• crepes-pommes-caramel

    Une autre recette de crêpes gourmandes à partir de notre pâte pour crêpes allégées .
    Des crêpes avec une compotée de pommes caramélisées… sans sucre !
     Le sucre est remplacé ici par le Xylitol qui permet de reproduire ses effets…. sans l’hyperglycémie !

    Utile pour cette recette:    

    RECETTE DE CRÊPES AUX POMMES CARAMÉLISÉES

    crepe-pommes
    • PRODUIT: 4 crêpes (4 Portions)
    • PRÉPARATION:  20 min
    • CUISSON:  20 min
    • PRÊT DANS:  40 min

    Cette recette de crêpes aux pommes apporte par part: 10g de sucres complexes (féculents) + environ 12g de sucres simples (pommes)

    INGRÉDIENTS

    INSTRUCTIONS

    1. Préparez la pâte à crêpe: voir la recette pâte pour crêpes allégées Utiliser 1/4 de la recette Cuire 4 crêpes à l'avance.
    2. Couper les pommes en cubes. Les mettre dans une casserole avec 40g de xylitol, 10cl d'eau et un filet d'extrait de vanille. Réduire à feu doux une trentaine de minutes. (prolonger si nécessaire la cuisson pour que le liquide soit bien sirupeux)
    3. Répartir les pommes dans les crêpes - former des triangles et placer au four à 210° environ 8mn
    4. Verser le jus sur les crêpes une fois sorties du four et servir avec un peu de crème fouettée. Les plus gourmands se permettront une boule de glace vanille...

     

    http://www.recette-pour-diabetique.com/crepes-aux-pommes-caramelisees/?

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  • Des femmes pépiniéristes participent à un vaste programme de lutte contre l'ensablement au Niger.
    Des femmes pépiniéristes participent à un vaste programme de lutte contre l'ensablement au Niger. Photo: PLECO/ PNUD Niger

     

    Accroupie parmi une quinzaine de femmes, Bintou Bira récupère des poignées de sable et les plonge dans des sachets en plastique contenant des plants de prosopis, une plante locale à profondes racines permettant de fixer les dunes.

     

    Le groupement de femmes pépiniéristes auquel Bintou appartient travaille avec les autorités de Mainé Soroa, dans le sud-est du Niger, pour lutter contre l’ensablement et la dégradation des terres cultivables de la région.

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  • Le Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom) a présenté mardi 26 janvier 2016 son "livre blanc", présentant dix propositions "pour réformer un système de santé" décrit comme "à bout de souffle". Patrick Bouet, président de l'Ordre des médecins, était l'invité du Magazine de la santé pour répondre aux questions de Michel Cymes et de Marina Carrère d'Encausse sur ces préconisations.

    Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP

    Rédigé le 26/01/2016

    L'Ordre des médecins publie un L'Ordre des médecins publie un "livre blanc" pour la réforme du système de santé

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  • Comment enlever les bouchons de cérumen ?

    Il est possible d’utiliser une solution auriculaire pour permettre la dissolution du bouchon ou au moins son ramollissement et rendre ainsi son extraction moins pénible. La solution est utilisée en bain d’oreilles pendant une dizaine de minutes, suivi d’un lavage à l’aide d’une poire auriculaire contenant un peu d’eau tiède. L’utilisation de cette solution devrait être réservée aux personnes qui ont fréquemment des bouchons, et sur les conseils de leur médecin.

    Liste des médicaments mise à jour : Mardi 15 Décembre 2015

    Céruménolytiques

    Médicament générique
    Médicament ayant des présentations disponibles sans ordonnance.

    Il existe également en parapharmacie des solutions auriculaires qui permettent de morceler le cérumen et de le maintenir humide, ce qui facilite son évacuation naturelle. Les récidives de bouchons d’oreilles peuvent être prévenues par un nettoyage du conduit auditif avec un jet d’eau tiède pendant la douche ou avec un spray nettoyant à base de sérum physiologique.

    Quels sont les causes du bouchon de cérumen ?

