• Graines

    Graines de chanvre, de sésame, de lin et de chia... Bien que différentes, ces graines ont toutes un point commun : elles possèdent des vertus thérapeutiques et diététiques. Découvrez quels sont les bienfaits de ces graines…

    La graine de sésame : une petite graine aux grands bienfaits de chanvre, de sésame, de lin et de chia... Bien que différentes, ces graines ont toutes un point commun : elles possèdent des vertus thérapeutiques et diététiques. Découvrez quels sont les bienfaits de ces graines…

    La graine de sésame : une petite graine aux grands bienfaits

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  • On voudrait continuer à avoir l'air aussi jeune que l'on se sent « en-dedans », mais l'échéance est inéluctable : au fil du temps, les cellules cutanées se renouvellent plus lentement (entraînant un épaississement de l'épiderme à cause des cellules mortes qui s'accumulent); les fibres de collagène se détériorent dans le derme; les glandes sébacées et sudoripares s'atrophient (réduisant l'hydratation); et la gravité attire les tissus mous vers le bas. Bref, les rides se créent et la peau se relâche.

    Les principales caractéristiques d'une peau âgée seraient causées davantage par le photo-vieillissement, c'est-à-dire le vieillissement dû aux effets du soleil (surtout des rayons UVA), que par l'âge.1 Les marques, plus apparentes au visage et aux mains, en font foi. Les effets permanents engendrés par le photo-vieillissement sont à la fois superficiels et profonds, là où se produisent les dommages de l'oxydation. Malheureusement, l'impact négatif du soleil s'accumule à partir de la petite enfance...

    Si la peau sèche peut affecter les gens de tout âge, le vieillissement de la peau se caractérise, en plus, par les manifestations suivantes :

    • rides ;
    • manque de tonus ;
    • lentigo sénile, appelé couramment tache pigmentaire ou tache de vieillissement (ces taches sont semblables à des taches de rousseur brun sombre) ;
      N.B. : Les lentigos ne présentent aucun danger. Toutefois, s'ils prennent du relief ou changent d'aspect, il vaut mieux consulter un médecin.
    • plus grande susceptibilité aux hématomes, surtout aux mains et aux avant-bras.

    S'il y a moyen de ralentir le processus de vieillissement de la peau, il est impossible de le renverser ou de le stopper. La rapidité avec laquelle ce processus se déroule dépend, dans un premier temps, de l'hérédité et, dans un deuxième temps, du mode de vie.

     

    Personnes à risque

    Les personnes à peau claire, dont la barrière cutanée contre les rayons UVA est moins forte.

    Facteurs de risque

    • L'exposition au soleil.
      Les rayons UVB, ceux qui causent le rougissement de la peau, rendent la couche superficielle plus fragile.
      Les rayons UVA occasionnent des dommages en profondeur dans le derme, là où se trouvent le collagène et l'élastine.
    • La cigarette. Le tabagisme est un facteur important dans la formation prématurée des rides.2

    Prévention

    • Se protéger des rayons directs du soleil en tout temps, soit par des vêtements appropriés (manches longues, chapeau), soit par des écrans solaires. De nombreuses crèmes solaires ne protègent que contre les rayons UVB, mais pour bloquer les UVA, on recommande des produits contenant de l'oxyde de zinc et de l'oxyde de titane. La protection régulière contre les rayons du soleil se justifie par le fait, qu'au cours d'une vie, environ 80 % des expositions au soleil se font lors de situations brèves.
    • Éviter la cigarette.
    • Bien soigner la peau. Nettoyer la peau du visage deux fois par jour avec un savon doux ou une crème nettoyante; assécher en tapotant et appliquer aussitôt une crème hydratante.
    • Avoir une bonne alimentation. Il se peut qu'une diète riche en fruits, légumes et huile d'olive réduise les méfaits de l'oxydation.
    • Faire de l'exercice. L'activité physique favorise une bonne circulation sanguine, nécessaire à l'entretien de la peau.

    Tous les traitements mentionnés ci-dessous sont exclusivement réservés aux médecins, et sont pratiqués généralement par des spécialistes, dermatologues ou plasticiens. Les traitements sont présentés dans un ordre allant du moins effractif au plus effractif (qui demandent de plus en plus d'« invasion » dans le corps).

    Acide rétinoïque topique

    Disponible sur ordonnance seulement, l'acide rétinoïque est un dérivé actif de la vitamine A. On l'appelle aussi trétinoïne. Lors de plusieurs essais cliniques qui ont duré jusqu'à quatre ans, des chercheurs ont observé qu'un usage continu de l'acide rétinoïque permettait d'atténuer les ridules (mais pas les rides profondes) et de pâlir ou faire disparaître les taches de lentigo sénile. Il faut de deux à six mois avant qu'une amélioration se manifeste. Les chercheurs croient qu'avec un usage prolongé (un an ou plus), la peau pourrait se remettre à produire du collagène. Ce médicament est le seul produit topique qui soit reconnu et approuvé pour soigner le photo-vieillissement.3 Son efficacité a été démontrée à des concentrations aussi faibles que 0,02 %.4
    Effets secondaires. Peut causer de l'irritation (une crème d'hydrocortisone pourrait être nécessaire pour la soulager) et, chez une minorité de personnes, accroître la photosensibilité de la peau, ce qui exige d'utiliser un écran solaire efficace de façon permanente. Suivre les indications médicales avec soin.

    Traitements au laser

    Il existe diverses techniques et divers appareils pour les traitements au laser. Les traitements les moins draconiens atténuent ou font disparaître le lentigo sénile, les veinules apparentes ou autres marques. Quant au « relissage » (resurfacing), il s'agit d'une exfoliation sans produits chimiques : les rayons lumineux du laser pulvérisent les cellules mortes qu'on veut éliminer, sans toucher aux autres parties de la peau. Cela permet de corriger les défauts de pigmentation (lentigo sénile), les cicatrices d'acné et les rides fines. Il faut administrer une anesthésie locale.
    Effets secondaires. Une rougeur qui peut durer quelques semaines; la pigmentation revient à la normale en un à trois mois. Il peut y avoir des complications.

    Injections de Botox

    Ce mot maintenant bien connu est une marque de commerce (il y en a quelques autres) qui identifie la toxine purifiée de la bactérie Clostridium botulinum. Cette toxine peut causer une intoxication alimentaire grave, appelée botulisme. Les très petites quantités utilisées dans les injections de Botox sont toutefois sécuritaires, d'après les instances de santé. L'injection se fait dans les muscles responsables des rides d'expression, particulièrement entre les sourcils et sur le front ainsi qu'au coin des yeux. La propriété recherchée de ce poison est qu'il entraîne la paralysie des muscles touchés en causant la dégénérescence de terminaisons nerveuses. Sans les contractions musculaires, les rides s'atténuent au bout de quelques jours. Après trois ou quatre mois, de nouvelles terminaisons nerveuses se forment et on doit répéter les injections; mais il arrive qu'après plusieurs traitements l'effet dure plus longtemps. Pour le moment, le milieu médical considère la toxine botulique sécuritaire, puisqu'on l'injecte en doses infimes.
    Effets secondaires. Cette toxine est utilisée médicalement depuis une vingtaine d'années, mais on ne connaît pas ses effets à plus long terme. À court terme, les patients peuvent vivre certains problèmes, bien que relativement peu fréquents, tels que maux de tête, nausées, ecchymose et inconfort dans la région traitée; il existe aussi des cas d'allergie. Par contre, si l'injection a été mal exécutée (trop profonde ou mal orientée), une paralysie partielle et temporaire de muscles voisins, dont ceux de la paupière, peut s'ensuivre. Il faut respecter un intervalle d'au moins deux mois entre les injections afin d'éviter que l'organisme ne forme des anticorps.
    Contre-indications. Les femmes qui sont enceintes ou qui allaitent de même que les personnes souffrant d'une maladie neurologique ne peuvent suivre ce traitement.

    Injections d'acide hyaluronique

    Cette substance biologique se trouve naturellement dans le tissu conjonctif, mais subit une déperdition avec l'âge. On l'utilise pour lisser les rides et sillons. Une anesthésie locale pour engourdir la peau est parfois requise. De plus, le produit se résorbe graduellement.
    Effets secondaires. Rougeur, démangeaisons, enflure et douleur au point d'injection (temporaire); il arrive parfois mais rarement que la douleur, la rougeur et les défauts de pigmentation persistent.

    Exfoliation profonde (peeling)

    Tandis que les exfoliations légères ou moyennes consistent à déloger les cellules mortes de la couche superficielle de la peau, ce traitement retire une couche plus importante de l'épiderme au moyen d'une concentration élevée de produits chimiques (acide glycolique, par exemple). Pratiquée en cabinet de médecin seulement, l'exfoliation profonde entraîne plusieurs risques; la peau demeure à vif pendant quelques jours au cours desquels elle est très sensible aux infections et il y a ensuite une coagulation du sang (formation d'une gale).

    Dermabrasion

    Pratiquée avec une très petite brosse rotative ou une meule, la dermabrasion retire une couche de peau un peu plus importante que l'exfoliation chimique. Les précautions et soins post-intervention sont similaires à ceux de l'exfoliation chimique.

    Lifting chirurgical

    Le lifting partiel concerne principalement le pourtour des yeux. L'intervention se pratique sous anesthésie locale ou générale, et comporte des risques.
    Effets secondaires. Enflure et ecchymoses qui durent au moins deux semaines et souvent plus (selon le type de peau), période pendant laquelle il faut garder la tête haute et appliquer régulièrement des compresses froides sur les yeux. Les gros efforts physiques sont à éviter pendant six semaines.

    Lire la suite de cet article sur : 

    http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=vieillissement-peau-pm-traitements-medicaux

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  • Boire au moins 1,5 litre d'eau par jour (ou "huit verres", comme cela est souvent recommandé outre-Atlantique) est-il indispensable à l'homme pour rester en bonne santé ? Comme le soulignait en 2002 le docteur Heinz Valtin dans un article remarqué, et publié dans une grande revue de physiologie, il n'existait alors "aucune étude scientifique qui soit à l'origine de ces recommandations"...

    Il a fallu attendre 2010 pour que les autorités sanitaires européennes effectuent un travail de synthèse de grande envergure, et détermine si ce conseil était, en tout ou partie, fondé...

    L'eau est partout !

    L'organisme d'un être humain élimine plusieurs litres d'eau par jour au travers de son souffle, de sa transpiration, de son urine ou de ses selles... et il est donc indispensable de compenser ces pertes tout au long de la journée.

    Pour être à l'équilibre, l'apport nécessaire en eau est estimé autour de 2,5 litres/jour pour l'homme adulte et de 2 litres/jour pour la femme adulte. Mais cette eau peut provenir tant de l'alimentation "solide" que de l'eau potable ou d'autres boissons. Les personnes qui mangent peu (certaines personnes âgées, par exemple), doivent théoriquement boire un peu plus que les autres au quotidien.

    Selon les estimations mises en avant par l'EFSA, l'alimentation solide apporte "en moyenne" un cinquième de nos besoins en eau. Une femme devrait donc quotidiennement consommer 1,6 litres de boissons (thé, eau, etc.) et un homme 2 litres pour satisfaire ses besoins. Un bol de lait au petit-déjeuner (le lait est constitué à plus de 87% d'eau), un café à midi, un thé à cinq heures... il ne reste plus qu'à ajouter un verre d'eau à tous les repas, et le compte est bon !

    A noter, toutefois, que les besoins en eau varient en fonction de la température et de l'activité physique du moment... Un athlète s'entraînant dans un climat chaud et sec devra vider beaucoup plus de verres d'eau que son jumeau travaillant dans un bureau climatisé.

    A l'écoute de sa soif

    A priori, la soif est le meilleur moyen d'évaluer la quantité d'eau dont on a besoin... Dans son étude de 2002, Heinz Valtin démontrait que l'idée selon laquelle "lorsque l'on à soif, on est déjà déshydratée" ne correspond, là encore, à aucune réalité scientifique.

    Mais encore faut-il savoir s'écouter et anticiper ! Concentré par un effort physique ou intellectuel, il est facile d'oublier les appels de son gosier.  Les personnes âgées qui n'ont pas toujours une bonne perception de la soif doivent être plus vigilantes.

    L'été approchant, boire fréquemment est donc fortement recommandé. Attention toutefois : ne vous forcez jamais à boire trop, trop rapidement.

     

    Source : EFSA Panel on Dietetic Products, Nutrition, and Allergies (NDA); Scientific Opinion on Dietary reference values for water. EFSA Journal 2010. doi:10.2903/j.efsa.2010.1459

     

    http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-buvez-vous-assez-d-eau--13803.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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  • Selon un certain nombre d’études récentes, il suffit d’adapter légèrement son mode de vie pour perdre du poids. En outre, ces habitudes simples ne demandent pas de régime.

     

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  • Un patient mangeant beaucoup de produits panés achetés dans le commerce s’étonne que la panure soit grasse. Il me demande pourquoi et comment il doit les faire cuire pour avoir moins de lipides dans son assiette au final.

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  • La curiethérapie face au cancer

    La curiethérapie est une technique particulière de radiothérapie qui consiste à introduire la source d'irradiation directement au contact de la tumeur. Limitée à certains cancers, cette méthode est plus efficace et moins toxique que la radiothérapie classique.

    L'irradiation permet de détruire les cellules cancéreuses mais peut également endommager les cellules saines. Pour limiter ces désagréments, le rapprochement de la source d'irradiation et de la tumeur apparaît comme une solution intéressante.

    Le principe de la curiethérapie

    CuriethérapieLa curiethérapie repose sur le même principe que la radiothérapie à la différence près que les sources radioactives sont directement introduites dans la tumeur. Les rayons gamma émis permettent alors de détruire les cellules cancéreuses. L'introduction de ces sources de radiations se fait grâce à une aiguille très fine à l'intérieur de certains tissus (peau, sein, prostate, langue...). Cette technique est limitée aux cancers qui ne se sont pas propagés à d'autres parties du corps. Du fait de son action ciblée, les effets secondaires liées aux autres parties non cancéreuse est limitée.

    Les deux types de curiethérapie

    On distingue deux types d'utilisation :

    • La curiethérapie interstitielle : cette technique repose sur l'introduction de fils radioactifs à l'intérieur de tissus, dans des tubes en plastiques ou d'aiguilles métalliques creuses. Ces tubes ont été placés sous la peau après anesthésie locale, péridurale ou générale. Cette méthode est particulièrement utilisée pour certains cancers de la peau ou d'orifices (oreille, verge, anus, lèvre) ou dans certains cas de cancers du sein ;
    • La curiethérapie endocardite ou endocavitaire : cette technique consiste à placer la source radioactive dans les cavités naturelles de l'organisme touchées par le cancer (vagin, utérus...). De ce fait, la principale indication est liée au cancer du col de l'utérus. L'irritation provoquée par le traitement s'atténue après quelques semaines.

    En pratique

    Le recours à la curiethérapie nécessite la reconstruction tridimensionnelle de l'organe touché et le calcul précis de l'irradiation. Les étapes du traitement sont réalisées sous la direction du radiothérapeute dans une chambre plombée, qui absorbe le rayonnement. Le patient restera dans cet environnement durant toute la durée du traitement (2 à 6 jours). Plusieurs séances peuvent être nécessaires. Durant cette période, les visites devront être brèves et se feront derrière la protection d'un paravent plombé. A la fin du traitement, les sources radioactives sont enlevées. Le malade ne présente alors plus de danger pour son entourage. Eprouvant, ce traitement nécessite des périodes de convalescence plus ou moins longues, mais oscillant autour d'un mois complet.

    David Bême

    Mis à jour le 17 février 2012

    Forum Cancer

     

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/cancer/articles/9547-curietherapie-traitements-du-cancer.htm

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  • Cancers de la langue

    Généralités

    • Les cancers de la portion mobile de la langue sont des cancers très visibles dans la bouche. Ils sont très fréquents. Les facteurs favorisants sont connus: alcoolisme, tabagisme, mauvais état dentaire. Ils sont développés a l'avant de la langue.
    • Les cancers de la base de la langue sont développés en arrière de la langue, et sont plus rares, plus difficiles à diagnostiquer.

    Les cancers de la partie mobile de la langue

    LES SIGNES DE LA MALADIE

    Les circonstances de découverte sont variables :

    • Une discrète gêne lors de la mastication ou lors des mouvements de la langue ;
    • De légers picotements accrus par les aliments acides ou épicés ;
    • Une lésion de la langue découverte par le patient lui-même ou le dentiste ;
    • La découverte d'un ganglion cervical...

    L'examen montre une ulcération irrégulière à bords épais ou parfois une lésion bourgeonnante. L'aspect de cette lésion, de taille variable, souvent située en regard d'un chicot dentaire, est suspect. La palpation de la lésion permet d'apprécier l'importance de l'infiltration et de l'induration caractéristique. Cette induration irrégulière dépasse les bords de l'ulcération et s'étend d'avant en arrière. Le reste de la langue est souple. 
    Le médecin recherche une extension locale et des adénopathies. 
    La biopsie est indispensable pour porter le diagnostic. 
    On recherche également un cancer associé des voies aérodigestives supérieures par une fibroscopie. 

    Les métastases (poumons, foie, os) sont fréquentes (25% des cas).

    DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL

    • Une ulcération traumatique ;
    • L'ulcération des glossites (carence vitaminique, infection, mycose, toxique) ;
    • Un angiome ;
    • Un papillome bénin ;
    • Une leucoplasie ;
    • Les états pré-cancéreux (kératose vileuse maligne).

    TRAITEMENT

    L'ablation des chicots et le traitement des dents cariées est un préalable indispensable.

    La radiothérapie, différentes techniques chirurgicales, la chimiothérapie sont utilisables.

    L'atteinte des aires ganglionnaires est traitée par chirurgie (évidement ganglionnaire) et la radiothérapie transcutanée.

    Les cancers de la base de la langue

    LES SIGNES DE LA MALADIE

    Il s'agit en général d'un sujet d'âge mûr, gros fumeur, alcoolique chronique, à mauvaise hygiène bucco-dentaire qui se plaint :

    • De sensation de corps étrangers pharyngés, douleurs vagues mises sur le compte d'une angine traînante, douleur à la déglutition des aliments acides, épicés ou alcoolisés, suintement hémorragique...
    • D'une gêne lors de la déglutition, de fausses routes, de quintes de toux ;
    • De douleurs de l'oreille intermittentes en éclair ;
    • De la découverte d'un ganglion cervical.

    A l'examen, il y a souvent une gêne à la protraction de la langue. L'examen à l'abaisse-langue permet parfois d'apercevoir la partie supérieure de la tumeur. L'examen au miroir laryngé visualise la tumeur. La palpation de la base de la langue permet d'apprécier l'importance de l'infiltration et de l'extension.

    La biopsie s'impose et permet le diagnostic. 
    Les radiographies sont utiles pour préciser l'extension en profondeur. 
    Le médecin recherche des ganglions, une autre localisation néoplasique au niveau des voies aéro-digestives supérieures et des métastases viscérales.

    DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL

    • Une tuberculose ulcéro-végétante ;
    • Une amygdalite chronique atypique ;
    • Un cylindrome ;
    • Un corps thyroïde aberrant.

    TRAITEMENT

    Plusieurs techniques sont possibles :

    • La chirurgie ;
    • La radiothérapie ;
    • La curiethérapie ;
    • La chimiothérapie.

    http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_936_cancer_langue.htm

     

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  • Rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l’alimentation, le Belge Olivier De Schutter est plus décidé que jamais à combattre les effets dévastateurs, au Nord comme au Sud, de l’alimentation low cost. Alors que son mandat se termine, il annonce un groupe d’experts sur l’alimentation, sur le modèle de ce que le Giec a fait pour le climat.

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  • Assez rare, le cancer du sein existe pourtant bel et bien chez l'homme. Parce qu'on le sait encore trop peu, il est le plus souvent diagnostiqué tardivement. Quelles sont les causes de cette pathologie tumorale et quels en sont les symptômes ? Comment est-elle traitée ? Le point avec Hervé Curé, professeur de cancérologie à l'Institut Jean-Godinot à Reims (51).

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  • ACCUEIL > QUESTION D'ACTU > DIABÈTE : LES TEXTOS FONT BAISSER LE TAUX DE SUCRE DANS LE SANG

    Congrès de l’Association américaine du diabète

    Diabète : les textos font baisser le taux de sucre dans le sang

    par

    Raphaëlle Maruchitch

    Publié le 14 Juin 2014

    Les patients diabétiques qui reçoivent des textos ciblés sur leur téléphone surveillent de plus près leur taux de sucre sanguin. C'est ce que démontre une étude présentée au congrès américain du diabète.  

    Diabète : les textos font baisser le taux de sucre dans le sangVALINCO/SIPA

    SUR LE MÊME THÈME

    « Quand la ville envoie des SMS pour lutter contre l’obésité »« Des SMS pour rappeler leur traitement aux malades »

    Un texto qui rappelle que l’on doit vérifier le taux de sucre dans le sang après un effort, ou qui délivre des conseils hygiéno-diététiques : les messages de ce type envoyés sur les potables des patients améliorent le contrôle de la glycémie. C’est ce qu’a conclu une étude, présentée lors des 74e sessions scientifiques de l’Association américaine du diabète qui ont débuté à San Francisco le 13 juin dernier.

    Les observations ont été menées au sein d’une population latino-américaine à haut risque de diabète de type 2. L’étude a été menée par un institut du diabète, Scripps Whittier. « L’utilisation des téléphones mobiles est très prometteuse en termes de santé publique, surtout lorsqu’il s’agit de populations à bas revenus qui présentent des maladies chroniques », a déclaré Athena Philis-Tsimikas, vice-présidente de l’institut américain du diabète Scripps Whittier. Ce type d’actions est donc particulièrement privilégié en ce qui concerne l’éducation des patients et le soin qu’ils apportent à la prise en charge de leur diabète.


    Baisse du taux de l’hémoglobine glyquée

    Parmi les 126 personnes atteintes de diabète de type 2 qui ont participé à l’étude, la moitié ont reçu des textos et l’autre non, en plus de leur prise en charge habituelle du diabète. Les messages portaient sur des conseils nutrition, les bénéfices d’une activité physique, l’observance aux traitements médicamenteux et le contrôle des contrôles sanguins de taux de sucre. Deux à trois messages ont été envoyés chaque jour au début de l’étude, puis la fréquence a été diminuée au fur et à mesure des six mois de l’étude. Résultat : les participants qui ont reçu les messages présentaient une baisse de leur taux d’hémoglobine glyquée (qui détermine la concentration de sucre dans le sang) plus importante que le groupe contrôle.


    Des bénéfices dans d’autres pathologies

    Le diabète n’est pas la seule maladie que l’on puisse cibler en envoyant des SMS pour améliorer l’observance des patients. À Marseille, une récente étude avait sélectionné des patients à qui l’on avait posé un stent (ces petits ressorts placés dans les artères pour éviter qu’elles ne se bouchent) pour leur envoyer des SMS pendant un an, afin d’améliorer l’observance des traitements médicamenteux. L’observance de ces patients aux médicaments avait été améliorée de 40% grâce à ces SMS.

    http://www.pourquoidocteur.fr/Diabete---les-textos-font-baisser-le-taux-de-sucre-dans-le-sang-6845.html

     

     

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  • L’hypotension en 8 questions

    26 septembre 2012 - Auteur : Leen Baekelandt

    Vous avez facilement la tête qui tourne lorsque vous vous levez trop brusquement ? Peut-être souffrez-vous de baisses de tension transitoires… Nous répondons à huit questions fréquemment posées sur l’hypotension.

