1. Des chercheurs britanniques mettent au point une nouvelle manière de soigner les caries. En favorisant la reminéralisation de la dent malade, il devrait être possible d’éviter l’utilisation de la roulette de dentiste et du « plombage ».

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  • photo © pete pahham - Fotolia.com 

     

    Epandages massifs et sulfateuses municipales... Dans l'imaginaire collectif, le mot pesticide rime avant tout avec agriculture intensive et gestion des espaces verts.

    Ainsi quand il s'agit de dénoncer leur présence imposée, on oublie trop souvent de balayer devant la porte de son placard à produits ménagers. De fait, l'utilisation domestique des produits destinés à éliminer les nuisibles dans et autour de la maison est une réalité que l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) aimerait pouvoir mieux appréhender. Dans un communiqué daté du 2 juillet, l'Anses annonce donc le lancement, en partenariat avec l'Observatoire des résidus de pesticides (ORP), d'une grande étude nationale baptisée Pesti'home (pdf).

    Cette étude fait ainsi écho à l'avis émis par l'Inserm en juin 2013 qui rappelait le lien positif entre l'exposition aux pesticides et de nombreuses pathologies (cancers, malformations congénitales, maladie de Parkinson). Piloté par un comité d'experts, ce rapport rappelait qu'en France, peu de données quantitatives par type d'usage étaient accessibles au sujet des pesticides.

    Tirage au sort

    Financée par les ministères en charge de l'écologie, de la santé et de l'agriculture, Pesti'home est la première étude sur ce sujet menée à l'échelle nationale. Elle se déroulera dans 150 communes choisies sur l'ensemble du territoire métropolitain. Dans ces villes et villages, 1.500 foyers seront tirés au sort pour participer à l'étude qui débutera le 3 juillet 2014 et se poursuivra jusqu'en octobre 2014. Les heureux élus seront prévenus par un courrier de l'Anses les invitant, s'ils le souhaitent, à participer à cette étude scientifique. Les foyers volontaires recevront alors la visite d'un enquêteur qui recensera avec leur aide, les produits pesticides utilisés à leur domicile, ainsi que la manière dont ils sont utilisés.

    L'Anses espère que les données ainsi récoltées permettront de mieux évaluer l'exposition de la population française aux pesticides, en complément des travaux déjà existants sur les expositions via l'alimentation et celles liées aux utilisations professionnelles de ces produits. Elle pourrait notamment permettre de définir de nouvelles priorités de santé publique visant à réduire les expositions des populations aux pesticides.

    VOIR AUSSI

    http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-pesti-home-premiere-etude-nationale-sur-l-exposition-aux-pesticides-menagers-13837.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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  • Aaaah! Les barbecues! Et avec eux, leurs 1001 accompagnements! Parmi ceux-ci, le riz se décline en diverses recettes: salade de riz, risotto, riz froid, ... Pour profitez au mieux de ses bienfaits, il est utile d'en connaître ses propriétés et ses variétés.
    Une nutritionniste américaine, Theresa Nicklas, vient de démontrer, dans une nouvelle étude publiée dans la revue Food and Nutrition Sciences, le lien existant entre la consommation de riz et une bonne santé physique. En manger régulièrement permettrait d'absorber moins de graisses saturées et de sucres ajoutés, selon les résultats de ses recherches, menées pendant cinq ans auprès de 14.386 volontaires. "Manger du riz est aussi associé à la consommation de légumes, de fruits, de viande et de haricots", souligne la nutritionniste. Les adultes, dont l'alimentation a été analysée de 2005 à 2010, présentaient également une quantité supérieure de potassium, de magnésium, de fer, de vitamine B9 et de fibres. En d'autres termes, le riz, qu'il soit blanc ou brun, aiderait à se nourrir plus sainement et comblerait les besoins nutritifs dont le corps a besoin. Riches en gludices complets, 100 grammes de riz blanc couvrent en moyenne entre 15 et 20% des apports journaliers recommandés en glucides. Evidemment, pour profiter de ses avantages, il est recommandé de ne pas noyer le riz sous un océan de sauce. 

    BRUN PLUTÔT QUE BLANC

    D'autres études menées à long terme ont toutefois démontré que la consommation importante de riz blanc engendrait un risque plus élevé de diabète de type 2. Les auteurs de ces différentes recherches recommandent dès lors de préférer le riz basmati, brun ou les céréales complètes, qui possèdent un index glycémique plus bas. En 2010, des chercheurs américains avaient soulevé que la consommation régulière de riz brun faisait baisser de 11% le risque de souffrir de diabète de type 2. 

    FORMES, COULEURS, SAVEURS

    Il existe de très nombreuses variétés de riz, aux formes, couleurs et saveurs diverses. On pourrait ainsi les classer en fonction de leur forme, de leur origine, de leur longueur. L'environnement et la technique de culture jouent un rôle important dans la saveur du riz. Il peut en effet être traité de différentes façons pour obtenir du riz blanc, complet ou étuvé. Ce dernier est cuit sous vide avec son enveloppe de son. Il est ensuite décortiqué et séché après cuisson. Ce traitement préserve en partie les nutriments car ils migrent vers le coeur du riz pendant la phase d'étuvage. C'est aussi un riz qui ne colle pas! Le riz blanc est quant à lui totalement débarrassé du germe et du son. Comme il est décortiqué et poli, il est privé d'une partie de ses éléments nutritifs, même si de nouvaux procédés actuels parviennent à conserver certains de ces composants, notamment les vitamines. On préfère son goût et sa couleur à ceux du riz brun ou complet. Le riz brun est débarrassé de son enveloppe extérieure, mais il a conservé le germe et le son. Ses propriétés nutritives sont par conséquent supérieures à celles du riz blanc. 

    RONDS, LONGS, MOYENS

    Le riz se caractérise aussi par sa forme. Il peut être rond, moyen, demi-long ou long. Les variétés les plus connues et les plus consommées sont les riz Indica avec des grains longs et étroits, ainsi que les riz Japonica aux grains ovales ou ronds. Ce dernier est apprécié en Chine et au Japon: grâce à sa texture collante, il est plus facilement préhensible avec des baguettes. 

    INTERNATIONAL

    Le riz n'est pas cultivé qu'en Asie. Le riz Arborio, par exemple, est d'origine italienne et est généralement cuisiné en risotto. Le Calasparra provient d'Espagne, tandis que l'Ariette est cultivée en Camargue. Le riz rouge est issu des hauts plateaux d'Afrique ou des contreforts de l'Himalaya, voire de Camargue. Il est complet et dégage une légère odeur d'avoine lorsqu'il est cru. Le riz noir est quant à lui extrêmement parfumé. En Chine, où il est développé, il est appelé "riz vénéré". 

    FAITES VOTRE CHOIX

    Avec autant de différences et de particularités, il est difficile de faire le bon choix. Mais le bon choix existe-t-il vraiment? Goûtez, appréciez, choisissez celui que vous préférez et faites-en la vedette de vos buffets d'été!

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-10361-riz.html

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  • Les cancers de l’œsophage

    Qu'est-ce que c'est ?

    Ce sont des cancers assez fréquents et graves pour lesquels seuls un diagnostic et un traitement précoces peuvent faire espérer une survie durable.

    La cause est inconnue mais des facteurs favorisants sont identifiés :

    • L'alcool et le tabac sont les deux causes majeures en France ;
    • Toute lésion de l’œsophage est susceptible de dégénérer : cicatrice d' oesophagite, endobrachy-œsophage, méga-œsophage, tumeurs bénignes etc...;
    • La consommation d'opium et d'héroïne par voie inhalée.

    Le cancer de l’œsophage est fréquent dans certaines régions d'Asie et d'Afrique, de la mer Caspienne aux plateaux du Turkestan russe, puis chinois, jusqu'en Chine du Nord, et en Afrique du Sud. 
    La tumeur siège le plus souvent au tiers inférieur de l’œsophage.

    Les signes de la maladie

    La dysphagie intermittente et variable est le premier symptôme : le patient a l'impression que les aliments se bloquent de temps en temps derrière le sternum. Ce signe s'accompagne parfois :

    • De douleurs ;
    • De brûlures derrière le sternum ;
    • De troubles digestifs banals ;
    • D'éructations (rots) douloureuses.

    La fibroscopie permet de voir les lésions et de les biopsier.

    L'examen radiographique du transit gastroduodénale permet de voir des signes indirects du cancer, mais ne dispense pas de pratiquer la biopsie. L'examen anatomopathologique de la biopsie permet le diagnostic histologique.

    A un stade plus tardif, la dysphagie est permanente, la salivation exagérée (hypersialorrhée), avec régurgitations, enrouements...

    Complications

    Le cancer de l'oesophage s'étend assez rapidement aux tissus avoisinants, bronches et poumons notamment avec des fistules oeso-bronchiques et surinfections, et au reste de l'organisme par des métastases (ganglions, foie).

    Le bilan d'extension comprend les radiographies et tomographies thoraciques, le scanner thoracique et abdominal, l'examen ORL (paralysie du nerf récurrent entraînant une modification récente du timbre de la voix), la bronchoscopie, l'échographie du foie.

    Traitement

    La chirurgie peut utiliser plusieurs possibilités en fonction de l'état du patient, par exemple l'ablation totale de l'oesophage (oesophagectomie) avec rétablissement de la continuité digestive 1 à 6 mois plus tard par plastie extra-thoracique, associée ou non à la chimiothérapie et à la cobaltothérapie.

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  • À peine 6 Belges sur 100 perçoivent leurs habitudes alimentaires comme une menace pour la santé. C’est ce qui ressort de l’étude Eatwell, à laquelle a participé l’Université de Gand, à l’instar de plusieurs autres universités européennes. Ces données devraient contribuer à une meilleure politique de prévention...

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