    La peau du conduit auditif contient des glandes sécrétant une matière onctueuse et jaune, le cérumen ; celui-ci a pour fonction de piéger les particules étrangères et d’en débarrasser le conduit. Normalement, il s’élimine vers l’extérieur, emportant les petits morceaux de peau morte. Mais il arrive qu’il s’accumule dans le conduit auditif et forme un bouchon.

    La production de cérumen varie d’un individu à l’autre, suivant le cours de la vie. Le risque de bouchon augmente bien entendu lorsque l’oreille accroît sa production. Le travail en milieu poussiéreux et le nettoyage à l’aide de bâtonnets ouatés (coton tige), qui poussent le cérumen au fond du conduit, constituent des causes fréquentes de bouchons.

    Comment prévenir les bouchons de cérumen ?

    • Si vous avez déjà eu un bouchon de cérumen, prenez l’habitude de nettoyer l’orifice externe du conduit auditif, mais sans avoir recours à des bâtonnets : il suffit de l’essuyer avec un mouchoir en papier placé autour du petit doigt.
    • Portez des protections d’oreilles si vous travaillez dans une ambiance poussiéreuse.

     

    Que faire en cas de bouchon de cérumen ?

    Si vous avez fréquemment des bouchons de cérumen et que votre médecin vous a prescrit des gouttes auriculaires, vous pouvez les utiliser selon ses indications. Dans tous les autres cas, une baisse de l’audition justifie une consultation médicale.

    Conduite à tenir en cas de bouchon de cérumen
      Si vous ressentez des troubles de l'audition ou des douleurs d'oreilles.
     

    f

    Si les solutions auriculaires prescrites par le médecin se révèlent inefficaces.
      Si l'automédication reste sans effet au-delà de 48 heures.
     

     

    Si vous avez déjà eu des bouchons de cérumen dont l'existence a été confirmée par un médecin, et que vous en reconnaissez les symptômes

    Le médecin ORL enlève le bouchon au moyen d’un jet d’eau ou l’extrait à l’aide d’un instrument adéquat.Que fait le médecin en cas de bouchon de cérumen ?

    Comment enlever les bouchons de cérumen ?

    Il est possible d’utiliser une solution auriculaire pour permettre la dissolution du bouchon ou au moins son ramollissement et rendre ainsi son extraction moins pénible. La solution est utilisée en bain d’oreilles pendant une dizaine de minutes, suivi d’un lavage à l’aide d’une poire auriculaire contenant un peu d’eau tiède. L’utilisation de cette solution devrait être réservée aux personnes qui ont fréquemment des bouchons, et sur les conseils de leur médecin.

    Liste des médicaments mise à jour : Mardi 15 Décembre 2015

    Céruménolytiques

    Médicament générique
    Médicament ayant des présentations disponibles sans ordonnance.

    Il existe également en parapharmacie des solutions auriculaires qui permettent de morceler le cérumen et de le maintenir humide, ce qui facilite son évacuation naturelle. Les récidives de bouchons d’oreilles peuvent être prévenues par un nettoyage du conduit auditif avec un jet d’eau tiède pendant la douche ou avec un spray nettoyant à base de sérum physiologique.


    En savoir plus sur http://eurekasante.vidal.fr/maladies/nez-gorge-oreilles/bouchon-cerumen.html?pb=traitements#du3sfvsmfy2wDge8.99

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  •  

    Frittata Macaroni

    22 janvier 2016

    frittata-macaroni
    La Frittata est une omelette italienne qui est plutôt gourmande.
    En voici une version qui apporte des féculents et des légumes… une omelette équilibrée !
     Elle se cuisine avec des restes de pâtes, mais vous pouvez également utiliser des pâtes fraîches en respectant votre besoin en féculents.
    Une Frittata aux macaroni, petits-pois et courgette fondante et craquante !

    RECETTE DE FRITTATA MACARONI

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  • Des moustiques "Aedes aegypti", vecteurs du virus Zika, observés à l'Institut de sciences biomédicales, à Sao Paulo, au Brésil, début janvier 2016.