    QUELS SONT LES SIGNES QUI TRAHISSENT UNE TENSION TROP BASSE ?

    Les vertiges en sont le principal symptôme. Il est toutefois exceptionnel d’avoir une tension trop basse en permanence : le plus souvent, elle connaîtra plutôt une diminution transitoire. Sous l’effet d’une telle baisse de pression, le cerveau reçoit moins de sang et donc moins d’oxygène… et comme cet organe est très sensible à ce déficit, vous aurez rapidement l’impression d’avoir la tête qui tourne. Si la situation s’aggrave, vous risquez même d’avoir des taches noires devant les yeux ou de perdre connaissance.

    QUAND SURVIENT L’HYPOTENSION ?

    En présence d’un manque général de sang, par exemple suite à une hémorragie ou à une diarrhée violente, on observera une hypotension relativement prolongée. Un autre cas de figure, beaucoup plus fréquent, est celui d’une chute de tension plus ponctuelle (d’une durée d’une minute à une heure) : le corps ne manque globalement pas de sang, mais l’apport au niveau du cerveau n’est temporairement pas suffisant. C’est par exemple le cas après un repas chaud (trop de sang est alors détourné vers le système digestif), lorsqu’on sort de son lit ou de son fauteuil (trop de sang dans les jambes) ou lorsqu’on regarde en l’air (étirement de l’artère carotide). Normalement, l’organisme prendra toutefois immédiatement des mesures pour ramener la tension à un niveau normal.

    QUELLE EST LA FRÉQUENCE DE L’HYPOTENSION ?

    Ces baisses transitoires de la tension sont plus fréquentes chez les personnes âgées que chez les jeunes. La tension diminue à tout âge dans les situations mentionnées ci-dessus, mais à mesure qu’il vieillit, le corps la corrigera moins vite parce qu’il devient globalement plus lent. De ce fait, la tension diminuera encore davantage. On observe un accès d’hypotension chez 10 à 50% des personnes âgées une à dix minutes après le passage en position debout et un quart d’heure à une heure après un repas. Un tiers à la moitié des vertiges passagers s’expliquent par ailleurs par une baisse de la tension lorsque la personne regarde en l’air.

    QUELLE EST L’AMPLEUR DE CETTE BAISSE DE TENSION ?

    Une chute de tension transitoire peut être perceptible lorsqu’elle dépasse 20 mmHg pour la pression systolique ou 10 mmHg pour la pression diastolique.

    EXISTE-T-IL UN LIEN ENTRE LA PRISE DE MÉDICAMENTS ET L’HYPOTENSION ?

    Oui. Lorsqu’il fait très chaud ou en cas de diarrhée, il arrive que la dose normale de diurétiques soit trop élevée pour la situation du patient à ce moment. Ces médicaments provoquent alors une évacuation excessive de liquide normalement destiné à aboutir dans le sang… et du coup, la tension diminue.

    Les nitrates utilisés contre les douleurs thoraciques peuvent également aggraver l’hypotension. Il arrive aussi, de façon exceptionnelle, que la prise de médicaments contre l’hypertension provoque une hypotension persistante. Celle-ci se manifestera par une fatigue accrue, parce que le cœur doit faire beaucoup plus d’efforts que d’habitude pour maintenir la tension au niveau voulu. De façon générale, les chutes de tension transitoires tendent toutefois à être moins fréquentes chez les patients traités par antihypertenseurs.

    COMMENT ÉVITER LES CHUTES DE TENSION LORS DU LEVER ?

    Avant de sortir de votre lit ou de votre fauteuil, agitez les jambes pendant quelques minutes pour stimuler la circulation et renvoyer le sang vers le cœur. Boire davantage pour « remplir » les vaisseaux sanguins peut également améliorer les symptômes, de même qu’une alimentation plus salée, qui contribuera à accroître la rétention d’eau. Enfin, il est également possible de porter des bas de contention ou de surélever la tête du lit… ou, si vous prenez des diurétiques ou des nitrates, de demander à votre médecin s’il est envisageable de réduire légèrement la dose.

    COMMENT PRÉVENIR L’HYPOTENSION APRÈS UN REPAS ?

    Essayez de prendre six petits repas plutôt que trois grands : la tension baissera malgré tout, mais de façon moins marquée.

    COMMENT ÉVITER L’HYPOTENSION LORSQU’ON REGARDE EN L’AIR ?

    Evitez tout simplement de basculer brutalement la tête vers le haut. En particulier, faites attention lorsque vous pendez votre linge ou que vous penchez la tête en arrière dans la cuvette du coiffeur

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-5651-L-hypotension-en-8-questions.html

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  • FRUITS ET LÉGUMES

    AU MOINS 5 FRUITS ET LÉGUMES PAR JOUR, C’EST :

    LÉGUMES

    des légumes à chaque repas, midi et soir

    artichauts, asperges, aubergines , betteraves, bettes, brocolis, carottes, céleri, champignons, chou rouge, chou vert, choucroute, chou-fleur, choux de Bruxelles, citrouille, concombre, cœurs de palmier, courges, courgettes , endives, épinards, fenouil, haricots beurre, haricots verts, navets, oignon, petits pois, poireaux, poivrons, potiron, radis, salades, tomates , topinambours

    • crus
    • cuits
    • en potage
    • frais
    • surgelés (non cuisinés)
    • en conserve

     

    FRUITS

    2 à 3 fruits par jour

    rhubarbe, melon, pastèque , pamplemousse, fraises , framboises, groseilles, mûres, cassis, citron , poire, pomme , pêche, orange, mandarines ou clémentines, abricots moyens , prunes, quetsches, reines-claudes, ananas, kiwis , mangue, grenade, banane, raisin, litchis, cerises , mirabelles, myrtilles, figues

     

    • frais
    • en compote
    • surgelés
    • en conserve

     

    En conclusion, variez vos fruits et légumes et privilégiez les fruits et légumes frais de saison moins chers mais également plus savoureux

     


     

    FÉCULENTS 

    pommes de terre, riz, pâtes, légumes secs (=lentilles, flageolets, haricots blancs, haricots rouges, fèves, pois chiches, pois cassés), maïs, pain, blé, céréales, biscottes, boulgour, quinoa, semoule

    Les féculents ne font pas grossir : c’est ce qu’on mange avec ou la façon dont on les prépare qui peut augmenter leur apport calorique : pain beurré, frites, pâtes aux lardons et à la crème… De manière générale, mieux vaut limiter les matières grasses ajoutées (sauces, graisses de cuisson, crème, beurre…).

    Les féculents sont à consommer :

    • à chaque repas
    • selon l’appétit
    • toujours associé à un légume

    Limitez votre consommation de frites et fritures (pommes de terre noisette, pommes de terre rissolées…) car elles sont très grasses. (1 grande portion de frites du fast-food contient environ 3 cuillères à soupe d’huile) Idéalement, évitez d’en consommer plus d’1 fois par semaine et modérez les quantités.


     

     LAIT ET PRODUITS LAITIERS 3 à 4 par jour, en privilégiant les laitages les moins gras

    yaourts à base de lait écrémé ou demi-écrémé, fromage blanc à 0 ou 20% de MG, petits-suisses à 0 ou 20% de MG, fromage, lait écrémé ou demi-écrémé

    - Limitez votre consommation de fromage car il est riche en graisse (1 portion individuelle de fromage contient l’équivalent d’une cuillère à soupe d’huile).

    Afin de limiter l’apport en graisse de vos repas, éviter d’associer viande (ou poisson ou œufs) et fromage au même repas.

    2 portions individuelles de fromage (50g) peuvent en revanche remplacer de temps en temps la portion de viande.

    - Attention également aux crèmes dessert qui contiennent moins de lait donc moins de calcium et sont plus gras et plus sucrés que des yaourts ordinaires (1 crème dessert au chocolat contient l’équivalent de 3 cuillères à café d’huile et de 4 carrés de sucre).

     


     

    VIANDE-VOLAILLE-POISSON-ŒUF 1 à 2 fois par jour, en quantités contrôlées

    Idéalement, à chaque repas, midi et soir :

    100g de viande

    OU 150g de poisson,

    OU 2 œufs (1 à 2 fois par semaine),

    OU 80g de jambon cuit dégraissé (2 fines tranches)

    - Mangez régulièrement du poisson (au moins 2 fois par semaine): les formes surgelées ou en conserve (sans huile) permettent de trouver du poisson à des prix abordables.

    Évitez en revanche le poisson pané qui est riche en graisse et nécessite un mode de cuisson plus gras.

    - Privilégiez au maximum les morceaux de viande les plus maigres (rosbif, rumsteck, bavette, dinde, filet mignon, cheval, lapin, steak haché 5% de MG, gibier…) et retirez le gras « visible » pour les viandes plus grasses.

     


     

    MATIÈRES GRASSES

    huiles, beurre, margarine, crème fraîche, mayonnaise, saindoux, graisse d’oie, etc…

    - Elles sont toutes très caloriques ; une consommation trop importante de matières grasses favorise donc la prise de poids.

    Une consommation minimale de graisses reste néanmoins indispensable au bon fonctionnement de votre corps.

    Il est ainsi recommandé de consommer 30 à 40g de matières grasses par jour sachant que 10g de matières grasses est apporté par 1 c. à café légèrement bombée de beurre ou de margarine ou par 1 c. à soupe d’huile…faites vos calculs !

    - Les matières grasses peuvent être d’origine animale ou végétale : privilégiez celles qui sont d’origine végétale, c’est-à-dire les huiles ou certaines margarines (uniquement en barquette, « 100% d’origine végétale »). Limitez à l’inverse les matières grasses d’origine animale, riches en cholestérol et qui, en excès, bouchent les artères.

    Variez les huiles

    Toutes les huiles sont bonnes

    Vinaigrette allégée pour 2 personnes :

    1 c. à soupe d’huile

    + 1 c. à soupe d’eau

    + 1 c. à soupe de vinaigre

    +/- moutarde, échalotes, persil, sel/poivre…

    - Pour les fritures, évitez les graisses « dures » à température ordinaire (gras de bœuf, huile de palme…) et préférez les huiles qui supportent mieux la chaleur (huile d’arachide, huile spéciale fritures). Renouvelez totalement le bain 10 à 12 fritures après.

     


     

     PRODUITS SUCRES Limitez leur consommation !

    sucre, confiture, miel, chocolat, confiserie, biscuits, pâtisseries, crèmes dessert, yaourts sucrés, viennoiseries, glaces, sorbets, etc…

    Méfiez-vous d’autant plus qu’une grande partie de ces produits (pâtisserie, chocolat, viennoiseries, biscuits, glaces…) apportent également beaucoup de graisses et favorisent donc la prise de poids.

    Néanmoins, consommés de temps en temps, en quantité raisonnable, les produits sucrés sont compatibles avec un bon état nutritionnel. Ils peuvent être consommés pour le plaisir en petite quantité tous les jours mais n’en abusez pas !


    BOISSONS De l’eau à volonté !

    - L’eau est la seule boisson indispensable à l’organisme. Il est conseillé de boire au minimum 1,5l d’eau par jour.

    Sachez que l’eau du robinet est très contrôlée en France : on peut la boire en toute tranquillité, d’autant plus qu’elle est moins chère que l’eau en bouteille.

    - Limitez les boissons sucrées ; gardez-les pour le week-end ou pour les fêtes et privilégiez les boissons light. 1 canette de colla contient l’équivalent de 7 carrés de sucre, soit 32 carrés de sucre pour une bouteille de 1,5l !

    - Compte-tenu des effets néfastes de la consommation excessive d’alcool sur la santé,  il est recommandé de ne pas dépasser 2 verres de vin par jour (10 cl) pour les femmes et 3 pour les hommes.

    Lire la suite sur : 

    http://www.diabhainaut.com/index.php?option=com_content&view=article&id=356:familles-d-aliments&Itemid=84

     

     

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  • Merci à nos 625 coureurs !

    21 MAI 2014

    La 35e édition des 20km de Bruxelles comptait 625 coureurs de la Ligue Braille, un record depuis notre première participation ! Pendant plusieurs mois, nos coureurs et sponsors se sont mobilisés pour les enfants aveugles et grâce à eux nous avons pu récolter 25.000€ pour soutenir nos projets en leur faveur !

    Photo de l’équipe de la Ligue Braille

    Pour les enfants aveugles

    Nous prêtons chaque année une grande attention aux enfants aveugles et malvoyants. Grâce à des journées et des activités spécialement conçues pour eux nous tenons à ce qu’ils puissent se sentir épanouis dès leur plus jeune âge tout en favorisant leur autonomie au quotidien. Pour certains services, nous recevons des subsides, pour d’autres, nous dépendons de vos dons. 

    Vos nombreux dons nous ont permis de récolter 25.000€ !

    Un grand merci à tous nos coureurs ainsi que nos sponsors : Mattel, la Banque Degroof, Koba Vision, Promo Sapiens, Van Piperzeel, Eureka!, Domestic Services, Sensotec, Digitas LBi, Befimmo, Auxipress, Groupe impresor ariane, Valeo, Spiromatic, BASE company, Dun & Bradstreet, Novartis / Sandoz / Alcon, Hayez, Schréder et LIDL.

    Deux enfants déficients visuels côte à côte

    Notre Coureuse en Or

    Marleen Van Wesemael a récolté 395 euros auprès de ses proches pour financer les activités de la Ligue Braille en faveur des enfants aveugles. Afin de l’en remercier nous l’invitons avec une personne de son choix au déjeuner de clôture du stage d’autonomie à la mer ce 4 juillet 2014, pour rencontrer les enfants aveugles et malvoyants. Merci Marleen !

    Marleen Van Wesemael, notre Coureuse en Or.

    Pour son implication exceptionnelle, Véronique Laros viendra également rencontrer les enfants aveugles et malvoyants ce 4 juillet 2014. Le jour de la course, Véronique avait récolté 281 € pour financer nos activités. Merci Véronique !

    Véronique Laros tenant un bouquet de fleur.

    Résultats de la course

    Cette année, notre équipe a grimpé à la 12e position du classement généralsur un total de 500 équipes ! Le coureur le plus rapide de notre équipe étaitSebastien Mahia avec un très beau temps de 1h 10min 29sec.

    Encore toutes nos félicitations !

    Les photos des 20km de Bruxelles

    Retrouvez toutes nos photos sur la page Facebook de la Ligue Braille !

    Une personne aveugle et son guide

    L’équipe de l’entreprise Schréder prend la pose pour la photo

    Une coureuse salue les supporters sur le parcours.

    Un coureur souriant en plein effort.

    Une personne aveugle se fait masser après la course

    Attention, si vous utilisez un lecteur d'écran pour visiter ce site, les modules suivants ne sont pas entièrement accessibles. Ils permettent de partager cette page sur Facebook, Twitter ou Google+.

     http://www.braille.be/fr/a-propos-de-nous/actualites/2014/05/merci-a-nos-625-coureurs?utm_source=Ligue+Braille+asbl&utm_campaign=1c73c5346d-Newsletter_juin_2014_inscription_newsletter&utm_medium=email&utm_term=0_bad31a3ff5-1c73c5346d-104275045
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  • Pédicure ? Podologue !

    En Suisse, le podologue est reconnu par la loi sur les professions de la santé et habilité à exercer sur autorisation du Médecin cantonal.

    Le podologue est le spécialiste du pied, de l’équilibre et de la marche.

    Il est compétent pour traiter les affections de la peau et des ongles des pieds.
    Par la confection de supports plantaires, il cherche les solutions adéquates pour relancer une bonne fonction du membre inférieur, une marche la plus harmonieuse et indolore possible et encore une meilleure assurance dans l’équilibre de la posture.

    Le podologue intervient sur tout type de pied et notamment sur des pieds dits "à risques" chez des personnes présentant des troubles des défenses immunitaires, de l’insuffisance artérielle, des neuropathies, diminution fréquente de la sensibilité chez les patients diabétiques, ou encore par exemple en traitement oncologique, syndrome main-pied.

    Il est nécessaire de savoir que désormais un pédicure est indiqué pour une beauté des pieds ou une pédicurie esthétique.
    Il n’est en aucun cas habilité à faire des soins tels qu’ils sont décrits dans ce site.

    Les Associations de diabétiques :
    Association Genevoise des Diabétiques 
    Association Vaudoise du Diabète 
    Association Valaisanne du Diabète

    Autres associations :
    Ligue suisse contre le rhumatisme
    Spondylarthrite-ankylosante Info
    Sclérose en Plaque
    Association suisse des fibromyalgiques
    Ligue suisse contre le cancer

    Que fait le podologue ?

    Les champs d’actions d’un podologue sont les traitements paramédicaux des piedssoins podologiques pratiqués avec des instruments stérilisés, et la réalisation d’orthèses autrement dit appareillages, allant de la semelle podologique amovible à la chaussure, en passant pas les orthèses temporaires,sortes de pansements de courte ou moyenne durée. 
    Les orthoplasties, appareillages en silicone moulé pour les orteils, le sorthonyxies, orthèses pour les ongles incarnés, et les onychoplasties, orthèse reconstructive de l’ongle, font partie également qualifications du podologue.

     

    Lire la suite...

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  • L’été, les petites bestioles sont nos pires ennemis. Mais s’il en existe une qui nous ennuie particulièrement, c’est bien l’aoûtat ! Comment s’en débarrasser ? Que faire en cas de morsure ? Santé Magazine vous donne des solutions.

    L’aoûtat appartient à la famille des acariens. L’adulte est inoffensif, c’est la larve qui arrive sans bruit et nous inflige une morsure douloureuse.
    A peine visibles à l’œil nu, ces larves rouges se rencontrent dans les gazons, les zones ombragées, les vergers et près des zones humides (étangs, piscines,…)
    Lorsqu’elles nous mordent, elles injectent leur salive qui va déclencher les symptômes suivants :

    • Formation d’un bouton boursouflé, souvent auréolé, en seulement quelques heures ;
    • Démangeaisons importantes au bout de 20 à 30 heures, pouvant persister une semaine.

    Après la morsure, la larve d’aoûtat reste en place quelques temps et fini par se décrocher, parfois au bout de plusieurs heures pour s’enfouir dans le sol, en attendant ses nouvelles proies : insectes et invertébrés.

    Comment se protéger efficacement des piqûres ?

    Pour éviter les morsures, portez des vêtements longs et couvrants pour toute promenade en forêt.
    N’oubliez pas d’installer votre pique-nique sur une couverture, afin de na pas vous faire dévorer pendant votre repas ...
    Vous pouvez également utiliser des produits répulsifs, disponibles en pharmacie :

    • Les huiles essentielles d’eucalyptus, menthe et lavande vaporisées sur vos vêtements permettent de repousser les aoutats ;
    • Le talc répandu sur les vêtements et sous-vêtements assure une très bonne protection ;
    • Les répulsifs anti-moustiques à base de DEET (dosés à 10 % chez les enfants de 6 mois à 12 ans) ou d'IR3535 peuvent aussi être utilisés mais sont contre-indiqués chez les moins de 6 mois.

    Je me suis fait piquer. Que faire ?

    Dès l’apparition des premiers symptômes, prenez un bain chaud et lavez vous avec du savon de Marseille.
    Pour guérir les piqûres, frictionner la plaie avec de l’alcool à 90° dénaturé, ou appliquez de l’Ascabiol sur la piqûre à l’aide d’un coton (disponible sans ordonnance). La larve sera neutralisée et se décrochera immédiatement.
    Si les démangeaisons, douleurs ou œdèmes sont importants, demandez l’avis de votre pharmacien qui pourra vous conseiller une crème à base de cortisone (Cortisedermyl), parfois additionnée de lidocaïne (type Onctose) et un traitement anti-histaminique par voie orale (à base de Cétirizine ou de Loratadine).

    Si vous présentez des symptômes de l'allergie (urticaire, œdème important, troubles de la respiration, …), consultez un médecin sans attendre.

    Tina Gereral Le Nabat
     
    Mis à jour le 14.04.2014
     
    http://www.santemagazine.fr/actualite-que-faire-contre-les-aoutats-50241.html
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  • Benoît Violier, saine gourmandise

    Questions/Réponses
    A la recherche des saveurs gustatives, Benoît Violier s’intéresse aussi beaucoup à la santé© Romain Graf
     
    Elu cuisinier de l’année par le Gault & Millau suisse, Benoît Violier, chef du restaurant triplement étoilé de l’Hôtel de Ville de Crissier près de Lausanne, nous le dit sans détour: gastronomie et diététique se marient parfaitement.

    Gastronomie, plaisir et santé: est-ce une équation possible selon vous?

    Bien sûr. On essaie de faire tous les jours une cuisine saine. On a même réadapté tous nos plats pour qu’ils le soient de plus en plus. On ne peut pas se passer de matière grasse, parce que c’est elle qui va fixer le goût, mais on en travaille moins et on la cuisine différemment.

    On ne va plus épaissir une sauce avec du beurre, on va utiliser à la place des huiles qui ne sont pas «sur-cuites». Les modes de cuisson ont aussi beaucoup évolué. Avant, tout était poêlé dans le beurre, on apprenait cela à l’école. Maintenant, c’est fini. Par ailleurs, il m’arrive de donner des conférences avec des médecins passionnés de gastronomie. Ils m’expliquent tout ce qui est sain pour le cœur et pour le corps en général. Je m’y intéresse beaucoup et j’apprends.

    Comment cette prise de conscience est née chez les grands chefs?

    Michel Guérard, qui fait partie de la grande famille des chefs étoilés, a été le premier à lancer cette cuisine moderne, vapeur, saine, avec des justes cuissons. C’est lui qui a commencé à enlever tout ce beurre et toute cette crème réduite.

    Il y a dix ans, ce qui symbolisait un grand restaurant, c’était d’être repu à la sortie. On arrivait au repas principal et on n’avait plus faim. Aujourd’hui, c’est fini. Il n’y a pas besoin de mettre cinquante produits différents dans l’assiette. Les gens veulent en goûter cinq ou six, mais sortir de table en étant bien. De plus, la façon même d’élaborer un menu a changé. L’idée est de cuisiner autour d’un produit principal. Ensuite, on essaie de le sublimer avec beaucoup de jus et de sauces à base de légumes.

    On ne mange pas tous les jours dans un restaurant gastronomique, est-ce si important que la cuisine y soit diététique?

    Détrompez-vous, nous avons une clientèle d’habitués qui viennent et qui reviennent. On me demande souvent quel a été le changement par rapport à mes prédécesseurs. On a beaucoup épuré notre cuisine, en enlevant tout ce qui était mauvais pour la santé. Mais, à un moment, on ne peut pas mettre moins de matière grasse. Je pense qu’on a trouvé un bon compromis.

    Cuisiner les produits du terroir et de saison est la règle de base d’un bon cuisinier

    Vous l’avez partiellement évoqué, quel rôle les ustensiles ont-ils à jouer pour cuisiner de manière équilibrée?

    L’influence asiatique est forte. On travaille avec le wok, qui nous vient des Chinois ou le tépaniaki, un ustensile de cuisson japonais. Le tépaniaki est un plan incliné avec une partie très chaude qui nous sert à saisir le poisson par exemple, et une plus douce pour la cuisson. L’inclinaison de la plaque permet de mettre peu de matière grasse. Il suffit d’un filet d’huile d’olive sur un poisson, sur une noix de Saint-Jacques, sur un filet de volaille ou du homard.

    Quant au wok, le principe est de cuire l’élément dans ce qu’il a de plus naturel. On le chauffe à blanc, on y jette un petit mélange de légumes, on y met un filet d’huile d’olive, du sel, du poivre et on mélange bien. Ils vont cuire dans leur eau de végétation, ce qui préserve toutes les vitamines.

    Pour faire des sauces et des liaisons, on travaille beaucoup avec la centrifugeuse, pour extraire la pulpe des aliments et la chlorophylle des herbes aromatiques.

    Est-il aussi possible d’être plus diététique dans les desserts?

    Oui, bien sûr! Nous avons enlevé beaucoup de sucre. Avant, le rapport était de 250 grammes de sucre par litre, maintenant il n’est plus que de 110 grammes. Je me méfie des nouveaux sucres et des succédanés tels que l’aspartame. Nous préférons travailler avec les sucres de fruits. On extrait leur pulpe, on l’étale sur des feuilles de cuisson, on la chauffe à 160°. Cela donne des tuiles, qu’on casse et qu’on utilise pour donner du pep à nos desserts. Ou encore, on poche des fraises, puis on les passe au chinois pour en extraire le jus. Le goût qui en ressort est multiplié par dix.

    Quels conseils donneriez-vous aux cuisiniers amateurs?

    Manger et travailler des produits de saison et locaux qui ont une meilleure saveur. Depuis Noël, on voit des asperges sur les marchés, des fraises en février, des cerises qui viennent d’Amérique du Sud, c’est complètement ridicule. Pour notre restaurant, je n’achète rien qui vienne de l’autre bout de la planète, à part les épices qui arrivent d’Inde. M. Rochat et moi-même avons rencontré des chefs à Singapour il y a deux ans. Tous nous ont dit: c’est une chance d’avoir des saisons!

    Choisir des produits du terroir est une règle de base pour un cuisinier?

    Oui. Nous valorisons au maximum les produits du terroir. Nos fraises sont cultivées à Crissier, les cardons poussent dans le jardin d’à côté depuis plus de 50 ans… Notre rêve: cuisiner tout bio et proposer au menu du poisson du lac Léman – de la truite par exemple – mais nous rencontrons des problèmes de quantité. Les terres ici sont très froides. Selon moi, le terroir s’étend du Jura aux limitrophes de la Suisse. On n’est pas loin de la mer, à une heure d’avion de La Rochelle. Nos produits sont extrêmement frais. Pour preuve, les poissons, coquillages et crustacés que nous avons aujourd’hui en cuisine sont passés à la criée hier soir. La vallée du Rhône, d’où proviennent beaucoup de nos fruits et légumes, n’est qu’à trois heures de camion. Je me méfie en revanche de tout ce qui vient d’Asie et je bannis certains produits, comme les thonidés, qui sont très chargés en mercure. Quand je travaillais à Monaco, nous les voyions suivre les yachts de luxe pour manger les déchets jetés à la mer.

    Aujourd’hui, il est beaucoup question des sensibilités alimentaires des uns et des autres. Y êtes-vous attentif au restaurant?

    Oui, on a dû s’y adapter. Avant la commande, le maître d’hôtel demande aux clients s’ils souffrent d’une allergie ou d’une intolérance quelconque (au gluten ou au céleri par exemple). Le cas échéant, nous en tenons compte. Depuis le mois de novembre, nous proposons un menu totalement végétarien.

    Cet hiver, on a assisté à plusieurs scandales alimentaires: de la viande de cheval dans les lasagnes congelées, des matières fécales dans les desserts proposés chez Ikea… Quel regard portez-vous sur ces événements?

    “On ne peut pas se passer de matière grasse, parce que c’est elle qui va fixer le goût, mais on en travaille moins et on la cuisine différemment”

    Je ne suis pas surpris. Je suis plutôt étonné qu’on n’ait trouvé que du cheval dans les lasagnes. Dans les pays de l’Est, il y a de grands élevages de gibier. Je suis sûr qu’il y en a aussi dans ces plats préparés. Nous indiquons depuis longtemps la provenance de nos produits sur la carte, les gens y sont plus sensibles aujourd’hui.

    Dans 90% des cas, nous mettons un visage et un nom derrière le produit.

    Vous animez des ateliers de cuisine, est-ce pour coller à l’air du temps?

    Non, nous tenons à passer des messages: d’abord que cuisiner de saison est une chance. Nous insistons sur l’importance de faire les choses soi-même (les plats préparés sont gorgés d’huile de palme, de sirops en tout genre), de bien lire les étiquettes et d’être attentif à la traçabilité des produits. Nous enseignons des techniques, en adaptant nos recettes au matériel que l’on trouve chez les particuliers (les paniers vapeur, les couscoussiers), même si ce matériel est de plus en plus performant. Nous transmettons aussi un style et une façon d’être. Pour les recettes elles-mêmes, certains clients, des sportifs par exemple, ont des demandes particulières comme apprendre à faire des desserts (des cakes) qui augmentent leur endurance.

    Vous avez travaillé avec des sportifs de haut niveau, racontez-nous.

    Oui, j’ai mis au point des menus spécifiques pour des gens comme Mike Horn, les frères Ravussin, Jean Troillet ou Géraldine Fasnacht. Les Ravussin sont venus me voir avec un nutritionniste afin d’établir un planning de menus pour toute la durée de leur expédition en mer. L’idée étant de définir un apport calorique quotidien tout en tenant compte de leurs contraintes comme le poids total de la nourriture sur le bateau. J’ai alors mis au point des mets d’aliments déshydratés, à base de viande, ainsi qu’une quinzaine de sauces pour accompagner les repas. Pour Mike Horn, j’ai réalisé des recettes de cakes hypercaloriques, avec de l’alcool, du miel, des fruits confits.

    Les enfants aussi ont droit à leur atelier. Qu’y apprennent-ils?

    D’abord nous leur montrons la cuisine. Ensuite, nous leur présentons les meilleurs produits de la saison, et nous leur faisons goûter des jus de fruits et de légumes. Généralement, ils mangent de tout. Nous préparons dans la cuisine du restaurant deux recettes salées, que nous dégustons tous ensemble, puis deux recettes sucrées – par exemple des cupcakes avec des fruits de saison – qu’ils emporteront à la maison.

    Êtes-vous plutôt beurre ou huile?

    Le beurre est l’emblème du Poitou, la région de France dont je suis natif. J’ai été élevé au beurre, mais je préfère cuisiner avec des huiles. L’huile d’olive bien sûr, mais d’autres également: colza, noisette, oeillettes, etc.

    Viande ou poisson?

    Je suis très poisson, de mer de préférence, parce que je trouve que c’est plus sain. Au restaurant, pour le personnel, on en cuisine quatre fois par semaine. Pour s’assurer de la qualité des produits de la mer, on peut s’approvisionner dans des épiceries fines et chez un poissonnier.

    Cuit ou cru?

    Pour moi, la cuisine, ce sont des aliments cuits. Je me méfie de tout ce qui est cru pour des raisons sanitaires (présence de bactéries, etc.).

    Frais ou congelé?

    Frais, obligatoirement. Même pour le personnel, qui mange les mêmes produits que ceux que nous servons à nos clients. C’est une tradition instaurée de longue date dans la maison. On ne peut pas exiger de nos cuisiniers de bien travailler s’ils ne mangent pas bien. A la maison, je trouve normal que les gens congèlent des aliments, en cas de surproduction ou parce qu’ils travaillent. Mais il faut savoir que la congélation altère les produits.

    Cuisson vapeur ou à la poêle?

    De la cuisine vapeur tous les jours, c’est un peu triste. Poêler une Saint-Jacques, lui donne une belle apparence et un goût sublimé. On peut exaucer les papilles en colorant les sucs. Mais on peut également utiliser les deux techniques: marquer un filet de veau sur le gril, le rouler ensuite dans un film alimentaire et terminer la cuisson à la vapeur.

    Terre ou mer?

