• Le "basejump": 5 à 8 fois plus dangereux que le parachutisme

    mardi 22 avril 2014 à 14h58

    Le « basejump » est une sorte de saut en parachute, mais qui se pratique à partir non pas d’un avion ou d’un hélicoptère, mais d’un gratte-ciel ou d’une falaise, par exemple.

    © Capture d'écran YouTube

     

    Il s’agit d’un sport extrême pour lequel le sauteur ne dispose pas de parachute de secours, au cas où le principal ne s’ouvrirait pas. Si ce dernier s’ouvre mal, le sauteur envisage donc de s’agripper au mur ou à la paroi de la falaise. Le mont Kjerag, en Norvège, est un site prisé – et relativement sûr – par les pratiquants de basejump. En 11 ans, il a été le lieu de 20.850 sauts. Avec au final 9 décès, ce qui équivaut à 1 mort par 2300 sauts. 82 accidents non-mortels ont été également rapportés, la plupart du temps des fractures (notamment au genou) ou des chocs à la tête. En conclusion : le risque de faire un accident mortel au basejump est 5 à 8 fois plus important qu’en saut en parachute.

    http://www.levif.be/info/actualite/sante/le-basejump-5-a-8-fois-plus-dangereux-que-le-parachutisme/article-4000600540006.htm?nb-handled=true&utm_source=Newsletter-22/04/2014&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV

     

     

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  • Diabète : vivre comme tout le monde

    Le diabète touche aujourd'hui plus de 2 millions de personnes en France. Une maladie de plus en plus répandue, une maladie dont les complications peuvent être irréversibles. Pour limiter les risques de cécité, de néphropathie, d'amputation, les troubles cardiaques, une seule solution : un suivi assidu du traitement. Pour y parvenir certaines personnes insulino-dépendantes ont fait le choix de la pompe à insuline. Zoom sur ce dispositif méconnu qui permet d'oublier sa maladie au quotidien.

     

    La fin des injections

    Diabète pompe insulinePour limiter le risque de complications, il faut scrupuleusement contrôler son diabète et suivre assidûment son traitement ; ce qui implique pour de nombreux patients des injections multiples. "Je vivais très mal, je n'acceptais pas ma maladie, explique Mario, diabétique depuis 23 ans. Je me voyais comme un pestiféré : dans le mot diabète il y a le mot diable . Je me sentais exclu et dissimulais l'existence de ma maladie. Je me cachais pour effectuer mes injections et pourtant cela n'est pas facile sur son lieu de travail ! . Lorsque les gens vous voient sortir votre "petit matériel" d'injection, ils ont souvent  un mouvement de recul".

    Pour Ahmed, diabétique lui aussi depuis 9 ans, les injections d'insuline étaient une véritable contrainte. "Je devais me faire 2 piqûres, puis j'ai dû passer à 3 puis à 4, avec toutes les contraintes liées à un traitement aléatoire. Je faisais des hypoglycémies et des hyperglycémies très fréquemment. Je n'en pouvais plus de cette maladie qui contraignait à régler sa vie sans écart".

    Pour ces deux hommes, à l'image des patients qui ont un jour décidé d'opter pour une pompe à insuline, la vie a changé. Ils ont oublié les 100 à 150 piqûres d'insuline qu'ils se faisaient par mois et n'ont plus aujourd'hui qu'à changer tous les 3 jours le cathéter de leur pompe à insuline. Ce dispositif qui mime au mieux le fonctionnement du pancréas permet de délivrer de l'insuline en continu avec très peu de variation et de programmer la dose d'insuline à délivrer à chaque repas. De plus, la pompe permet d'adapter la quantité d'insuline à ses activités.

    Pratique, la pompe offre une très grande liberté par rapport aux traitements traditionnels par piqûres. Devoir faire face à l'imprévu n'est plus une angoisse, la vie est simplifiée.

    Se délivrer du poids psychologique de la maladie

    Au-delà de la gestion contraignante du traitement, le diabète est une maladie difficile à vivre, à admettre. La pompe à insuline est parfois la seule façon d'accepter cette maladie pour certains insupportable. "Pour moi la pompe n'était pas une "obligation" du point de vue médical, explique une fidèle internaute du forum de Doctissimo, mais cela répondait à une envie de liberté. Je dis maintenant, avec du recul, que je vis tout simplement depuis le mois d'avril, j'ai accepté cette maladie que je ne supportais pas, je vis et enfin je suis heureuse". Mario ne la contredira pas, pour lui la pompe est véritablement synonyme de renaissance "J'ai enfin accepté d'être diabétique, je peux vivre comme tout le monde et je suis heureux désormais. Fini les hypoglycémies et le fait de se cacher, j'ai repris le sport que je n'osais plus pratiquer, j'ai renoué le dialogue avec mes collègues de travail, mes amies : grâce à la pompe, le diabète s'est adapté à moi et non l'inverse".

    Martine sous pompe depuis quatre ans est elle aussi consciente que ce dispositif lui permet de vivre pleinement sa vie.

    Le travail, les responsabilités, les amis, la famille… de nombreux patients redécouvrent ce qu'ils avaient oublié, les activités sur lesquelles ils avaient tiré un trait. La pompe à insuline leur permet de s'intégrer sans retenue, sans peur du regard des autres, bref de ne plus subir leur maladie.

    Décider de passer d'un traitement "classique" par piqûres au port d'une pompe à insuline est une démarche qui demande parfois du temps, les patients manquant cruellement d'informations. N'hésitez pas à poser toutes les questions qui aujourd'hui vous préoccupent à votre diabétologue. Tournez-vous également vers les patients. Regroupés ou non en association, ils connaissent mieux que quiconque leur maladie. Eux seuls décrivent avec justesse comment la pompe à insuline peut changer la vie.

    Aude Maréchaud

    Forum Diabète

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/diabete/articles/9124-diabete-pompe-insuline.htm

     

     
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  • Pourquoi nos fruits n’ont plus de goût ?

    PUBLIÉ LE 17 AVRIL 2014

    Il n'est pas encore si loin le temps où les pommes avaient un parfum de pomme, où l'on distinguait sans peine une poire d'une rave et où les fraises n'étaient pas énormes mais savoureuses.

    mapassionduverger.fr

     

     

    Nostalgie du passé ou transformation de nos papilles ? Plus simplement, et c'est plus grave, les fruits n'ont plus de goût ! Ils sont pourtant si beaux, gros et bien réguliers, les fruits « modernes », bien plus qu'il y a vingt ans.

    De fait, ce n'est pas une contradiction, mais une explication. Les agronomes l'avouent : lorsqu'on sélectionne un caractère chez une plante, en créant une nouvelle variété, c'est toujours au détriment d'un autre.

    Nous voulions des fruits tape-à-l'oeil, ils nous les ont donnés. Les agriculteurs désiraient en produire beaucoup, c'est chose faite. Mais au passage, quelques chromosomes bien agréables ont dû se perdre. Dommage.

    Et puis, rendement oblige, plus on donne à l'arbre d'eau et de nourriture, c'est-à-dire d'engrais soluble, plus il produit de fruits. Mais au lieu de sucs parfumés, ils regorgent tout bonnement d'aqua simplex. C'est faire payer l'eau bien cher au consommateur !

    L'intensification de la culture veut aussi que l'on ne fasse pas toujours pousser les arbres fruitiers là où ils donnent les meilleurs résultats gustatifs. La notion de « terroir », si importante pourtant lorsque les fruits de la vigne sont transformés en vin, a perdu sa valeur.

    On savait autrefois, par exemple, que les pommes étaient meilleures en montagne qu'en plaine. Mais qui peut aujourd'hui se permettre de s'en soucier ? Les lieux de grande culture industrielle sont davantage liés aux facilités de transport et de commercialisation qu'à la recherche d'une qualité organoleptique maximale.

    D'ailleurs nos fruits viennent aussi bien d'Espagne, d'Italie ou du Chili que de Belgique ou de France. Verts ou dorés ?

    Pour les transporter plus facilement, surtout les plus fragiles, et pour mieux les conserver, il existe un moyen très simple. C'est de les cueillir avant maturité. Pas verts quand même, mais pas vraiment mûrs non plus.

    Avez-vous déjà goûté des abricots dorés à point par le soleil, qui emplissent la bouche d'un nectar capiteux ? Eh bien au bout de quelques jours, ils sont tout mous et invendables... Donc on ne les trouve plus : tant que le client est d'accord, mieux vaut lui refiler ces boules dures qui ont à peine la couleur de l'abricot et encore moins la saveur, car elles possèdent le gros avantage de ne pas s'écraser et de durer plus longtemps.

    Pour avoir encore des Golden en juin, neuf mois après la récolte, il ne faut pas les cueillir lorsqu'elles sont devenues jaune franc avec une fesse rose - stade où elles peuvent prétendre à leur qualificatif de 'Delicious'.

    Même stockées en atmosphère contrôlée, elles ne se conserveraient que jusqu'au mois de mars. A qui la faute ? Le producteur cherche, c'est normal, à produire davantage - même si à l'heure actuelle la surabondance et le stockage excessif qu'elle provoque sont devenus un problème onéreux. Le distributeur souhaite commercialiser des produits de conservation facile et qui se vendent bien. On le comprend aisément. Et si le consommateur préfère privilégier l'aspect des fruits plutôt que leur saveur, c'est certainement son droit. Tout est donc pour le mieux dans le plus fade des mondes... sauf pour ceux qui aiment manger de bons fruits.

    Il leur reste toujours la solution de planter un bonsaï fruitier (ça existe !) sur un coin de leur balcon, ou d'aller à la cueillette des fraises des bois.Mais peut-être les temps changent-ils, car on rencontre parfois des étals où trônent des pommes à se pâmer, des poires à la chair juteuse et parfumée, de petites tomates-cerises autrement plus goûteuses que les rigides 'Roma' ou des abricots qui fondent dans la bouche.

    Après tout, les amateurs avertis de vin, pour qui la jouissance des papilles fait partie des plaisirs essentiels de la vie, sont de plus en plus nombreux. Alors pourquoi ne pas décider d'apprécier aussi nos fruits quotidiens ?

    François Couplan organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Infos : www.couplan.com

    http://www.bio-info.com/fre/28/bien-etre/alimentation/pourquoi-nos-fruits-n_ont-plus-de-gout

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  • Centre Antipoisons belge

    PIGNONS DE PIN: GOÛT AMER APRÈS CONSOMMATION

     

    La consommation de pignons de pin peut entraîner l’apparition d’un goût amer, d’une sensation de goût métallique, lors de la prise d’aliments ou de boissons. A part ce désagrément, aucun effet néfaste sur la santé n’a été identifié. Ces troubles disparaissent spontanément.

    Classiquement, ce problème se caractérise par:

    1° Une apparition tardive des symptômes.

    Lorsqu’ils sont consommés, les pignons présentent un goût tout à fait normal. Il n’y a pas de problème de mauvaise conservation ni de rancissement. Le goût amer se manifeste typiquement 1 à 2 jours après ingestion et persiste 1 à 2 semaines (exceptionnellement jusqu’à 45 jours).

    2° Les symptômes sont déclenchés par la prise d’aliments.

    Le goût amer n’est généralement pas permanent mais est classiquement déclenché par la prise de nourriture. La sensation de très mauvais goût en bouche varie selon le type d’aliments ; le pain et le café sont des exemples typiques d’aliments provoquant ce mauvais goût. La sensation d’amertume persiste quelque temps après le repas, de quelques heures à toute une journée chez certaines personnes.

    3° Quantité de pignons consommée.

    Il n’est pas certain que toutes les personnes exposées développent les symptômes. Dans certains cas, l’ingestion de quelques pignons est suffisante pour provoquer les troubles du goût.

    4° Provenance des pignons.

    A ce jour, tous les pignons suspects proviennent de Chine. Il semble que le problème soit lié à une confusion entre espèce non comestible (Pinus armandii, fig. A ) et espèce comestible (Pinus koraiensis, fig. B). Les pignons suspects sont plus petits, moins anguleux et ont une couleur plus terne, tirant vers le beige.

    Mode de préparation.

    Le mode de préparation des pignons (crus, grillés, en pesto, etc.) n’a pas d’influence sur le phénomène.

    6° Que puis-je faire ?

    • Contactez le Centre Antipoisons par téléphone (070/245245) ou par courriel à Geert Verstegen. Nous nous intéressons aux caractéristiques des pignons (pays d’origine, marque, numéro de lot, date de péremption) et à la façon dont les symptômes se sont présentés et ont évolué.
    • Contactez également l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) au numéro gratuit 0800/13550. Votre plainte est donc importante pour aboutir au retrait du marché des pignons posant problème.

    http://www.centreantipoisons.be/nourriture/pignons-de-pin-go-t-amer-apr-s-consommation

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  • Les bulles d’eau à boire : des contenants révolutionnaires !

    15 avril 2014 - Auteur : Catherine Decock

    Des étudiants en design industriel, installés à Londres, ont développé une bien curieuse petite bulle. Baptisée Ooho, elle contient de l’eau potable et s’utilise presque comme une bouteille d’eau. Biodégradables et comestibles, ces mini sphères sont un pied de nez à la pollution terrestre et marine.
    Quand on sait que, chaque année, 89 milliards de bouteilles d'eau en plastique sont vendues à travers le monde, un contenant conçu à partir d'algues comestibles et assez solide pour stocker de l'eau est une alternative particulièrement interpellante. Rodrigo Garcia Gonzalez, Pierre Paslier et Guillaume Couche, tous trois étudiants en design industriel, ont mis au point cette petite chose qu'ils qualifient de "facile à faire soi-même, bon marché, solide, hygiénique, biodégradable et comestible", peut-on lire sur le sitewww.fastcoexist.com.

    CUISINE MOLÉCULAIRE

    Les trois compères se sont inspirés de la gastronomie moléculaire et notamment du principe de sphérification, qui consiste à mettre une préparation liquide sous forme de sphère. Cette technique a été inventée en laboratoire en 1946 et récemment popularisée par le chef Ferran Adria dans son restaurant elBulli en Espagne. Grâce à la sphérification, l’aliment est congelé pour lui donner la forme désirée, avant de le recouvrir d’une autre substance. « Nous avons appliqué une version évoluée de la sphérification à l’un des éléments vitaux les plus basiques et essentiels : l’eau », commente Rodrigo Garcia Gonzalez.

    ALGUES BRUNES ET CHLORURE DE CALCIUM

    Un composant à base d’algues brunes comestibles et de chlorure de calcium forme le gel de protection entourant l’eau. « Cette double membrane assure une protection hygiénique à l’intérieur de la membrane. Elle permet également d’introduire un logo entre les deux couches sans avoir recours à un quelconque adhésif », poursuit le designer. En effet, les Ooho peuvent être personnalisées, par des entreprises par exemple qui ont la possibilité d’insérer leur logo entre les deux épaisseurs de la membrane. Il suffit que ce logo soit fabriqué à partir de matériaux comestibles, comme le papier de riz. Avant d’être prise au piège dans la membrane, l’eau est transformée en glace afin de faciliter l’opération. La sphère ainsi formée peut être étirée pour créer des bulles de différentes tailles. Lorsqu’on a soif, il suffit de percer la membrane et de boire par le trou. Et si on est pris d’une fringale, on peut même manger cette bulle en forme de figue puisqu’elle contient de l’acide alginique, la rendant totalement comestible.

    ECOLOGIQUE

    Les créateurs mettent le doigt sur un fait réel : de plus en plus de personnes boivent de l’eau à partir de bouteilles jetables. « La réalité est que nous buvons de plus en plus d’eau avant d’en jeter la bouteille en plastique. Quatre-vingts pour cent (de ces bouteilles) ne sont pas recyclables. Ce consumérisme est un reflet de la société dans laquelle nous vivons », estime encore Rodrigo Garcia Gonzalez. En repensant le contenant, il est possible de réduire les coûts. Pour les entreprises, ce qui coûte cher, c’est le contenant en soi, la bouteille en plastique. Les bulles Ooho peuvent être fabriquées pour 2 cents seulement, assurent les designers.

    QUELQUES INCONVÉNIENTS

    Actuellement, les Oohos ne sont pas encore commercialisés, mais les trois étudiants prédisent une application immédiate lors d’événements sportifs. Les bulles d’eau seraient plus facilement transportables et génèreraient moins de déchets. On s’interroge toutefois sur leur transport : comment les emmener sans les salir ou les abîmer, au fond d’un sac par exemple ? De plus, est-il aisé de se désaltérer en buvant au travers un petit trou, sans en mettre partout ? Mais même si les entreprises n’optent pas pour les Ooho écolos, les créateurs espèrent que « les gens fabriqueront leur emballage eux-mêmes à domicile ». « N’importe qui peut en faire dans sa cuisine, en modifiant et en innovant la recette », conclut Rodrigo Garcia Gonzalez. 
    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-10181-Les-bulles-d-eau-a-boire-des-contenants-revolutionnaires.html
     
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  • Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    La crampe musculaire peut survenir après une séance d’entraînement mais aussi quand un membre est resté trop longtemps dans la même position. Pour soulager la douleur, essayez les remèdes suivants.

    Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    La sollicitation excessive d’un muscle, la déshydratation, le stress ou la fatigue peuvent provoquer une crampe musculaire. Cependant, si vous êtes prise d’une crampe douloureuse au mollet durant la nuit ou si un muscle se bloque sans raison apparente, le problème vient habituellement du système nerveux, qui envoie un signal de contraction musculaire erroné.

    Ce que vous pouvez faire pour soulager une crampe

    • Appliquez un coussin électrique ou une serviette chaude sur le muscle douloureux afin de le détendre et augmenter l’apport de sang dans les tissus touchés. Réglez-le à basse température, laissez-le en place 20 minutes et ménagez un intervalle de 20 minutes avant de l’appliquer de nouveau.
    • Prenez une longue douche chaude ou un bain. Pour détendre davantage vos muscles, ajoutez une demi-tasse de sel d’Epsom à l’eau du bain.
    • Repérez l’épicentre de la crampe. Exercez une pression sur ce point avec votre pouce, la base (ou talon) de votre main ou votre poing. Appuyez 10 secondes, relâchez et appuyez de nouveau. La douleur devrait être tolérable, signe que vous faites la bonne chose. Au bout d’un certain nombre de répétitions, elle devrait diminuer graduellement.
    • Il se pourrait que vos crampes musculaires soient dues à une carence en électrolytes– potassium, sodium, calcium et magnésium. Vous n’avez probablement pas besoin de prendre plus de sodium, mais vous auriez peut-être intérêt à augmenter votre consommation des trois autres minéraux. Le pain et les céréales complètes, les fruits à coque (noix, noisette, etc.) et le haricot sont de bonnes sources de magnésium. Quant au potassium, il y en a dans la plupart des fruits et légumes, particulièrement dans la banane, l’orange et le melon brodé. Enfin, les produits laitiers fournissent ducalcium.
    • Si l’exercice provoque des spasmes, prenez au moins deux tasses d’eau deux heures avant vos séances, puis 125 à 250 ml tous les quarts d’heure durant la séance. Si vous transpirez abondamment, une boisson pour sportifs, par exemple le Gatorade, vous permettra de refaire vos réserves d’électrolytes.
    • Pour prévenir les crampes nocturnes des mollets, évitez autant que possible de pointer les orteils durant la nuit. Évitez en outre de trop serrer vos draps et couvertures, ce qui risque de provoquer une tension dans les orteils et de déclencher une crampe.

