• Erythème maladie de Lyme

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    Portez vos capteurs Freestyle libre et autres capteurs CGM sereinement avec les trucs et astuces des utilisateurs

    Les utilisateurs du Freestyle Libre et d’autres systèmes de mesure du glucose en continu savent qu’il arrive parfois des imprévus comme par exemple :

    • un capteur qui s’arrache en passant trop prêt d’une porte ou en retirant un pull-over.
    • un capteur qui se décolle et tombe comme une feuille morte.
    • Des réactions cutanées pouvant aller de la simple rougeur à des brûlures de la peau
    • etc.

    Sur les réseaux sociaux, les utilisateurs de ces systèmes débattent et s’échangent des trucs et astuces qu’ils approuvent ou non pour porter leurs capteurs plus sereinement au quotidien. Dans cet article, Diabete Infos a fait le point sur quelques unes de ces astuces et vous les livre.

    Attention, il est important de demander l’avis d’un professionnel de santé avant l’utilisation de ces méthodes.

    Éviter les réactions cutanées et allergies

    En cas de réaction cutanée modérée

    Pour commencer il faut chercher à savoir si la réaction cutanée provient du produit désinfectant appliqué avant la pose du capteur ou du capteur lui-même. De ce fait, certains utilisateurs ont pris l’habitude de ne plus désinfecter la zone sur laquelle doit être posée le capteur. Ils appliquent donc le dispositif sur une peau tout simplement fraîchement nettoyée.

    D’autres utilisateurs font appel à des films de protection cutanée. Ils sont à appliquer avant la pose du capteur. Le plus connu de tous est le film «Cavilon». Cependant, d’autres utilisent les produits «Askina Barrier Film», «Ercefilm», «Skin-Prep», etc. Ils sont généralement présentés sous forme de spray, mais peuvent exister en version liquide ou en lingettes.

    Les adeptes du naturel utilisent plutôt de la teinture de Benjoin, ou de la teinture balsamique (appelée aussi Baume du Commandeur). Ces préparations pharmaceutiques ont des propriétés antibactériennes et cicatrisantes.

    En cas de réaction cutanée plus importantes

    Il peut être nécessaire d’isoler complètement la peau de tout contact avec le capteur. Il est donc possible de poser le capteur sur un pansement hydrocolloïde préalablement appliqué sur la peau. Ces pansements contiennent un gel dermo-reconstituant. Celui-ci vient former un coussinet protecteur autour de la plaie. Il l’isole et la protège de tout risque de contamination.

    En dernier recours, certaines personnes pulvérisent un corticoïde en spray avant de poser le capteur. Ce type de produit est généralement utilisé lors des congestions nasales. Il est remis contre ordonnance uniquement. Cette pratique a pour but d’éviter ou de réduire la réaction inflammatoire. Approuvée par certains professionnels de santé, cette méthode doit tout de même rester exceptionnelle.

    Renforcer la tenue du capteur

    Pour que le capteur tienne mieux, certains utilisateurs appliquent un adhésif protecteur avant de le mettre en place. Les produits «Skin tac», ou «Tensospray» sont à bases de colles à usage médical. Ils existent sous différents formes (lingettes, spray, etc.). Ils ont également l’avantage de créer un film protecteur.

    N’oubliez pas de vérifier que votre capteur est bien positionné. Il ne doit pas être sur une zone trop mobile (par exemple, trop près de l’épaule).

    Protéger le capteur de l’eau

    Le capteur du Freestyle libre est classé IP27. Il peut donc résister à une immersion sous un mètre d’eau pendant un maximum de 30 minutes. Le capteur Enlite de Medtronic est classé IP48. celui du Dexcom G4 et du Dexcom G5 sont classés IP28.

    Malgré tout, il peut être nécessaire de protéger le capteur à l’aide d’un film polyuréthane. Ces dispositifs sont semi-perméables et laissent passer l’air mais pas les liquides. Parmi les produits les plus répandus, on trouve «Tegaderm», «IV 3000», «Opsite», «Mepitel», ou encore «Secuderm» qui résiste en immersion.

    Protéger le capteur des arrachements

    Pour éviter l’arrachement du capteur, les solutions les plus largement utilisées sont le brassard et la bande cohésive comme le «Coheban», le «Tensoplus», etc.

    Article rédigé en collaboration avec Lorène

     

    https://diabete-infos.fr/trucs-astuces-capteur-freestyle-libre-et-cgm/

     

     

    NB : Un oubli dans cette liste la lingette autocollante SKIN TAC WIPE

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  • Ce type de diabète apparaît le plus souvent pendant l'enfance, à l'adolescence ou au début de l'âge adulte, rarement chez les personnes plus âgées. Il touche environ 10 % des personnes diabétiques. Le diabète de type 1 était autrefois connu sous le nom de diabète insulinodépendantou diabète juvénile. Il se caractérise par l'absence totale de production d'insuline. La personne diabétique de type 1 dépend donc d'injections quotidiennes d’insuline ou d'une pompe à insuline pour assurer sa survie.

    Les causes

    Les causes exactes de l'apparition du diabète de type 1 demeurent inconnues. Dans la majorité des cas, les cellules qui produisent l’insuline (cellules bêta), situées dans le pancréas, sont détruites par le système immunitaire. Le processus de destruction évolue habituellement sur plusieurs années. Il débute bien avant l’apparition des premiers symptômes de la maladie.

    On ne sait pas ce qui déclenche cette attaque ni pourquoi elle débute. Les chercheurs pensent qu’une prédisposition génétique et certains facteurs liés à l'environnement contribuent au développement du diabète de type 1.

    Le diagnostic du diabète de type 1

    Seule une prise de sang analysée en laboratoire permet de déterminer avec certitude l’état de santé. On mesure la glycémie, soit le taux de glucose (sucre) dans le sang.

    Les valeurs de référence pour le diagnostic proposées par Les lignes directrices de pratique clinique 2018 pour la prévention et le traitement du diabète au Canada de Diabète Canada sont:

    Glycémie à jeun 7 mmol/L et plus
    Glycémie 2 heures après avoir bu un liquide contenant 75 g de glucose
    (hyperglycémie provoquée par voie orale)
    11,1 mmol/L et plus
    Glycémie à tout moment de la journée

    11,1 mmol/L et plus

    Avec les symptômes classiques du diabète

    Parfois, une deuxième prise de sang est nécessaire afin de confirmer les résultats obtenus.

    Dans de rares cas, un dosage des anticorps marqueurs du diabète de type 1 est fait pour confirmer le type de diabète.

    Le phénomène de la « lune de miel »

    On nomme cette période « lune de miel », car la glycémie est plus facile à contrôler.

    Peu de temps après un diagnostic de diabète de type 1, certaines personnes vivront ce qu’on appelle le phénomène de la « lune de miel ». Cette période transitoire est marquée par une diminution importante des besoins en insuline sous forme d’injection. Elle dure en moyenne de six à neuf mois, mais peut durer jusqu’à deux ans.

    Ce phénomène s’explique par la sécrétion d’une certaine quantité d’insuline par quelques cellules du pancréas encore saines. Éventuellement, le processus auto-immun propre au diabète de type 1 conduira à la destruction complète de ces cellules. En l’absence totale de sécrétion d’insuline, les glycémies seront plus élevées et les doses d’injection d’insuline devront être augmentées.

     

    Recherche et rédaction : Équipe de professionnels de la santé de Diabète Québec

    Avril 2014 (mise à jour juillet 2018)

    ©Tous droits réservés Diabète Québec

    Référence:

    Punthakee Z, Goldenberg R and Katz P. Diabetes Canada 2018 Clinical Practice Guidelines for the Prevention and Management of Diabetes in Canada: Definition, Classification and Diagnosis of Diabetes, Prediabetes and Metabolic Syndrome. Can J Diabetes 2018; 42 (Suppl 1): S10-S15.

     

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  • 5 diabètes plutôt que 2 ? Vers une révolution dans le diabète

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  • Diabète de type 2 : 4 patients sur 10 sont non observants en France. Au bout d’un certain temps les diabétiques décrochent et se mettent en danger. En effet, avaler 5 ou 6 comprimés par jour, plus quelques injections, plus des dextro à répétition pour certains patients, la saturation guette et les malades baissent les bras.

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