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  • La réduction de la consommation de sucres permet de mieux percevoir l’intensité de la saveur sucrée, mais contrairement au sel, elle ne change pas le plaisir lié à la saveur sucrée.

    salt sugar 1220 x 560

    Les individus qui suivent un régime à teneur réduite en sel perçoivent mieux la saveur salée, et finissent par préférer une alimentation moins salée. Peut-on appliquer le même raisonnement pour la saveur sucrée ? C’est ce qu’ont voulu à savoir des chercheurs qui ont mené une étude sur 5 mois auprès de femmes et hommes âgés de 21 à 54 ans ayant l’habitude de consommer au moins deux boissons sucrées par jour (1). Après un premier mois d’observation, deux groupes ont été formés, l’un a maintenu sa consommation habituelle de boissons sucrées, tandis que l’autre a remplacé 40 % des calories venant des sucres par des graisses, des protéines et des glucides complexes, et cela pendant 3 mois. Durant le dernier mois, les deux groupes ont consommé la quantité de sucre qu’ils désiraient. Chaque mois, un pudding sucré à la vanille et une boisson à la fraise ont été utilisés pour évaluer l’intensité de la saveur sucrée perçue ainsi que le plaisir qui y est associé.

    Les résultats, publiés dans le American Journal of Clinical Nutrition, montrent que les personnes du groupe ayant réduit l’apport en sucres attribuent une cote plus sucrée au pudding et à la boisson que ceux du groupe contrôle. Par contre, la préférence concernant la quantité de sucre consommée ne diffère pas entre les deux groupes. Autrement dit, la réduction de l’apport en sucres permet, après 3 mois, de mieux percevoir l’intensité de la saveur sucrée, mais elle ne change pas la préférence pour le sucré.

    Ces données montrent que si l’on peut se déshabituer au sel sans y perdre en plaisir, on ne peut pas appliquer la même logique pour les sucres. Elles permettent de mieux comprendre le rôle de la saveur sucrée dans le plaisir lié à l’alimentation, et comment les édulcorants basses calories peuvent être utiles pour réduire la consommation de sucres tout en gardant le plaisir de la saveur sucrée.

     

    Wise PM et al. Am J Clin Nutr. 2015 Nov 25. pii: ajcn112300. [Epub ahead of print]

     

    http://www.edulcorants.eu/news/plaisir-sucre-plaisir-sale-des-mecanismes-differents-identifies/?

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  • compotee-poires-amandes
    Testé et approuvé par ma petite fille DID de 11 ans – 20g de glucides et ça tombe bien car c’est ce qu’il lui faut en dessert.
    Cette recette à base de poires, de vanille et d’amande est préparée comme une compote…
    Mais sans sucre ajouté. et bien entendu sans gluten et sans lactose, c’est un dessert qui fera plaisir à tous !

     

    Essayez aussi avec de la Pomme en remplaçant la vanille par de la cannelle !
    Servez dans des mini bocaux… c’est mignon et ça se conserve mieux si vous en avez beaucoup préparer.

    RECETTE DE COMPOTÉE DE POIRES AUX AMANDES ET VANILLE

    poires-amandes
    • PRODUIT: 4 bocaux (4 Portions)
    • PRÉPARATION:  20 mins
    • CUISSON:  35 mins
    • PRÊT DANS:  55 mins

    Le sucre naturel de la poire et les amandes amèneront environ 20g de glucides (sucres rapides) par part.

    INGRÉDIENTS

    INSTRUCTIONS

    1. Éplucher puis couper la poire en cubes. Faîtes la revenir dans 10cl d'eau jusqu'à ce qu'elle s'écrase facilement (environ 15mn). Ajouter la vanille, l'amande amère, la stévia et la poudre d'amande - Continuer la cuisson 5 mn puis mixer hors du feu. Mettre au frais et servir avec une noix de chocolat fondu et une amande en guise de cerise sur le gâteau !

