• RECHERCHE Une équipe lilloise a obtenu d'excellents résultats sur le long terme contre le diabète de type-1, avec la greffe d'Îlots de Langhérans...

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Pêche : le silure est en phase de colonisation dans l’Allier

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Mesurer la glycémie

    -

    La gestion du diabète passe par des contrôles fréquents de la glycémie . Cela se fait grâce à un lecteur de glycémie. Il suffit  d’une petite goutte de sang et la lecture est très rapide. Jules devra donc garder son lecteur sur lui, où qu’il aille.


    Un taux de glycémie normal, donc est compris entre 80 et 110 mg/dl, parfois un peu plus après un repas. Les taux qui sont supérieurs ou inférieurs à ces limites sont appelés hypoglycémie et hyperglycémie .

    Hypoglycémie

    low
    Les signes de l’hypoglycémie (trop peu de sucre dans le sang) sont un mal de tête, un énervement et des vertiges. Parfois si le taux de sucre est vraiment très bas, on peut même s’évanouir.

    Cependant ces signes peuvent varier d’une personne à l’autre. Chacun doit écouter les signaux d’alarme de son propre corps ! S’il y a des signes d’hypoglycémie, il faut faire très rapidement une glycémie.

    Une astuce :  en cas d'hypoglycémie, il faut alors avaler un morceau de sucre, du raisin ou boire un verre de jus de pomme.

    Hyperglycémie

    Les signes de l’hyperglycémie ne sont pas faciles à reconnaître. Souvent on doit aller fréquemment aux toilettes et l’on se sent mal.

    Lors d’une hyperglycémie importante, on peut tomber dans le coma . C’est un peu comme La Belle au Bois Dormant – elle ne fait que dormir, mais elle ne peut pas se réveiller toute seule. En cas de coma diabétique, on a besoin très vite d’un médecin.

    En cas de glycémie élevée, il faut s’administrer rapidement de l’insuline . Il ne faut également pas manger de glucides jusqu’à ce que la glycémie redevienne normale.

    Une astuce : boire beaucoup d'eau !

    water!
    Jules et moi surveillons notre glycémie très souvent. Il faut la contrôler au moins quatre fois par jour lors des principaux repas, ainsi que dans les situations particulières, comme le sport car elle peut varier parfois très rapidement.

    Toutes les glycémies doivent être notées dans un carnet de suivi pour en discuter avec le médecin lors de la prochaine visite.

    Dernière mise à jour le : Septembre 2016
     
     
    http://www.parlonsdiabete.com/mesurer-la-glycemie.html
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Marina Mikhaïlovna Raskova (Раско́ва Мари́на Миха́йловна, 1912 – 1943) est une pilote russe qui s’est illustrée notamment pendant la Seconde Guerre mondiale. Engagée dans l’Armée rouge,  elle a fondé trois régiments d’aviation entièrement féminins, parmi lesquels le 588e NBAP, surnommé « sorcières de la nuit » par les Allemands.

    Première femme navigatrice dans les Soviet Air Forces

    Maria RaskovaFille de la professeure Anna Liubatovitch et du chanteur d’opéra Mikhail Malinine, Marina Mikhaïlovna nait le 28 mars 1912 à Moscou. L’une de ses tantes, Tatyana Liubatovitch, est une célèbre chanteuse. Enfant, Marina se destine, sous l’impulsion de ses parents, à devenir musicienne à son tour. Mais alors qu’elle a sept ans, son père meurt dans un accident et la petite fille, souffrant d’un stress intense, finit par se décider à abandonner la musique.

    Marina se lance alors dans des études de chimie et, après avoir obtenu son diplôme en 1929, se fait embaucher comme chimiste dans une usine de teinture. Elle y rencontre l’ingénieur aéronautique Serguei Raskov, qu’elle épouse rapidement et avec qui elle a une fille, Tatiana ; ils divorceront quelques années plus tard.

    Marina commence alors à s’intéresser à l’aviation. L’année suivant son mariage, elle se fait embaucher par l’Air Force Academy. En 1934, elle devient la première femme navigatrice au sein des Soviet Air Forces (forces aériennes soviétiques). L’année suivante, elle devient pilote diplômée et instructrice, puis pilote d’essais en 1937.

    En 1938, aux côtés de Valentina Grizodoubova et Polina Ossipenko, Marina établit le record de la plus longue distance volée par une femme, en franchissant 5 900 km entre Moscou et Komsomolsk. Forcée de s’éjecter avant la fin du vol – l’avion menaçant de s’écraser et le siège de navigatrice étant plus vulnérable – elle doit survivre 10 jours dans la neige sans eau et presque sans provisions avant de parvenir à retrouver l’avion. En novembre, les trois femmes sont faites héroïnes de l’union soviétique pour cet exploit ; elles sont les premières femmes à recevoir cette distinction.

    Les régiments féminins pendant la Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1941, Marina milite pour que les femmes pilotes soient autorisées à se joindre aux combats. Sans que leur présence soit formellement interdite, leurs candidatures sont en effet fortement découragées. L’aviatrice aurait également utilisé ses connexions personnelles avec Staline pour obtenir la création de régiments féminins. En octobre 1941, Staline ordonne la création du 122° groupe d’aviation, composé exclusivement de femmes (y compris pour les ingénieures et les équipes au sol), composé de trois régiments :
    – le 586° de chasseurs, commandé par Tamara Kazarinova,
    – le 587° de bombardiers, commandé par Marina,
    – le 588° de bombardement nocturne, connu par la suite sous le surnom donné par les Allemandes des « sorcières de la nuit ». Ce régiment, commandé par Yevdokia Bershanskaya, sera le plus décoré des régiments de l’aviation soviétique. 

    Le 4 janvier 1943, alors que Marina convoie deux bombardiers Petliakov Pe-2 vers le front pendant la bataille de Stalingrad, une tempête la surprend et elle s’écrase contre des falaises au bord de la Volga. Aucun membre d’équipage ne survit. Staline ordonne alors des obsèques nationales, et les cendres de Marina Mikhaïlovna Raskova sont placées dans le mur du Kremlin.

    Liens utiles

    Ficke Wikipédia de Marina Mikhaïlovna Raskova (anglais)
    Fiche Wikipédia de Marina Mikhaïlovna Raskova
    Marina Raskova et les femmes pilotes soviétiques durant la guerre 1939-45
    Les Sorcières de la nuit

    https://histoireparlesfemmes.com/2016/05/24/marina-raskova-creatrice-des-sorcieres-de-la-nuit/

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires