution simple pour remplir rapidement son porte-monnaie, cependant il faut savoir où l’on met les pieds avant de se lancer car les effets peuvent être irréversibles.

     

    7 morts sur 2000 cobayes lors d’un essai clinique de vaccin et les labos pas au courant

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    Du côté des producteurs

    Le caféier ne produit qu'après 3 ans et devient rentable à partir de 5 ans. Sa durée de vie est comprise entre 25 et 50 ans. Un caféier produit, en moyenne 2,5 kilos de cerises par année. Une fois traités, les fruits représenteront 500 g. de café vert qui donneront 400 g. de café torréfié, soit à peine de quoi faire 80 tasses de café (de 10 cl). Un petit calcul édifiant: s'il faut 2,5 kilos de cerises fraîches pour faire 400 g. de café, il faut donc 6.25 g. de cerises pour faire 1 gramme de café. Considérant qu'un café serré contient 9 grammes de poudre, il faudra donc récolter près de 60 g. de cerises pour que vous puissiez vous préparer une bonne tasse de café! Pour remplir votre paquet d'une livre de café, les producteurs auront donc dû cueillir 3,125 kilos de cerises.

    Le café est cultivé sur 11 milliards d'hectares, sur 4 continents, dans environ soixante-quinze pays du continent américain (60% du café mondial), d'Afrique (33%) et d'Asie (22%) et exporté par près de soixante pays.

    Cette production annuelle se répartissait en 2000 en 65% d'Arabica et de 35% de Robusta, la production de Robusta étant en très nette hausse grâce à la poussée des pôles asiatique et africain.

    Les premiers importateurs de café dans le monde sont les États-Unis (18 millions de sacs de 60 kg), suivis de l'Allemagne, de la France et du Japon.

    Le prix du café est fixé sur les marchés à termes qui fluctuent fortement en fonction des éléments climatiques, évènements politiques et fluctuations monétaires.

     

    Les 75 pays producteurs de café produisent 6,3 millions de tonnes de grains de café par an, soit 106 millions de sacs de 60 kilos. Ce qui est énorme comparé aux 900 000 tonnes du début du 19e siècle ou aux 40 millions de sacs de 1945. 60% des sacs exportés partent vers l'Europe, 24% vers l'Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada). Certains pays producteurs utilisent une partie de la récolte pour leur marché intérieur.

    Aujourd'hui le café est devenu une richesse économique majeure, avec 15 milliards de dollars échangés par an. Chaque jour, deux milliards cinq cent millions de tasses de café sont bues dans le monde! Vingt cinq millions d'emplois sont générés, de la culture à la tasse d'espresso, ce qui fait du café le 2e produit brut échangé dans le monde, la deuxième valeur marchande en volume d'échange après le pétrole. Parmi les ressources naturelles, seule la valeur monétaire totale des échanges internationaux de pétrole est plus élevée que celle du café. Le café est le premier produit agricole d'exportation au monde, loin devant le blé, le sucre et le cacao. 106 millions de sacs de café vert de 60 kg voyagent outre-mer et sont annuellement torréfiés dans les pays consommateurs.

    De nos jours, seulement quatre multinationales de l'alimentation acquièrent plus de 70 % du café exporté (café brut). À elle seule, la compagnie Nestlé achète 12% de toute la production mondiale. Les ventes totales de café de Cargill, une autre entreprise agroalimentaire, sont plus élevées que le produit national brut (PNB) de n'importe lequel des pays d'Afrique où elle s'approvisionne en fèves de café.

    Producteur de café insignifiant il y a dix ans, le Vietnam est devenu le deuxième exportateur mondial de café et le premier producteur de robusta. En 1999, le Vietnam remplaçait l'Indonésie à la place de premier producteur de robusta et se classait troisième producteur mondial de café derrière le Brésil et la Colombie. A fin 2000, il produisait plus que la Colombie et se classait N° 2 mondial derrière le Brésil.