    Stimulants naturels pour le traitement des crampes

     

    • Mélangez une partie d’essence de wintergreen avec quatre parties d’huile végétale et massez le muscle touché avec cette préparation. L’essence de wintergreen contient du salicylate de méthyle, composé qui soulage la douleur et stimule la circulation. Vous pouvez en appliquer plusieurs fois par jour, mais n’utilisez pas un coussin chauffant en même temps; vous risqueriez de vous brûler la peau.
    • Pour prévenir les crampes nocturnes, prenez de la vitamine E. Selon les résultats d’études, cette vitamine améliore la circulation artérielle.
    • Comme les crampes musculaires sont souvent causées par la déshydratation, buvez plus d’eau si vous êtes sujette à en faire.

    http://www.plaisirssante.ca/ma-sante/sante/remedes-naturels-contre-les-crampes-musculaires

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  • L'hémostase regroupe les différents mécanismes assurant la prévention des saignements spontanés et l'arrêt des hémorragies en cas de rupture de la continuité de la paroi des vaisseaux sanguins.
    Plusieurs acteurs interviennent dans cette fonction physiologique essentielle de la vie : la paroi du vaisseau, les plaquettes (petites cellules circulant dans le sang), le système  de la coagulation (qui comprend les facteurs de coagulation présents dans le plasma - partie liquide du sang - et de la fibrinolyse). En fait, il s'agit de combler ce que l'on nomme une brèche vasculaire (rupture du vaisseau) par un caillot afin d'arrêter l'épanchement de sang à l’extérieur des vaisseaux sanguins. Schématiquement, ce caillot peut être figuré par un mur constitué de « briques » - les plaquettes qui adhèrent les unes aux autres - et de ciment - la fibrine résultant des nombreuses étapes de la coagulation souvent appelées cascade de la coagulation en raison des étapes successives - pour en consolider la structure. Une fois la paroi vasculaire consolidée, ce caillot doit disparaître par action d'un autre phénomène, la fibrinolyse.


    Une anomalie congénitale ou acquise au niveau d'un ou plusieurs des acteurs de l'hémostase, notamment au niveau des facteurs de la coagulation, peut prédisposer à des accidents hémorragiques.


    L'hémostase est mise à l'épreuve plusieurs fois par jour à l'occasion de rupture de fins vaisseaux, soit par traumatisme, soit par variation de la pression sanguine, mais chez le sujet normal, l'arrêt rapide du saignement explique l'absence de traduction clinique de ces petits accidents.

     

    http://bef.novonordisk.be/documents/article_page/document/Hemostase_questceque.asp

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  • Les différents types de maladies du côlon

    Les maladies inflammatoires du côlon sont le plus fréquemment des atteintes du tube digestif. Rapide tour d’horizon des pathologies les plus diagnostiquées.

    Les anomalies les plus observées chez un sujet  atteint de diverticulose colique se révèlent  par d’anormales petites cavités qui se forment à l’intérieur de la paroi intestinalechez des sujets constipés. Ces affections  sont liées à l’effort d’une forte poussée pour évacuer les selles et ressortent aux endroits où la paroi musculaire intestinale est le plus affaiblie et sensible. Apparaissent alors de petites cavités qui se transforment en  niches à bactéries pouvant s’enflammer et causer des diverticules accompagnées  de spasmes et de fièvre. Les principales causes favorisant  la survenue  de ces diverticules sont la constipation et une alimentation trop  pauvre en fibres.

     

    Chez les sujets qui souffrent de côlon irritable, c’est le mouvement général du côlon qui est touché. Les symptômes adviennent  dans des circonstances où l’anxiété est importante et sont accompagnés de douleurs, d’une sensation de ballonnement et d’une alternance de constipation et de diarrhée ou encore  d’une aérophagie.

    Concernant le cancer ?

    Le cancer du côlon demeure l’un des cancers qui sévit le plus spécifiquement dans les pays industrialisés. Les principaux facteurs impliqués sont la formation de polypes et les antécédents familiaux. Ce qui devrait inciter à faire assez régulièrement un contrôle par coloscopie.

    Les polypes intestinaux sont une sorte d’excroissances qui naissent aux alentours de la muqueuse intestinale et peuvent causer à la longue d’importants saignements ou évoluer vers un cancer du côlon, d’où l’urgence de les éradiquer  lors de la pratique d’une coloscopie.

    Il existe d’autres maladies inflammatoires du côlon moins contractées dont

    • La rectocolite hémorragique  qui touche tout ou une partie du côlon ;
    • La maladie de Crohn caractérisée par un rétrécissement d’une partie du côlon et d’une inflammation touchant certaines parties.

    À noter que les deux maladies chroniques directement impliquées dans la survenue d’un cancer colorectal sont la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, communément appelée aussi colite ulcéreuse. Ces deux maladies présentent des similitudes, à quelques différences près. Toutes deux sont des maladies inflammatoires se manifestant par des périodes de crises et suivis de périodes de rémissions pendant lesquelles les symptômes disparaissent totalement.

    Les principaux symptômes se déclenchent suite à  un saignement anal, des douleurs abdominales et de la diarrhée.

    La rectocolite hémorragique affecte le côlon mais aussi le rectum. Tandis que la maladie de Crohn touche quasiment toujours l’intestin grêle et peut se répandre sur n’importe quelle partie du tube digestif, de la bouche à l’anus.

    http://www.ifsip-ouarzazate.com/2200-les-maladies-du-colon

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  • Pendant longtemps on a considéré que les facteurs environnementaux n’influaient pas sur notre ADN. On sait aujourd’hui que ces facteurs peuvent affecter l’expression de certains gènes en jouant sur leur état chimique, donc sur leur niveau de production : c’est l’épigénétique.

    Des chercheurs de l’université de Lund (Suède) ont analysé les cellules productrices d’insuline de patients en bonne santé et de patients atteints de diabète de type 2.

    Des centaines de gènes concernés chez les sujets diabétiques

    Ils ont pu mettre en évidence des changements épigénétiques sur plus de 800 gènes chez ceux qui développaient la maladie. Plus d’une centaine de ces transformations pourraient contribuer à réduire la production d’insuline, une des causes du diabète de type 2.

    Des transformations épigénétiques qui affectent la production d'insuline

    Pour savoir si ces modifications sont une cause ou une conséquence du diabète, ils ont montré que les mêmes modifications pouvaient apparaître chez des sujets sans diabète mais âgés ou ayant un IMC élevé. Lestransformations épigénétiques contribuent donc bien à la baisse de production d’insuline.

     

    L’intérêt est que les changements épigénétiques sont réversibles, ce qui ouvre la voie à la recherche de traitements capables d’induire des modifications épigénétiques pour rétablir une production suffisante d’insuline.

    Source : PLoS Genetics 06 Mars 2014

     

    Auteur : Loïc Leroux
    Crédit photo :  
    © Vasiliy Koval - Fotolia.com

     

    http://www.afd.asso.fr/actualites/les-facteurs-epigenetiques-impliques-dans-le-diabete-de-type-2-005717

     

     

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  • J'ai mal dormi et j'ai une sale tête! La faute à la rétention d'eau

    08 avril 2014 - Auteur : Catherine Decock

    Après une nuit trop courte, la tête que l'on affiche devant le miroir peut parfois faire peur. Teint terne, yeux gonflés et rouges, paupières tombantes, peau ridée: cette mauvaise mine est due à une rétention d'eau.
    Selon une étude publiée dans le journal Sleep et relayée par The Huffington Post, les personnes qui font une nuit de 8 heures ont meilleure allure et semblent en meilleure santé que ceux qui manquent de sommeil ou qui sont victimes d'insomnies. 

    PROBLÈME DE DÉSHYDRATATION

    Pour le docteur Sherrif F. Ibrahim, professeur adjoint du département de dermatologie de l'université du Centre médical de Rochester, la rétention d'eau est à l'origine de ce teint brouillé. Par ailleurs, le fait que la peau des paupières soit la plus fine de notre corps entre également en jeu. "Tout changement du taux d'hydratation, qui se produit notamment quand on fait de la rétention de sel parce qu'on a trop mangé la veille, se répercute sur cette fine peau. Les effets se verront beaucoup plus que sur la peau du reste du corps", explique le spécialiste. La déshydratation creuse les yeux, tandis que la surconsommation de sel produit de la rétention d'eau et engendre des yeux bouffis.

    LA VALLÉE DES LARMES

    Le docteur Ibrahim ignore toutefois le processus complet qui lie le manque de sommeil à la rétention d'eau. Il suppose que ce lien pourrait avoir un rapport avec les raisons pour lesquelles une personne s'est endormie tard la veille. "Généralement, quand les gens restent éveillés jusqu'à une heure tardive, s'ils font quelque chose, la plupart du temps ils boivent, ils font la fête ou ils pleurent. Cela contribue largement au fait que les yeux soient gonflés", avance-t-il. Il assure par ailleurs que les cernes sont également dues à la rétention d'eau. Quand on est déshydraté, la couleur des vaisseaux sanguins est plus prononcée.

    L'âge est aussi responsable d'une mine moins éclatante. "Quand les gens vieillissent et passent la quarantaine, ils perdent du volume autour des yeux. Se forme alors ce qu'on appelle 'la vallée des larmes' qui crée une ombre juste à la jointure entre la joue et la paupière. Cet effet rend la cerne encore plus sombre", lit-on dans The Huffington Post.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-10152-J-ai-mal-dormi-et-j-aiune-sale-tete-La-faute-a-laretention-d-eau.html

     

    Ce livre, fondé sur de nouvelles découvertes, vous démontre comment le manque d'eau dans votre corps - la déshydratation chronique - est à la base d'un très grand nombre de maladies dégénératives comme l'asthme, l'hypertension, la surcharge pondérale et même de quelques problèmes émotionnels telle la dépression. Ce livre vous propose d'apprendre à utiliser l'eau pour : prévenir et inverser un vieillissement précoce ; éliminer certaines douleurs comme les brûlures d'estomac, les lombalgies, l'arthrite, les coliques, l'angine et les migraines ; soigner l'asthme ; soigner l'hypertension ; perdre du poids naturellement, sans régime strict. Un livre indispensable à toute personne soucieuse de sa vitalité et de sa bonne santé ! 

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  • Qu’est-ce que le torticolis spasmodique ?

    Le torticolis spasmodique est une forme de dystonie localisée.
    Il concerne les muscles du cou, provoquant une attitude de la tête en rotation (torticolis), en flexion (antécolis), en extension (rétrocolis) ou en inclinaison(latérocolis).

    Ces trois formes de dystonie sont souvent regroupées sous l’appellation torticolis . L’adjectif spasmodique est souvent employé pour souligner l’effet de spasme et la gravité de la maladie qui provoque des tremblements chez de nombreux patients.

    Qui souffre de torticolis ?

    Le torticolis frappe aussi bien les hommes que les femmes de n’importe quelle tranche d’âges, bien qu’il soit plus commun chez les personnes de cinquante ans. On pense qu’environ 3 personnes sur lO.OOO en souffrent.

    Quels sont les symptômes du torticolis ?

    Les symptômes du torticolis évoluent progressivement. Au début, le patient s’apercevra peut-être que sa tête se met à s’incliner pendant une conversation ou lorsqu’il se promène, conduit ou essaie d’écrire. Il remarquera que sa tête tremble, notamment quand il essaie de lutter contre une contraction ou une inclinaison involontaire.
    Petit à petit et d’une façon plus ou moins permanente, la tête risque de s’incliner sur un côté, de s’abaisser vers une épaule ou de se pencher en avant ou en arrière.

    Parfois le torticolis s’accompagne d’une douleur au niveau de la nuque ou des épaules. Quand le torticolis ne peut pas être réduit par le mouvement volontaire, le patient aide souvent sa tête à reprendre une position normale en appliquant un doigt sur la joue du côté de la rotation de la tête (geste antagoniste) ou du côté opposé à la rotation (geste paradoxal).

    Le torticolis peut présenter des symptômes qui peuvent être plus ou moins bénins ou graves.

    Lorsque le patient est stressé, les spasmes risquent de s’aggraver et peuvent devenir douloureux.

    Quelles sont les causes du torticolis ?

    Comme pour les autres formes de dystonie, on ne connaît pas encore les causes du torticolis. Cependant, on pense qu’il provient d’un déséquilibre chimique ou défaut de câblage dans les noyaux gris situés dans la partie du cerveau qui contrôle nos mouvements. Ces noyaux gris émettent des signaux incorrects et, en conséquence, ce sont les mauvais muscles qui se contractent quand nous essayons de bouger ou bien nos muscles se contractent involontairement.