    J’aime la mer, cela me relie à mon enfance. Ce que l’on mange quand on est enfant nous marque pour toujours: le poulet au citron de ma mère ou les carottes arrachées dans le jardin. Dans l’élaboration, c’était simple, mais les produits étaient bons.

    http://www.planetesante.ch/Mag-sante/Mon-alimentation/Benoit-Violier-saine-gourmandise

     

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  • Posted: 08 Jun 2014 10:27 PM PDT


     La société biomédicale israélienne Beta-O2 Technologies a développé une technologie qui pourrait considérablement faciliter la vie des patients diabétiques. Il s’agit d’un pancréas bio-artificiel implantable : le ßO2. Il a été conçu comme un traitement pour les patients insulino-dépendants, soit les diabétiques de type I et ceux d’un sous-groupe de type II. Ces deux catégories regroupent près de 30 millions de personnes dans le monde...

    De type I ou II, le diabète traduit une élévation anormale du taux de glucose dans le sang. Cette anomalie est due à l’incapacité de l’organisme de métaboliser correctement le glucose, nécessitant de l’insuline (naturellement insuffisante ou mal utilisée) pour le transport du glucose dans les cellules.

    Le traitement actuel de ce type de diabète est lourd, désagréable, sans être optimal. Le dispositif ßO2 est implanté sous la peau lors d’une opération rapide et peu invasive. L’appareil réunit des îlots de Langerhans – contenant eux-mêmes des cellules produisant de l’insuline – qui sont oxygénés et nourris de façon continue grâce à la technologie exclusive de Beta-O2.

    Ces îlots de Langerhans sécrètent le taux d’insuline nécessaire au maintien d’une glycémie normale dans le corps du patient, tandis que les cellules sont protégées contre le système immunitaire par des membranes couvrant le dispositif. "Ajout personnel pour mieux comprendre cet article : le diabète de type I est une maladie auto-immune, c'est-a-dire qu'a un moment de la vie du malade le corps a interprété de maniéré erronée la présence des îlots de Langherans (présents dans le pancréas), et pour une raison encore indéterminée le corps a décidé de détruire ces îlots, comme il détruit tout corps qui lui est étranger.

    Dans le cas du diabète de type I, insulino-dépendant, les cellules beta des îlots de Langerhans sont quasiment totalement détruites et ne fabriquent plus d'insuline, qui est une hormone nécessaire a l'utilisation du sucre par le corps. Le patient souffrant de diabète de type I doit donc se faire plusieurs fois par jour des injections d'insuline, insuline envoyée en une dose unique et censée correspondre aux besoins du corps par rapport a la nourriture absorbée.

    Malheureusement ce dosage est approximatif et ne prend pas en compte certains paramètres comme l’activité physique qui augmente le besoin en sucre, sucre qui sous différentes formes correspond a l’énergie du corps.

    L'insuline a pour but d'extraire le trop plein de sucre dans le sang et de le stocker dans le corps grâce a un processus complexe, que je ne détaillerais pas ici.

    Le danger des injections d'insuline est donc son approximation, en une fois (même si ces injections seront répétées a chaque repas), et son cote irréversible (l'antidote de l'insuline étant bien sur le sucre).

    Alors que le corps secrète son insuline en fonction des besoins et gère tout seul son équilibre glycémique, le diabétique doit penser a doser sa nourriture en fonction de ses injections, et vice et versa, mais il doit aussi contrôler sa glycémie avec un appareil spécial, qui nécessite une goutte de sang pour effectuer l'analyse de la glycémie, et ce plusieurs fois par jour afin notamment d’évaluer si son traitement est adapte a son alimentation, et si son diabète est donc équilibré, mais aussi et surtout afin de vérifier qu'il n'est pas en danger d’hypoglycémie.

    Comme on le voit, le traitement du diabète de type I est assez contraignant et lourd, d'ou l’intérêt de cette invention israélienne, le dispositif ßO2".* Cette nouvelle technologie permettra aux patients diabétiques insulino-dépendants de pouvoir vivre avec un taux de glucose correct, sans contrôle glycémique intensif ni injections d’insuline.

    Le diabète est une maladie grave qui, sans traitement approprié, peut être à l’origine de maladies cardiaques, de la cécité, de l’insuffisance rénale, voire d’amputations. Les scientifiques ont longtemps essayé de recréer le processus naturel de production d’insuline, envisageant la transplantation d’îlots comme un remède au diabète.

    Mais à ce jour, les défis complexes de l’oxygénation continue et le rejet immunitaire de l’organe transplanté n’ont pas été relevés. Beta-O2 a, en quelque sorte, contourné ces problèmes avec le ßO2.Beta-O2 est actuellement engagé dans des études pré-cliniques et devrait entamer les essais cliniques dans un avenir proche.

    La société a déjà réussi à ajuster la glycémie des rats diabétiques à un taux de glucose normal, après implantation sous-cutanée de l’appareil.
    Source Haabir-haisraeli.over-blog

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  • En 2008, passé la quarantaine, Ludovic Bisot a décidé d'opérer un tournant radical dans sa vie. Après 20 ans de (trop de) sérieux dans l'export industriel et dans le conseil, il a voulu enfiler le tablier, mettre la main à la pâte et passer derrière la vitrine pour s'adonner à ses passions de la gastronomie en général et du fromage en particulier, de la province, du terroir, de l'histoire et de la culture agricole.

    Originaire de la Bourgogne, il ouvre largement sa vitrine à la région de son cœur (dont beaucoup de délicieux fromages de chèvre !), mais aussi à de nombreux fromages européens.

    Après une formation organisée par la Fédération Nationale des Détaillants en Produits Laitiers, il fait un « tour de France » et d'Europe des détaillants et des producteurs. Il s'installe finalement à Rambouillet où il rachète une crèmerie fromagerie.

    Rires et fromages

    Ludovic Bisot aime accueillir les clients avec humour et bonne humeur. Ainsi, il n'a pas hésité à faire un Harlem Shake sur une musique techno, avec ses amis déguisés en vaches et à diffuser la vidéo sur internet ou à mettre en ligne une parodie des Tontons flingueurs, les Frometons flingueurs et il organise depuis l'année dernière un tournoi parodique, Le Roland Claquos, les Internationaux de France des fromages, qui voient s'affronter 128 fromages pendant 15 jours.

    L'année dernière, le Saint-Nectaire a battu le Reblochon en 4 sets. Ludovic Bisot n'en oublie pas de vendre des fromages, venus de toute la France, avec un petit air d'ambassade de Bourgogne, mais également des AOP venus de toute l'Europe.

    Comme le Fromage de Herve belge, le Claxton, le Stilton, le Cheddar et le Shropschire anglais, sans évidemment oublier les Fromages de Suisse.

    La légitimité suisse

    Ludovic Bisot propose 5 Fromages de Suisse dont il admire la qualité de fabrication et aime le goût d'alpages, à commencer par le Gruyère AOP d'Alpage et l'Etivaz AOP, en fonction de la qualité des arrivages. Il choisit personnellement les meules qu'il propose en faisant le tour des grossistes à Rungis.

    Les gourmands trouveront aussi du fromage Appenzeller®, du Vacherin Fribourgeois AOP et de la Tête de Moine AOP qu'il découpe en Rosettes pour décorer des plateaux personnalisés. Il propose aussi du Raclette Saint Niklaus. Il apprécie les Fromages de Suisse en pure dégustation et leur capacité à être mangés fondus, en raclette ou en fondue.

    Savourer les Fromages de Suisse

    Ludovic Bisot conseille d'accompagner les Fromages de Suisse avec un Fendant du Valais et quelques fruits secs. Un pur délice ! Il aime également les déguster fondus. Il conseille d'en faire fondre une tranche et de la poser sur des grillades, ou de la glisser à l'intérieur d'un steak avant de le saisir. Et en été, il conseille d'agrémenter les salades composées avec des Fromages de Suisse : leur tenue et leur goût est parfait !

    Ludovic Bisot
    87 rue du Général de Gaulle,
    Rambouillet
    01 34 83 08 12
    www.toutunfromage.com

     

    http://www.fromagesdesuisse.fr/news-events/passion-fromager/ludovic-bisot.html

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