     

    http://www.recette-pour-diabetique.com/compotee-de-poires-aux-amandes-et-vanille/

     

     

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  • Quelque part dans l'océan un immense amas d'immondices, venue de toute part, chaque objet jeter par l'homme dans la nature se retrouve ici un jour ou un autre. Il y a urgence, chaque petit geste pour la planète compte!!!

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  • A l'hôpital, le casse-tête de la bonne bouffe (épisode 1) : cuisinée sur place ou importée ?
    (Crédit photo : Marianne Casamance - Wikimedia)
     
    Bien souvent, quand le corps se détraque, les papilles trinquent. La faute à la nourriture hospitalière. Le fait maison, le bio et les produits de saison peuvent-ils sauver les malades de cette double peine ? Premier volet de notre enquête.

      Patients, que vous sert-on ? Si vous êtes Nord-Américain, vous n’échapperez pas au trio frites-pizza-donuts. Aux Etats-Unis, les chaînes de fast-food sont présentes dans un hôpital d’Etat sur cinq, selon le recensement du Physicians Committee for Responsible Medicine qui les a cartographiées. Contre le versement d’une part de leur chiffre d’affaires aux établissements de santé, McDonald’s et consorts s’offrent le droit de servir les patients jusque dans leurs lits, rapporte le magazine Mother Jones. La situation est semblable au Canada, où, dix ans après le lancement d’un programme gouvernemental visant à bouter la malbouffe hors des centres hospitaliers, la plupart restent des « irréductibles de la friteuse », constate le journal La Presse. En France, la nourriture hospitalière n’a jamais atteint de tels extrêmes. De là à dire qu’elle est toujours source de plaisir et de santé…

      Sur Hopital.fr, l’annuaire en ligne des hôpitaux, les « avis de patients » sont impitoyables. « Sans saveur », « infecte », « immangeable », « au dessous de tout »… Du CHU de Caen à l’hôpital européen Georges-Pompidou, les commentaires concernant la nourriture hospitalière atterrissent invariablement dans la colonne « Ce qui pourrait être amélioré » des formulaires. Cette défiance vis-à-vis de l’incontournable daube de veau sous film plastique a des conséquences. Selon les Hospices civils de Lyon, entre 40% et 55% des patients français terminent leur séjour en état de dénutrition !

      « Longtemps, les fournisseurs ont dû se dire : “On peut refiler n’importe quoi aux hôpitaux pour peu qu’on leur vende pas cher” », avance Philippe Romano, représentant des usagers hospitaliers et membre du Collectif interassociatif sur la santé. Mais, si l’on en croit les acteurs du secteur, cette époque est révolue. « Aujourd’hui, lorsque l’on passe nos achats, nous essayons de tirer les produits vers le haut pour donner envie aux patients de les consommer », rassure Didier Girard, ingénieur en restauration hospitalière au CHU du Mans. Au sein d’UniHA, le groupement via lequel 57 établissements hospitaliers réalisent la majeure partie de leurs emplettes, Jean-Marc David, responsable des achats pour la filière alimentaire, confirme : « Notre objectif, c’est que les gens finissent leur assiette. La note que l’on attribue à un produit dépend donc à 40% du prix, à 60% de la qualité. ». Au point d’opter pour des repas faits maison à base de produits bios, locaux et de saison ? Avec un budget alimentaire tournant autour de cinq euros par jour et par patient, soit deux euros par repas, atteindre ces objectifs suppose quelques contorsions.

      Cuisiné sur place ou importé ?