    Vais-je souffrir du torticolis toute ma vie ?

    Il est possible que votre torticolis s’aggrave pendant plusieurs années avant de se stabiliser. Cependant, entre 5 à lO % des personnes qui en souffrent voient leur état s’améliorer ou leur maladie disparaître complètement sans raison apparente ; mais dans de nombreux cas, le torticolis réapparaît après une période de rémission
    de plusieurs mois ou de plusieurs années.

    Le torticolis peut-il s’étendre à d’autres parties du corps ?

    En général, le torticolis ne frappe que les muscles du cou, mais occasionnellement certains patients sont également frappés de blépharospasme ou d’autres formes de dystonie localisée comme la crampe des écrivains ou la dysphonie spasmodique (spasmes des cordes vocales).

    Que dois-je faire si je crois souffrir de torticolis ?

    Si vous croyez souffrir de torticolis, vous devez consulter votre médecin généraliste. Il vous enverra chez un neurologue qui vous fera subir des analyses plus poussées et vous prescrira un traitement approprié.

    Quelles formes de traitement existe-t-il ?

    Les principaux traitements qui vous seront sans doute proposés sont l’administration de médicaments, des injections de toxine botulique et la rééducation. On est rarement obligé de faire appel à la chirurgie.

    Quels sont les médicaments prescrits ?

    Certains patients réagissent bien à des médicaments comme les anticholinergiques, les benzodiazépines ou la carbamazé pine. Plusieurs d’entre eux enrayent efficacement la douleur liée au torticolis et réduisent également les inclinaisons et tics involontaires. Cependant, de tels médicaments doivent être administrés à long terme et il n’est pas rare de souffrir d’effets secondaires sans pour cela obtenir des résultats toujours satisfaisants.

    Qu’est-ce que la toxine botulique ?

    Au cours des dernières années, un nouveau traitement sous la forme d’injections de toxine botulique a amélioré les perspectives d’avenir des personnes souffrant de torticolis. On injecte une dose infime de cette substance dans les muscles du cou et des épaules. Le traitement agit en affaiblissant les muscles responsables des contractions et peut être efficace pour réduire les mouvements anormaux de la tête et du cou et soulager la douleur. L’effet des injections dure en général deux à trois mois ; il faut donc répéter le traitement à intervalles réguliers.

    Les effets secondaires, rares et toujours passagers, comprennent des difficultés à avaler et à parler et une possible diminution de la force des muscles du cou, mais ceux-ci disparaissent en général au bout d’une semaine ou deux.

    Que puis-je faire pour essayer d’enrayer cette maladie ?

    Les démarches personnelles, comprenant les techniques de relaxation, l’homéopathie, l’acupuncture et une surveillance alimentaire, ne semblent pas apporter de réels bénéfices aux personnes atteintes de torticolis. Comme avec les autres formes de dystonie, il est important d’avoir une attitude positive, c’est pourquoi la rééducation joue un rôle important. Essayez de vous informer le mieux possible sur le torticolis et de parler à d’autres personnes qui en sont atteintes, cela vous aidera sans doute à accepter votre maladie et vous permettra d’apprendre à faire face  aux symptômes.

    Il est important que votre famille et vos amis vous aident. Il leur serait peut-être bénéfique d’en savoir davantage sur la dystonie et le torticolis afin de mieux comprendre vos problèmes.

    Il existe des associations de malades souffrant de dystonie qui peuvent vous aider et vous soutenir, ainsi que votre famille.

    Vous pouvez en demander les coordonnées à votre médecin.

    http://www.amadys.fr/2009/12/05/le-torticolis-spasmodique/

     

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  • Une patiente se fait greffer un crâne en plastique

    Une jeune femme de 22 ans s'est fait remplacer une partie de sa boîte crânienne par une copie en plastique, une première mondiale réalisée par une équipe médicale de l’université d’Utrecht, aux Pays-Bas. Imprimé en trois dimensions (3D) à partir d'une modélisation, l'implant de substitution est une réplique fine du crâne originel.

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  •  


    DiabSurf, le diabète sur l'Internet > DiabSurf Light  

     


    Causes des hypoglycémies : Diabète de type 2

    1) Alimentation

    - Collation ou repas repas ayant comporté peu de glucides et/ou pas assez d'aliments non glucidiques (les aliments non glucidiques, notamment les fibres et les protéines, contribuent à limiter la rapidité et l'importance de l'élévation de la glycémie après repas à un niveau ne conduisant pas au passage dans les urines d'une partie des glucides du repas).

    - Collation ou repas trop tardifs ou sautés.

    - Boissons alcoolisées (l'alcool bloque la fabrication de sucre par le foie, ce qui favorise les hypoglycémies et les rend plus sévères et plus prolongées).

    2) Exercice physique

    - Oubli des collations avant, pendant, et après le sport.

    - Oubli d'une collation supplémentaire le soir au coucher après avoir fait du sport pendant l'après-midi.

    3) Comprimés

    Les inhibiteurs des alpha-glucosidases, ainsi que les biguanides, ne sont qu’exceptionnellement cause d'hypoglycémie car ces médicaments ont surtout pour effet de limiter l'élévation de la glycémie après les repas.

    Les glinides, qui doivent être pris avant les repas, peuvent éventuellement être cause d'hypoglycémie si le repas ne comporte pas suffisamment de glucides, ou si le nombre de comprimés pris avant le repas est trop important pour la quantité de glucides du repas. Ils ne sont qu'exceptionnellement cause d'hypoglycémie dans l'intervalle des repas.

    Les sulfamides peuvent être cause d'hypoglycémie, dans l'intervalle des repas, ou plus rarement après repas, si la dose utilisée est excessive.

    => En l'absence de cause d'hypoglycémie en relation avec l'alimentation ou l'activité physique, la survenue d'une hypoglycémie chez un diabétique traité par des comprimés doit conduire à réduire la dose des sulfamides.

     

    http://www.diabsurf.com/Sim/SimImp/Iurghypcsedt2.php

     
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  • Le self-défense, c'est facile !

    Experte en pratique de self-défense, Anne Le Nen, crée des stages "Même pas peur attitude" et nous donne des clés simplissimes pour ne pas se laisser importuner. Objectif : le corps et l'esprit affûtés, il y a de grandes chances qu'on ne vous cherche pas de noise… Cameron Diaz dans Drôle de Dame, c'est vous !

    Self-défensePassionnée d'arts martiaux depuis l'âge de 6 ans, âge de sa première ceinture de judo, Anne le Nen affiche au compteur plus de 15 ans de pratique d'aïkido, de boxe française et passe même son diplôme d'instructeur en CKM (Commando krav manga, un art martial israélien). Son credo : vous donner les moyens d'acquérir une self-défense attitude, sans avoir besoin de vous y coller pendant plus de 10 ans. Elle a donc mis au point une technique dont elle nous donne les clés lors d'un stage, pour un corps tonique et un mental affûté. De quoi tenir à distance, tout agresseur potentiel et riposter au cas où !

    Self-défense : c'est parti pour 2 heures d'entraînement

    • Mise en condition

    Pas question de se faire mal, alors d'abord on s'échauffe. Un corps, ça se prépare en dérouillant ses articulations, en s'étirant et en augmentant son rythme cardiaque. Au menu, courses rapides, petits sauts en l'air, échauffement du cou (en faisant oui non), abdos… Anne a suivi un entraînement Commando Krav Manga, et ça se voit. Ouf, la préparation physique dure environ un quart d'heure. Et pas une (des 30) stagiaire ne se froissera un muscle, ça c'est sûr.

    • Apprentissage des mouvements de base

    Là, on entre dans le vif du sujet. On est venu pour quoi déjà ? Choper "The" attitude self-défense ! Une première série d'exercices a pour fonction d'accélérer notre rythme cardiaque "pour simuler l'état dans lequel on va se retrouver en cas de d'agression", explique Anne Le Nen. Ensuite, on met en place des scénarios, aussi réjouissants que : "Agression carte bleue", "Arrachage de sac à main", "Plaquage contre sa voiture"…

    Les groupes se forment, agresseurs et victimes se mettent en place. C'est parti ! Chaque mouvement se déroule en 4 temps, donc en 4 mouvements, très découpés, hyper-simples. Et on répète. En alternant les rôles, en simulant les yeux bandés, et on progresse. L'ambiance est ludique, mais la concentration est là. Côté mental, on apprend à développer de l'agressivité pour éviter de rester paralysé. D'un point de vue physique, on prend de l'assurance, on apprend à créer un périmètre de sécurité, et on acquiert de véritables réflexes de self-défense ! Drôle de dame façon krav manga.

    On vous arrache votre sac à main

    1. Plier le coude ;
    2. Verrouiller en posant la main sur l'autre épaule ;
    3. Saisissez le sac fermement de l'autre main ;
    4. Self-défense attitude : kick du pied en direction de son genou ;

    Résultat : l'agresseur lâche prise, se plie en deux et vous filez tel le vent.

    Extrait du DVD "Petit Kit de survie pour femmes Urbaines - Même pas peur",
    présenté par Anne Le Nen et Muriel Robin

    On vous attrape à la carte bleue

    1 Suivez le mouvement, en vous retournant vers lui quand il vous chope par derrière ;
    2 Posez vos 2 mains sur votre tête et bloquez sa main ;
    3 Stabilisez votre position, les pieds écartés de la largeur des hanches, les genoux un peu pliés, le centre de gravité bien bas ;
    4 Self-défense attitude : lancer de coup de savates entre les jambes ;

    Résultat : L'agresseur lâche prise, se plie en deux et vous filez tel le vent.

    On vous plaque contre votre voiture

    1 Utilisez la voiture pour vous stabiliser en appui sur les deux mains

    2 Tapez plusieurs coups de talon en écrasant son pied, fortement

    3 Retournez-vous pour lui dégager plusieurs coups de poing entre les jambes

    4 Self-défense attitude : Du plat de la main (avec la paume), visez le nez en poussant vers le haut. L'impact par de l'épaule, le coude à demi-plié.

    Résultat : L'agresseur lâche prise, se plie en deux et vous filez tel le vent.

    Le self-défense, pourquoi ça marche ?

    Quel que soit votre âge, votre taille, votre poids, vous pouvez y arriver. Les stages comptent des personnes de 16 à plus de 50 ans. La clé de la réussite, c'est la répétition. Plus on maîtrise la gestuelle, plus on prend confiance en soi. Le corps enregistre les mouvements, c'est un peu comme une série d'abdos. L'idée, c'est de s'entraîner aussi en pratiquant un art martial. Le plus sûr moyen sans doute de ne jamais avoir à s'en servir…

    Infos pratiques :

    Les stages "Même pas peur" ont lieu un week-end par mois, de 15 h à 18 h 30
    Co-animés par Anne le Nen et Christophe St Agathe
    Réservations par mail : anne@commandokravmaga.fr et par téléphone 06 05 252525
    DVD Petit Kit de survie pour femmes Urbaines - Même pas peur - Anne Le Nen, Christophe St Agathe et Muriel Robin

    Catherine Maillard

    Créé le 30 janvier 2009

    Forum Arts Martiaux

    http://www.doctissimo.fr/html/forme/sports/articles/13120-self-defense.htm

     

     
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  • Ferritine

    La ferritine est une protéine essentielle pour réguler le stockage de fer dans l'organisme, en régulant son absorption au niveau intestinal. Au niveau sanguin, la ferritine est présente de façon transitoire. Son dosage permet de dépister un certain nombre d'anomalies ou de maladies dont des carences en fer, à l'origine d'une anémie.

    Qu'est-ce que la ferritine ?

    FerritineLa ferritine est une protéine de stockage du fer, qui est surtout présente à l'intérieur des cellules (elle ne fait que transiter dans la circulation sanguine). Elle permet de réguler l'absorption intestinale du fer en fonction des besoins.

    Dosage de la ferritine dans le sang

    Le dosage de la ferritine permet d'apprécier les réserves en fer de l'organisme, il permet de dépister très précocement une carence en fer et à l'opposé d'apprécier l'efficacité d'un traitement d'anémie par  carence en fer.

    Comment se déroule le prélèvement ?

    Le prélèvement se fait à partir de sang veineux (en général au pli du coude), avec garrot enlevé le plus rapidement possible. Le tube de prélèvement peut éventuellement contenir un anticoagulant. 
    Il n'est pas indispensable d'être à jeun.

    Indiquer d'éventuels traitements en cours.

    Valeurs normales de ferritine

    Les valeurs varient en fonction de la technique utilisée par le laboratoire d'analyses

    • Homme : 20 - 250 µg /l
    • Femme : 15 - 150 µg /l

    Les valeurs peuvent varier en fonction de la technique utilisée par le laboratoire d'analyses médicales. Elles sont précisées à côté des résultats.

    Variations physiologiques de la ferritine

    • Avec l'âge : ferritine élevée à la naissance (400 µg /l) avec taux maximum vers 2 mois (600 µg /l) puis diminution pour atteindre les taux adultes à la puberté.
    • Avec le sexe : taux plus élevés chez l'homme (plus bas chez la femme avant la ménopause).
    • Diminution : lors de la grossesse (surtout à partir du 3ième mois) en cas d'exercice intensif et régulier

    Variations pathologiques de la ferritine

    CAUSES DE FERRITINE BASSE :

    CAUSES DE FERRITINE ÉLEVÉE :

    Dr Jesus Cardenas

    Créé le 21 août 2013

        

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  • TYPE DE PRESTATAIRES

    Lors d'une visite ou d'une consultation chez un prestataire de soins, les honoraires doivent être avancés par le patient et celui-ci se fait ensuite partiellement rembourser par la mutualité, à l'aide de l'attestation qu'il a reçue du prestataire et sur laquelle il appose sa vignette.

    Les remboursements de l'assurance obligatoire soins de santé sont calculés par référence aux honoraires fixés par la convention médico-mutualiste. Seuls les médecins conventionnés s'engagent à les respecter. Les autres peuvent donc demander des suppléments d'honoraires en sus.

    Les trois types de prestataires

    Les conventionnés

    La plupart des médecins généralistes sont conventionnés : ils respectent les tarifs prévus dans l'accord pour toutes leurs prestations, sauf si leur patient a des exigences particulières (ex: consultation sur rendez-vous,...)


    Les conventionnés partiels

    Il s'agit souvent de spécialistes qui appliquent les tarifs prévus dans l'accord seulement à certaines heures de la journée.


    Les non - conventionnés

    Ils ont fait savoir à l'INAMI (Institut National des Assurances Maladie Invalidité) qu'ils n'adhèrent pas à la convention et ils fixent librement leurs honoraires, dans la plupart des cas, plus élevés que ceux prévus dans la convention.


    Les prestataires reconnus

    Pour donner droit à un remboursement, les soins doivent avoir été administrés par des dispensateurs de soins reconnus par l'Inami.  Attention, un médecin reconnu n'est pas nécessairement un médecin conventionné.

    Peuvent être reconnus :
    les médecins, dentistes, infirmiers, obstétriciens, kinésithérapeutes, bandagistes, orthopédistes, fournisseurs d'implants et de prothèses, opticiens, audiologues, pharmaciens, logopèdes, orthoptistes et, depuis peu, les podologues et les diététiciens.

    Les établissements qui sont responsables des soins, doivent être aussi reconnus. Entrent en considération pour un remboursement: les établissements de soins, les établissements psychiatriques, les maisons de repos, les centres de revalidation, les laboratoires, les polycliniques, les hôpitaux, etc.


    Comment savoir si votre médecin est conventionné ?

    En principe, votre médecin est tenu d'afficher un avis dans la salle d'attente ou dans le cabinet de consultation mentionnant qu'ils adhèrent à la convention et indiquant les heures de consultation au tarif de la convention.


    Vous préféreriez plutôt savoir si le médecin est non conventionné ? Dans la pratique, il est rare de voir ce type d'affiche. La seule manière d'en être sûr reste de poser la question au médecin !


    Plus d'infos

    http://www.partenamut.be/prestataires#part1

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  • L'arthrose de la hanche ne condamne pas à l'immobilité

    Près de dix millions de Français souffrent d'arthrose. Cette dégénérescence du cartilage est susceptible d'affecter toutes les articulations avec des répercussions plus ou moins invalidantes (douleur, gêne fonctionnelle). Après celle du genou, l'arthrose de la hanche représente le deuxième motif de plaintes liées à l'arthrose.

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  • Je fais pousser un noyau d'avocat

     Le 22/08/13 par mike le vert

    Les avocats ont de multiples vertus, alimentaires mais aussi cosmétiques. Je me suis toujours demandé si je faisais bien, après en avoir mangé un, de jeter le noyau à la poubelle.

    Jusqu’à l’envie d’en planter un moi même. Voici comment faire.

     

    Faire pousser son propre avocat

    Tout d’abord, je pense qu’il vaut mieux choisir un noyau d’avocat bio pour ne pas courir le risque de planter des « saloperies ».

    > Recette pour faire germer le noyau d’avocat

    1. Nettoyez bien le noyau,
    2. Enfoncez trois morceaux d’allumettes dans le corps du noyau : au milieu et à équidistance, et de 2 à 3 mm (pas plus),
    3. Remplissez un pot de plastique ou de verre (pot de confiture, fond de bouteille) avec de l’eau

    4. Posez le noyau au milieu du pot : les allumettes reposent sur le bord du pot de manière à ce le noyau trempe dans l’eau
    Voilà, c’est tout. Il ne vous reste plus qu’à mettre votre plantation à la lumière et à regarder votre noyau d’avocat germer.
    Le  noyau va doucement se fendiller et une racine va apparaître et descendre vers l’eau. La racine va s’allonge et se ramifier. Quelques semaines plus tard, une  jeune tige pointe va apparaître au sommet du noyau. Plantez-le alors dans un pot de terreau. Il va alors pousser très vite.
    Facile non ?

    Pour entretenir votre jeune plant d’avocat :

    C’est comme une plante verte : il faut l’arroser avec une eau non sur et sous le feuillage. Lorsque l’avocatier est en végétation, donnez-lui un peu d’engrais. Pour l’empêcher de s’étioler, enlevez la ou les têtes. Ainsi, il ne s’étiolera pas sur une tige trop fragile et sera plus solide.
    Le saviez-vous ? l’avocat ne mûrit pas sur l’arbre mais une fois récolté
    *
    Astuce pour avoir une plus belle peau
    http://www.consommerdurable.com/2013/08/je-fais-pousser-un-noyau-davocat/
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  • La prévention des accidents vasculaires cérébraux passe par une meilleure connaissance des facteurs de risque mais également par celle des signaux d'alerte. Ainsi, les accidents vasculaires ischémiques durables sont pour près d'un tiers précédés d'accidents ischémiques transitoires dont les symptômes sont brefs. Trop souvent négligés, ils doivent amener à consulter. Avec Doctissimo, apprenez à les reconnaître ! 

    Lire la suite...

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