    En cinq années, la superficie cultivée au Vietnam a été portée de 155 000 hectares en 1995 à 550 000 hectares en 2001. Dans cet intervalle, les exportations sont passées de 4 à 14 millions de sacs (soit 12,3% des 114 millions de sacs produits dans le monde). Seulement 4% du café cultivé est consommé dans le pays, le reste est exporté. En raison du petit nombre d'usines de transformation du café, toute la production est exportée brute. Les installations existantes, telles que l'usine de café publique Bien Hoa et Nestlé Vietnam, torréfient le café destiné à la consommation domestique et fonctionnent très en-dessous de leurs capacités

    Le prix de base du café est établi par les négociants du New York Coffe, Sugar and Cocoa Exchange Inc. et par ceux du London International Futures Exchange. Ce sont ces prix qui ont directement un impact sur les négociants et les cultivateurs locaux. Par exemple, le 9 octobre 2001, le prix du robusta au London International Futures Exchange tomba à son plus bas niveau en trente ans. Le même jour, le prix des grains de café à Dak Lak, au Vietnam, tomba à VND4 000/kg - la moitié du coût de production de VND8 000/kg. D'une certaine manière, la rapidité de cette réaction, et sa répercussion directe sur les marchés locaux, reflète l'impact des nouvelles technologies. D'un autre coté, le pouvoir des négociants sur les échanges de café, et l'hyper-exploitation des petits producteurs au moyen de transactions spéculatives, n'a rien de nouveau, et est cohérente avec le passé colonial de l'industrie mondiale du café. L' idée est que, tant que les prix sont fixés aux bourses de Londres et de New York par de puissants intérêts économiques en Europe et en Amérique du Nord, l'Association des Pays Producteurs de Café (APPC) ne pourra pas gérer les prix de manière efficace, ni protéger ses membres. En fait, l'APPC a été crée en 1993 uniquement à cause de l' effondrement des Accords Internationaux sur le Café quatre ans plus tôt. Dans sa course pour imposer le " marché de libre échange " au reste du monde, le gouvernement américain s'est fortement opposé à la régulation des prix mondiaux du café par cet Accord, poussant vers leur effondrement en 1989. Ce fut seulement après cela que les producteurs à faible coût comme le Vietnam pénétrèrent le marché et cassèrent les prix.

    Non seulement ces sociétés multinationales profitent de la crise à laquelle sont confrontés les cultivateurs et les travailleurs du café, mais leur manipulation des prix et de la demande mondiale en café, ont contribué à la crise actuelle. Dans les années 1980, début des années 90, la compétition acharnée entre les multinationales pour le partage du marché a vu la mise en valeur des prix plutôt que de la qualité, encourageant l'utilisation de robusta de qualité inférieure, spécialement pour les cafés instantanés. Ceci a mené à un développement rapide des cafés à robusta de qualité inférieure.

    Le développement des grains de café génétiquement modifiés par les multinationales, menace de réduire encore plus les prix du café et mine le gagne-pain des petits exploitants agricoles. L'avance du café génétiquement modifié facilitera la concentration accrue des plantations de café dans des plantations agro-industrielles, et l' accroissement des contrats à destination des multinationales.

     

    Du côté des consommateurs

    Chaque jour, deux personnes sur trois consomment du café dans le monde.

    Le café est une boisson très différente des autres parce que son élaboration dépend des cultures nationales : pour les Français, l'espresso, c'est 7 g de café pour 7 cl d'eau, pour les Italiens, c'est 8 g, pour les Américains 6 g pour 10 cl. Quant au Scandinave, il boit du café toute la journée mais ce café a une très faible dose en caféine.

    Aujourd'hui, 90% du café vendu à travers le monde est du type moulu.

    Etats-Unis

    Selon les chiffres de Van Houten, aux Etats-Unis, 54 % des adultes, soit 110 millions de personnes, boivent du café chaque jour, et 25 % des adultes, soit 51 millions de personnes, en boivent à l'occasion.

    Aux États-Unis, 20 millions d'adultes boivent chaque jour un café fin : variétés de grains haut de gamme, boissons à base d'espresso (café au lait, espresso, café moka et cappuccino) ou boissons glacées au café. Mais à l'exception de la communauté italienne qui a influencé le pays, avec la création, dans les années 1980, de la chaîne d'espresso-bars Starbucks, les Etats-Unis consomment surtout du café instantané, chauffé et réchauffé à longueur de journée.