      « Autrefois, à l’hôpital, la tambouille se faisait au bout de chaque couloir, se souvient Philippe Romano. Puis les sociétés de restauration collective, comme Sodexo et Elior, ont envahi le marché. » Au milieu des années 2000, le mouvement s’est arrêté. « Depuis plusieurs années, le marché de la sous-traitance est stable, 90% des hôpitaux produisent eux-mêmes leurs repas », indique-t-on chez Sodexo. Dans les cuisines hospitalières autogérées, « les cuisiniers travaillent leurs produits, font des sauces », souligne Jean-Marc David. Pour faire des économies d’échelle, de nombreuses cuisines ont fusionné. Ainsi à Lyon, depuis 2010, les 15 000 repas de trois centres hospitaliers sont préparés sur un site unique où s’affairent cent cuistots ! Dans ces cuisines centrales, les barquettes sont préparées à J-1, dans le meilleur des cas, puis conservées par liaison froide, une technique qui ne laisse pas toujours le goût indemne. « On a arrêté le rosbif : réchauffé, ça devenait de la semelle », précise Monique Garnon, responsable des achats au CHU de Reims.

      Malgré cette rationalisation de la main-d’œuvre, les cuisines manquent encore de bras. Au Mans comme à Reims, les ingénieurs en restauration hospitalière ont tiré un trait sur la pâtisserie. « Ça aurait demandé cinq personnes supplémentaires et 200 000 euros d’investissements pour les bâtiments et les équipements », explique Didier Girard. Pour leurs tartes au citron meringuées, ces centres hospitaliers optent donc pour le surgelé et se tournent vers des fournisseurs comme Davigel. « Certains ont gardé la pâtisserie, mais font venir les entrées », indique Monique Garnon, à Reims. Dans son CHU, les cuisiniers travaillent à partir de légumes déjà épluchés et éboutés, la cuisine ne disposant pas d’éplucherie. « Je ne connais pas un hôpital où les repas sont à 100% cuisinés sur place », résume-t-elle.

      L’explication n’est pas purement financière. « On peine à recruter. Dans les écoles hôtelières, les métiers de la restauration collective, notamment hospitalière, sont peu valorisés », indique Didier Girard. Or, la tâche exige un savoir-faire. « On ne fait pas des repas à l’hôpital comme on fait de la restauration d’autoroute », précise Jean-Marc David. Sans sel, sans allergènes ou enrichi en nutriments… « Dans un hôpital, on a jusqu’à cinquante profils alimentaires distincts », poursuit le responsable d’UniHA. Face à cette complexité, Sodexo se targue de garantir « l’adéquation des menus avec les restrictions alimentaires dictées par les médecins ». Une compétence qui lui permet de conserver « un réel leadership dans les cliniques privées » où le géant de la restauration collective écoule toujours 90 000 repas quotidiens.

      http://www.terraeco.net/A-l-hopital-le-casse-tete-de-la,59659.html

       

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    • Nous suivons tous quelques principes de vie "sains ". Même si on déteste ces habitudes, on les poursuit, pensant qu'elles sont bonnes pour nous. Mais le sont-elles vraiment ?

       

      11 habitudes de vie "saines" qu'il vaudrait mieux abandonner

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    • Avec 151.000 nouveaux cas enregistrés la semaine du 4 au 10 janvier 2016, la gastro-entérite a franchi le seuil épidémique en France métropolitaine, selon le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm.

      Par la rédaction d'Allodocteurs.fr

      Rédigé le 14/01/2016

      Gastro-entérite : la France a franchi le seuil épidémique

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    • Le cancer du poumon est l'un des plus mortels. Mais deux nouvelles études identifient des pistes pour mieux le traiter, à partir des cellules mutées de tumeurs cancéreuses. 

      Le cancer du poumon peut rester dormant pendant 20 ansLefteris Pitarakis/AP/SIPA
       
      Publié le 11.10.2014 à 11h26
       
       

      Le cancer du poumon tue chaque année 28 000 personnes en France. Il s'agit également du cancer le plus mortel, et le plus répandu au monde, avec 900 000 nouveaux cas diagnostiqués chez les hommes, tous les ans. Deux études publiées dans la revue Science se sont interessées aux mutations génétiques des tumeurs cancéreuses au cours du temps, afin de mieux comprendre comment évolue la maladie, pour mieux la prendre en charge.

      Car pour les médecins, la difficulté est double. Le cancer du poumon est difficile à traiter car à chaque malade correspond une tumeur différente, avec des mutations génétiques particulières. En outre, il est compliqué  de le repérer, les symptômes apparaissant souvent une fois qu'il est trop tard et que la maladie est devenue mortelle.


      Dans la première publication, les chercheurs se sont intéréssés de près à plusieurs tumeurs qui avaient été retirées des poumons de malades, au cours d'interventions chirurgicales. Ils ont analysé la variabilité génétique entre les différentes régions des tumeurs, et entre chacune d'elles. Ils ont cherché à comprendre comment ces mutations avaient évolué au cours du temps. 


      Et le résultat est sans appel : il y a une très longue période entre l'apparition des premières mutations et le développement des premiers symptômes. Les premières mutations apparaitraient ainsi en deux décennies avant que la maladie ne se déclare. 

      Diagnostic trop tardif

      C'est ce laps de temps sans symptômes qui pose problème car au moment où les patients sont assez malades pour être diagnostiqués, les tumeurs se sont développées, de manière unique pour chacun, au gré des mutations génétiques. Pour les chercheurs, il y a donc urgence à développer de nouveaux outils afin de mieux diagnostiquer le cancer, et plus tôt.

      Aujourd'hui, les médecins utilisent surtout le scanner pulmonaire, pour repérer et analyser la tumeur, mais la méthode de la biopsie liquide, qui consiste à prélever l'ADN circulant dans le sang, présente de plus en plus d'espoirs. 

      7000 mutations

      Autre obstacle à la guérison du cancer du poumon : la relative incompréhension des mutations génétiques des tumeurs à l'origine de la maladie. Les auteurs de la seconde publication ont démontré que les médicaments ciblés sont souvent inefficaces car chaque tumeur est différente, en raison de leur grande hétérogénéité génétique. À partir d'un seul prélèvement de cellules cancéreuses, ils ont identifié 7000 mutations génétiques. 76 % d'entres elles étaient présentes dans les tissus prélevés.

      À terme, ils espèrent mieux comprendre ces mutations. Cela n'ouvrirait pas uniquement la voie à de meilleurs diagnostics, mais pourrait aussi être la base d'une meilleure prise en charge, adaptée à chaque patient, et le point de départ à de nouveaux traitements.

       

      http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/8226-Le-cancer-du-poumon-peut-rester-dormant-pendant-20-ans

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    • Portrait de Katja, chiennne de la race des bergers malinois

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      • Davao, Philippines. Depuis 3 ans, Muriel Relatores, 21 ans, se bat contre le diabète. Presque aveugle et très affaiblie, elle ne sort presque plus. Handicap International veille à qu’elle ne soit pas isolée et qu’elle puisse se soigner elle-même. © Erolle Linus Miranda / Handicap International

      Handicap International s’engage contre le diabète dans les pays du sud

      Plus de 70 % des diabétiques vivent dans des pays à faibles et moyens revenus*

      Contrairement aux idées reçues, le diabète n’est pas une maladie de « riches ». Dans les pays en développement, le nombre de diabétiques augmente de façon inquiétante. D’après l’OMS, 551.8 millions de personnes seront atteintes de la maladie d’ici 2030. Alors qu’une prise en charge est essentielle pour les malades, l’accès aux soins est très difficile dans les pays pauvres, pourtant les plus touchés par la progression du diabète (+ 50 % d’ici 2030).

      Toutes les 30 secondes, le diabète provoque la perte d’un membre inférieur quelque part dans le monde*

      Le diabète est l’une des premières causes mondiales de handicap. Non soignée, cette maladie engendre des lésions organiques souvent irréversibles qui peuvent conduire à l’amputation du pied ou de la jambe, provoquer la cécité ou des paralysies. Or, les systèmes de santé des pays en développement sont encore peu préparés à la prise en charge des personnes diabétiques. C’est pourquoi Handicap International travaille en priorité sur le renforcement des systèmes de santé aux Philippines et en Afrique de l’Est. L’association forme et accompagne les acteurs  locaux de santé  dans le dépistage  de la maladie et  la  prise en charge des malades.  Ainsi, elle mène des actions de sensibilisation pour prévenir les déficiences  consécutives à la maladie. Le diabète étant la deuxième cause d’amputation dans le monde, elle propose également des solutions d’appareillage (prothèses, orthèses) et des séances de rééducation aux personnes amputées.

      En 2011, les projets de Handicap International dédiés au diabète ont concerné plus de 160 000 de personnes aux Philippines, en Afrique de l’Est et au Nicaragua.

      • Plus de 87 000 personnesde personnes ont été sensibilisées au diabète
      • Plus de 70 700 malades ont directement bénéficié des activités conduites par l’association et ses partenaires
      • Près de 4 000 professionnels ont été formés

      Le diabète en chiffres*

      Toutes les 30 secondes, le diabète provoque la perted’un membre inférieur quelque part dans le monde.

      Plus de 70 % des diabétiques vivent dans des pays à faibles

      et moyens revenus.

      Près de 70 % des amputations de membre inférieur

      dans le monde sont liées au diabète.

      551,8 millions de personnes seront malades du diabète en 2030.

       

      * Source : Fédération internationale du diabète

       

      http://www.handicapinternational.be/fr/actualites/14-novembre-journee-mondiale-du-diabete

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    • mousse-ananas-exotique
      Un dessert amusant à faire avec les enfants… mais qui plaira aux plus grands !
      L’ananas frais (surtout pas au sirop) amènera sa touche d’exotisme.
       Pas de sucres ajoutés et si gourmand !

      RECETTE DE MOUSSE EXOTIQUE À L’ANANAS

      mousse-ananas
      • PRODUIT: 4 verres (4 Portions)
      • PRÉPARATION:  20 mins
      • CUISSON:  20 mins
      • PRÊT DANS:  40 mins

      Environ 20G de glucides par personne dans ce dessert à bas d'ananas.

      INGRÉDIENTS

      INSTRUCTIONS

      1. Couper l'ananas en morceaux et mettre dans une casserole avec 1 litre d'eau et le sucralose. Pocher à petite ébullition pendant 15 mn - égoutter puis mixer et remettre sur le feu 2mn avec l'agar agar... réserver et laisser refroidir.
      2. Fouetter la crème (au robot) et une fois ferme, mélanger avec l'ananas et verser dans des gros verres ou verrines. Laisser 2 heures au froid.
      3. Chauffer légèrement le sirop avec1g d'agar agar pui verser sur l'ananas refroidie et placer une framboise dessus... réserver au frais au minimum 2 heures et servez !

      http://www.recette-pour-diabetique.com/mousse-exotique-a-lananas/

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    • Une recette simple pour inviter les légumes anciens dans l'assiette.

      Galettes de légumes anciens - P. Dufour - Interfel
      Livres recommandés
      Préparation : 30 min - Cuisson : 20 min

      Ingrédients pour 4 personnes :
      2 panais
      4 topinambours
      ½ citron
      4 carottes de couleur (violette, jaune, blanche)
      2 pommes de terre
      2 c à s d’huile d’olive
      1 pincée de muscade
      Sel et poivre


      Préparation :

      Laver puis peler tous les légumes.

      Citronnier les topinambours pour qu’ils ne noircissent pas.

      Râper tous les légumes. Saler, poivrer.

      Parfumer d’une pointe de muscade râpée.

      Dans une grande poêle, faire chauffer l’huile d’olive et déposer à la cuillère de petits dômes de légumes râpés. Les tasser légèrement.

      Les faire dorer 10 min sur une face puis encore 10 min sur l’autre face.

      Selon la taille de la poêle, renouveler si besoin l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients.

      Servir à l’apéritif ou en entrée avec une salade.


      Option gourmande : accompagner ces petites galettes d’une poêlée de girolles ou de chanterelles, juste parfumées d’une pointe d’ail et de cerfeuil ciselé. On peut également garnir chaque galette d’un œuf de caille au plat !
       
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