    Les hommes boivent plus de café que les femmes (1,9 tasse par jour contre 1,4 tasses).

    Les amateurs de café boivent en moyenne 3,1 tasses de café par jour.

    • 35 % des buveurs de café aiment leur café noir et 62 % y ajoutent du sucre ou de la crème.
    • 62 % de tout le café consommé est bu au petit-déjeuner,
    • 22 % entre les repas, et 16 % aux autres repas de la journée.

    Canada

    Toujours d'après les chiffres de Van Houten, au Canada, 67 % des adultes boivent du café chaque jour, et ils en consomment en moyenne trois tasses par jour.

    74 % de tous les grains de cafés utilisés le sont sous forme de café torréfié et moulu, 20 % sous forme de café instantané, et 6 % sous forme de café spécialisé.

    Le café décaféiné compte pour 9 % de la consommation totale de café.

    69 % de la consommation de café se fait à la maison ou chez une autre personne, 13 % au travail ou à l'école et 12 % au restaurant ou au comptoir de commandes à emporter.

    Europe

    Deux habitants de la planète sur trois consomment du café, dont une très grande majorité en Europe du Nord et dans certains pays scandinaves le chiffre monte jusqu'à 94%. De façon générale, plus le climat est froid et rude, plus on boit de café, boisson chaude par excellence. La Finlande (11,4 kilos de café vert par an et par habitant), la Norvège et la Suède ainsi que le Danemark, sont les plus grands consommateurs de café par tasse, puisque leurs habitants consomment en moyenne 5 tasses de café par jour (peu caféiné, il est vrai). Viennent ensuite les Pays-Bas et les pays germanophones (Autriche, Allemagne et Suisse).

    L'Europe du Nord(Finlande, Norvège, Suède) affectionne les cafés " light roast ", très peu torréfiés, clairs et blonds. Ces cafés sont légers, doux et acides. Considérés comme les plus grands amateurs de café au monde, les Allemands l'apprécient avec les mêmes caractéristiques, mais en y ajoutant une pointe d'amertume. Leur café est légèrement plus torréfié, de couleur ambrée. Mêmes préférences pour les Autrichiens et les Belges.

    Contrairement aux idées reçues, l'Europe du Sud (France, Espagne, Portugal, Italie, Grèce) consomme beaucoup moins de café que celle du Nord, mais elle l'aime plus torréfié, " medium roast " (France, Italie du Nord) ou " full roast " (Portugal, Espagne, Italie du Sud). Quant aux Britanniques, leur intérêt pour le café est toujours aussi faible avec 2,3 kilos de café vert par an et par habitant. Pourtant grand amateur de café à la fin du 17e siècle, le pays de Sa Gracieuse Majesté a soudainement délaissé le café pour le thé. Et même si les Anglais montrent un regain d'intérêt pour le " petit noir ", 80% de ses consommateurs achètent du café soluble. Les Irlandais sont les plus petits consommateurs avec 1,8 kilos de café vert par an et par habitant.

    En France, les 70 000 cafés accueillent quotidiennement 5 millions de personnes. La consommation annuelle de café atteint 400 000 tonnes et elle augmente de 5 % par an. Elle est de 5,4 kilos de café vert par an et par habitant. On boit le café très corsé dans le Midi, plus léger et aromatique en Alsace-Lorraine, acide, parfois rioté (goût iodé apprécié également des Belges, mais détesté partout ailleurs) et mélangé à un soupçon de chicorée dans le Nord.

    On peut rappeler que le café est la 2e boisson la plus consommée en France derrière l'eau minérale, et qu'il peut être à la fois une boisson populaire et une boisson snob.

    En France, le café soluble ne représente que 20% du marché.

    Amérique du Sud

    La part du Brésil, premier producteur, sur le marché mondial n'est plus que de 25% contre 60% en 1950.

    Au Brésil, 50% de la production, soit plus de 13 millions de sacs, sont destinés au marché intérieur. Le Brésil fait exception car d'une manière générale, plus on se rapproche de l'équateur moins on consomme de café.

    La Colombie arrive au second rang des pays producteurs de café et 350 000 familles y vivent de l'industrie du café.

    Japon

    Les Japonais ne consomment que 3 kilos de café vert par an et par habitant. Il s'y sont mis tard, mais recherchent le meilleur.

     

    http://www.boitearecettes.com/cafe/cafe_en_chiffres.htm

     

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  • Les vertus des smoothies, soupes froides et gaspachos

    Jan Etienne

    Jan Etienne

    Source: Bodytalk
    mercredi 04 juin 2014 à 10h45

    © Thinkstock

    On distingue deux catégories de soupes froides : celles que l’on cuit avant de laisser refroidir et celles composées d’ingrédients crus que l’on pourrait qualifier de « salades liquides ». En effet, les ingrédients du gaspacho – tomate, concombre, poivron, oignon, ail, vieux pain, huile et vinaigre – se retrouvent aussi dans la salade (à l’exception peut-être du vieux pain). Mais leur passage dans le blender génère d’autres sensations gustatives et apporte de la variété au menu.

    De plus, les possibilités de combinaison sont quasi infinies. Le concombre associé aux petits pois et à la menthe est un classique, à l’instar du gaspacho évidemment. Mais pourquoi ne pas oser la betterave rouge aux pommes et au céleri ? Ou un avocat avec un jus de citron, un peu de bouillon de légumes et une goutte de crème, de la coriandre fraîche et une rasade de tequila pour couronner le tout. Parmi les soupes froides cuites, la vichyssoise est l’exemple par excellence : poireaux, pommes de terre, bouillon de poule et crème, rehaussés d’un peu d’ail frais et de curry. À tester absolument cet été, pour ceux qui ne connaissent pas !

    Gare au piège

    Le gaspacho connaît un succès grandissant dans nos magasins ces dernières années. Ces potages froids tout préparés font souvent l’objet de slogans publicitaires, certains affirmant qu’ils sont riches en vitamines parce que les légumes n’ont pas été cuits. Ces messages promotionnels sont trompeurs. Ils ne vous disent pas que n’importe quelle préparation s’accompagne d’une perte d’éléments nutritifs, y compris celle des soupes/smoothies. Préparations qui font d’ailleurs en sorte que notre organisme absorbe ces éléments plus facilement, comme c’est le cas pour le lycopène ou la bêta-carotène de la salade ou des tomates. Quand on les mange crues, on n’absorbe que de 1 à 3 % de ces nutriments, alors qu’après cuisson ou avec un filet d’huile, ce taux augmente considérablement. La combinaison avec un avocat (un fruit riche en graisse) ou du poisson gras, comme le maquereau, l’anchois, le hareng, etc., fonctionne aussi fort bien.

    En résumé, ne vous laissez pas berner par les balivernes à propos des vitamines. Les fruits et les légumes contiennent d’ailleurs d’autres substances moins connues mais tout aussi importantes pour notre santé. Les soupes froides ne sont pas des produits miracles, elles constituent un moyen agréable d’absorber suffisamment de fruits et légumes, particulièrement par temps chaud, en combinaison avec d’autres moyens.

    La soupe n’est pas une boisson!


    Un verre de soupe glacée, c’est délicieux les jours de canicule, mais retenez quand même que c’est un aliment et non une boisson. Un litre de gaspacho apporte 480 kcal, presque autant qu’une boisson rafraîchissante... Ce n’est donc pas un bon moyen de se désaltérer.

    Un deuxième aspect à garder en tête, c’est qu’une soupe froide ne produit probablement pas le même effet de satiété que la quantité équivalente d’aliments, qu’il s’agisse d’une salade ou d’un autre plat. Le fait de mâcher sa nourriture a un effet apaisant sur la digestion et la faim et surtout, la mastication est un facteur déclencheur de satiété.

    Enfin, troisième point, attention aux extras qui y sont souvent apportés. L’ajout d’épices et de petits morceaux de légumes ne pose pas de problème, mais les morceaux de saumon, crevettes, crème, cubes de fromage, croûtons et autres peuvent sensiblement faire grimper le nombre de calories. Tout est finalement une question d’équilibre et de bon sens.

     

    http://weekend.levif.be/tendance/culinaire/les-vertus-des-smoothies-soupes-froides-et-gaspachos/article-4000646777362.htm?nb-handled=true&utm_source=Newsletter-04/06/2014&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBWKCULFR

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  • Les sorbets

     

     Qu’appelle-t-on des sorbets?

    Les sorbets sont des préparations glacées constituées d’un mélange d’eau potable, de sucre et de fruits ou d’alcool, vin ou liqueur, amenés à l’état solide ou pâteux par congélation du mélange des matières premières utilisées pour leur fabrication.

    Les sorbets aux fruits.

     

    Les sorbets aux fruits doux.

    Parmi les fruits doux les plus utilisés en glacerie

     

    Fruits frais

    Fruits exotiques

    Abricot

    Avocat

    Cerise

    Banane

    Fraise

    Kaki

    Melon

    Litchi

    Pêche

    Papaye

    Poire

    Mangoustan

     

     

    Les sorbets aux fruits acides

     

    Parmi les principaux fruits acides les plus utilisés en glacerie.

    Fruits frais

    Agrumes

    Fruits exotiques

    Cassis

    Citron

    Ananas

    Groseille

    Citron vert

    Anonne

    Framboise

    Mandarine

    Carambole

    Mûre

    Orange

    Fruit de la passion

    Myrtille

    Clémentine

    Kiwi

     

    Pamplemousse

    Mangue

    Recette

    Aux fruits doux

     

    Ingrédients

    Quantités

    Pulpe de fruits

    1200 gr

    Eau de dilution

    1000 gr

    Sucre

    500 gr

    Sirop de sucre inverti

    200 gr

    Stabilisateur

    20 gr

     

     

    Aux fruits acides

     

    Ingrédients

    Quantités

    Pulpe de fruits

    400 gr

    Eau de dilution

    1000 gr

    Sucre

    350 gr

    Sirop de sucre inverti

    350 gr

    Stabilisateur

    20 gr

     

     

    Etude des matières premières

     

    Pulpe de fruits: Utilisez au choix des pulpes, purées ou jus de fruits frais, congelés, surgelés ou appertisés. La proportion de fruits mis en oeuvre doit être par rapport au produit fini, d’au moins 35% pour les fruits doux; et d’au moins 15% pour les fruits acides.

     

    Eau de dilution : Utiliser toujours de l’eau potable.

     

    Sucre : Utiliser au choix un sucre cristallisé ou semoule, le sucre donne de la plasticité et fixe les arômes.

     

    Le sirop de sucre inverti : L’emploi du sucre inverti dans les glaces modifie profondément la qualité des glaces :

    - l’arôme et la saveur améliorée.

    - plasticité et moelleux et lissés améliorés.

    - coloration mieux fixée.

     

    Le stabilisateur : L’adjonction de stabilisateur retarde et diminue la cristallisation.

     

    Progression du travail.

     

    Mettre dans une casserole en acier inoxydable, l’eau de dilution, le sucre et le sirop de sucre inverti.

     

     

    • Porter l’ensemble à ébullition.

       

       

    • Ajouter la pulpe de fruits et le stabilisateur.

       

       

    • Bien mélanger la tout.

       

       

    • Vérifier la densité du mélange bouillant (entre 14°B et 17°B).

       

      Corriger la coloration si nécessaire et turbiner.

       

      Remarques.

       

      La densité doit être soigneusement contrôlée avant le turbinage.

       

    • Selon les goûts de la clientèle, le travail recherché et la spécialité réalisée la densité peur varier entre 14°B et 17°B..

       

       

    • Insuffisamment concentrés, les sorbets se cristallisent et deviennent granuleux comme les granites.

       

      Trop concentrés, trop riche en sucre, les sorbets se congèlent difficilement et ont de plus une saveur trop sucrée.

      L’adjonction de jus de citron dans les sorbets aux fruits doux fait ressortir le goût des fruits utilisés.

       

      Les sorbets aux vins et alcools.

      Dans cette catégorie de sorbets, les vins utilisés doivent être d’appellation d’origine; les liqueurs doivent être dénommées; Et les alcools doivent être des alcools de fruits.

      La quantité de vin, de liqueur ou d’alcool à incorporer doit être suffisante pour assurer au produit final l’arôme correspondant à la dénomination du sorbet fabriqué.

       

      Recette :

      Sorbet au vin

       

      Ingrédients

      Quantités

      Vin

      75 cl

      Eau de dilution

      75 cl

      Sucre

      225 gr

      Sucre inverti

      225 gr

      Jus de citron

      5 gr

       

       

      Sorbet aux liqueurs

       

      Ingrédients

      Quantités

      Liqueur concentrée (50°)

      15 cl

      Eau de dilution

      750 gr

      Sucre

      300 gr

      Sucre inverti

      150 gr

      Jus de citron

      1

       

       

      Sorbet à l’alcool

       

      Ingrédients

      Quantités

      Alcool à 40°

      20 cl

      Eau de dilution

      750 gr

      Sucre

      300 gr

      Sucre inverti

      150 gr

      Jus de citron

      1

       

       

      Fabrication

      Même procédé que pour les sorbets aux fruits, sauf le vin, la liqueur ou l’alcool choisi, ainsi que le jus de citron doive'ne être ajoutés après refroidissement du sirop.

      La densité doit être de 15°B..

    • http://pilet.chez.com/recette/patisserie/sorbet/SORBET.html

     

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  • Q: Quels sont les risques de diabète chez les enfants?

    R: La fréquence du diabète est en augmentation partout dans le monde et des études révèlent que les enfants courent de plus en plus de risque de développer cette maladie. Avec le temps, le diabète peut endommager le cœur, les vaisseaux sanguins, les yeux, les reins et les nerfs, provoquant des problèmes chroniques et une mort prématurée.

    Le diabète de type 1 (appelé parfois insulinodépendant ou diabète juvénil ou débutant dans l'enfance) survient lorsque le pancréas ne produit pas assez d'insuline, une hormone qui régule le sucre sanguin. Sa cause n'est pas connue, mais on pense qu'il résulte d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux.

    De nombreux pays font état d'un nombre plus élevé de nouveaux cas diabète de type 1, en particulier des enfants de plus en plus jeunes. Il est à relever que certains aspects de la maladie chez les enfants ressemblent à des épidémies de maladie infectieuses. Il n'existe actuellement aucun moyen connu de prévenir la diabète de type 1.

    Le diabète de type 2 (appelé parfois non-insulinodépendant ou diabète débutant à l'âge adulte) survient lorsque l'organisme n'est pas capable d'utiliser efficacement l'insuline qu'il produit. Souvent évitable, il peut être le résultat d'un excès pondéral et d'un manque d'activité physique, ainsi parfois que d'une prédisposition génétique.

    Depuis peu, de plus en plus de cas de diabète de type 2 sont enregistrés chez des enfants et des adolescents. À tel point que dans certaines parties du monde, le diabète de type 2 est devenu le principal type de diabète de l'enfance. Il est largement admis que l'augmentation mondiale de l'obésité et de l'inactivité physique chez les enfants jouent un rôle crucial en la matière. Une alimentation et des modes de vie sains constituent une défense efficace contre cette maladie.

    Environ 350 millions de personnes dans le monde souffrent de diabète. Ce nombre pourrait bien doubler d'ici les vingt prochaines années.

     

    http://www.who.int/features/qa/65/fr/

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  • La banane est un fruit aux multiples avantages et propriétés. Utilisée pour soigner de nombreux maux tels que la dépression, le stress, la constipationou encore les crises cardiaques, la banane contient une tonne de bonnes choses : potassiumvitamine Bfer, fibres …
    Il serait donc dommage de gâcher tant de choses bonnes pour notre santé en jetant une banane un peu brunie. 

    L’astuce du jour : 4 façons délicieuses et bonnes pour la santé de manger vos bananes trop mûres !

    Lire la suite...

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