• Des chercheurs israéliens pretendent que la plante appelee "כְּתֵלָה חֲרִיפָה" (ktela harifa ou Chiliadenus iphionoides) peut aider a baisser le taux de sucre dans le sang. Les chercheurs travaillent sur l'analyse des capacites medicinales de cette plante et le developpement d'un medicament destine au grand public.

     

    צילום: Eitan f

     

    Révolution dans le traitement du diabète : selon une étude présentée aujourd'hui a l’université d'Ariel, la plante appelée "Ktela harifa", qui est très présente en Israël et dans les pays voisins, est très efficace pour le traitement du diabète. Les chercheurs de l’université d'Ariel se consacrent ces jours-ci a l'analyse des capacités médicinales de cette plante et ce afin de développer un médicament qui serait distribuer aux malades.

     

    Cette etude a ete presentee par le docteur Yonathan Gurlik, du centre de recherche et de developpement de Judee, dans le cadre d'une conference des recherches menees en Judee et Samarie. Selon Gurlik, de nombreuses plantes sont utilisees de maniere traditionnelle dans le traitement du diabete, mais peu d'entre-elles ont ete developpees et adaptees a la culture de maniere efficace. Une de ces plantes sauvages est la "Ktela harifa", un petit buisson israelien dont on se sert de maniere traditionnelle pour soigner ce probleme.

     

    Le potentel therapeutique de la "Ktela harifa" a deja ete prouve dans des modeles multicellulaires et sur les animaux. Des etudes ont deja demontre que les extraits de "Ktela harifa" augmentent l'integration du glucose dans les cellules musculaires et graisseuses tout en faisant baisser le taux de sucre dans le sang. Afin de trouver la maniere la plus efficace d'extraire de cette plante sa capacite therapeutique il en a ete collecte plusieurs exemplaires a travers le pays et il en a ete controle l'action antidiabetique. Au cours de cette etude les chercheurs "stressent" la plante en imitant les conditions dans lesquelles elle pousse dans la nature, et ce afin de lui faire produire l'extrait de matiere qui permettrait de soigner les diabetiques.

     

    En faisant pousser des plantes therapeutiques sauvages il y a toujours la crainte d'en voir diminuer les activites biologiques (dans le cas present la capacite antidiabetique de la plante) obtenues dans des conditions naturelles. Afin d'eviter cela les chercheurs doivent imiter au mieux les conditions qui regnent dans la nature, celles qui preservent de maniere elevee les actions biologiques et permettent a la plante de secreter sa matiere medicinale. Les chercheurs se servent de catalyseurs naturels - d'origine vivante comme un insecte ou un champignon - et de catalyseurs abiotiques qui ne se trouvent pas dans la nature - d'origine non vivante comme la chaleur ou le manque d'eau. Cela entraine une reaction au stress de la part des plantes.

     

    La reaction au stress de la "Ktela harifa" devrait encourager son action biologique contre le diabete. La definition de conditions de culture "stressantes" aidera au developpement a grande echelle de la "Ktela harifa" en tant que traitement du diabete dans le futur, mais aussi au develeppement d'autres plantes therapeutiques qui ne poussaient jusqu'a la que de maniere sauvage.

     

    La conference des etudes de Judee-Samarie est une conference multidisciplinaire ou sont presentees des etudes dans differentes disciplines mais liees a la region de la Judee et de la Samarie, mais aussi de la vallee du Jourdain - elle est organisee par le secteur de recherche et developpement de la Samarie et de la vallee du Jourdain.

     

    Traduit de l'hebreu par David Goldstein pour Haabir-haisraeli.

     

    PS : 285 millions de personnes étaient atteintes du diabète dans le monde en 2010, soit 6,6% de la population adulte mondiale - selon la Fédération Internationale du Diabète. Celle-ci qualifie le phenomene de véritable pandémie car la progression est considérable : ainsi, selon l'OMS, d'ici a 2030 il y aura 438 millions de diabétiques dans le monde.

     

     

    4 millions de personnes sont mortes des suites du diabete en 2010, soit 6,8% de la mortalite mondiale. (http://www.afd.asso.fr/diabete/chiffres-monde).

     

    http://haabir-haisraeli.over-blog.com/2015/06/revolution-pour-le-diabete-une-plante-israelienne-pour-soigner-le-diabete.html

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  • ans le Sud-Ouest de la Virginie, des médicaments ont été livrés par drones par Flirtey, une société de livraison express pour des colis alimentaires ou de première nécessité.

    La première livraison de médicaments par drones aux USA

    La société Australienne Flirtey, qui réalise déjà des livraisons par drones en Nouvelle-Zélande, vient d’obtenir l’accord de la FAA (Federal Aviation Administration, l’Agence Fédérale de l’Aviation Américaine) pour tester les livraisons de médicaments aux Etats-Unis. Un test a déjà été effectué par une première livraison de 24 paquets vers une piste non loin d’une clinique dans une zone rurale de Virginie.

    flirtey-drone

    Le CEO de Flirtey, Matt Sweeney, vante les mérites de ce projet de livraison par drones, notamment en zones rurales où des prescriptions peuvent être livrées dans la demi-heure là où les habitants attendent aujourd’hui des jours entiers pour ce même service. Le cas Flirtey n’est pas sans intérêt pour Amazon qui s’est également vu accorder en mars dernier à titre expérimental une licence de vol de ses drones pour des livraisons de petits colis.

    Un pas de plus vers la standardisation du “drone premier secours” ?

     Le cas Flirtey nous laisse des indices quant aux futures évolutions des régulations de livraisons par drones sur le sol Américain. La FAA a en effet montré qu’elle étaitprête à adapter sa régulation notamment pour des produits de première nécessité, comme des médicaments. Cela nous laisse optimiste quant à la standardisation de drones “premier secours” qui apporteraient des kits de premiers secours lors des accidents. Utile lorsque l’on sait qu’au delà de quatre minutes, le taux de survie d’une personne victime d’un arrêt cardiaque diminue de 10 % chaque minute.

    Des projets ont déjà été lancés, comme le Smart Aid, un drone imaginé en Autriche par le designer Stefan Riegebauer. Ce drone, appelé via une application mobile, se repère grâce au GPS pour arriver dans les plus brefs délais, avec tout le nécessaire pour apporter les premiers soins. Une fois sur les lieux de l’accident, le drone dispose d’un écran intégré pour donner des conseils clés permettant d’apporter les premiers soins. Un projet similaire a été imaginé à l’Université de technologie de Delft, aux Pays-Bas, bien que le drone est cette fois équipé de hauts parleurs mettant directement en liaison les accidentés avec les secours pour la communication des conseils de premier soins.

    La technologie est donc bien présente, les projets également. Seule la régulationposait problème, cela ne devrait plus qu’être une question de temps (pour les Etats-Unis). A quand la France ?

    En bonus, découvrez la vidéo de cette première livraison de médicaments par drones :

     

     

    https://www.aruco.com/2015/07/drones-livraison-medicaments/

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  • Voilà pourquoi les plats préparés sont si bon marché

    L'industrie agro-alimentaire, qui doit concilier bénéfices et exigence de prix bas de la part des consommateurs, use d'une multitude d'artifices dans ses aliments préparés. Le tout le plus légalement du monde ! Mais à quel prix pour la qualité qu'elle nous promet ?

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  • Il fait plus de 25°C, c’est enfin l’été ! Le soleil et sa lumière mettent du baume au coeur et au corps, donnent des couleurs et de la vitamine D à la peau (mais point trop s’en faut) et remontent le moral ! Mais attention aux effets d’autant plus néfastes qu’on n’y est plus du tout habitué : la déshydratation.

    A côté de l’eau, source première et essentielle d’hydratation, il existe des aliments qui aident à résister à la chaleur. Gorgés d’eau, ils participent pour une grande part à l’hydratation quand il fait chaud. Quels sont ces aliments ?

    Les aliments qui aident à résister à la chaleur

    Deux familles d’aliments et un aliment animal possèdent des teneurs élevées en eau : les fruits et légumes (entre 80 et 95 % d’eau), le lait (entre 80 et 91 % d’eau) les produits laitiers de type yaourt nature et fromages frais (80 % d’eau), et l’oeuf entier cru  (75 % d’eau)(1).

    alimentation hydratation aliments riches en eau

    Bien manger pour s’hydrater en été © Shutterstock

    Autre avantage de ces aliments : ils contiennent pas ou peu de matières grasses – sauf l’oeuf. C’est vrai pour les fruits et légumes, mais ça l’est aussi quand on choisit des produits laitiers (de type yaourt et fromage blanc) inférieurs à 3,5 g de lipides/100g (qui correspond à la teneur en lipide du lait entier). Parfait pour les personnes qui surveillent leur poids tout en s’hydratant correctement.

    L’eau participe à donner de l’appétence à ses aliments. Mais elle leur donne aussi une aptitude à se détériorer plus vite… Les aliments gras – et donc avec très peu ou pas d’eau, comme l’huile – ne pourrissent pas !

    L’apport en eau des aliments solides

    Chez l’adulte, l’eau des aliments solides peut représenter 1/2 litre par jour  : entre 0,4 et 0,8 litre par jour plus exactement(2).

     

    alimentation hydratation aliments riches en eau

    Les marchés regorgent de produits frais pour une bonne hydratation © Shutterstock

    Une personne qui consomme peu de fruits et légumes devra boire plus que celui qui en consomme beaucoup pour arriver à avoir des apports hydriques corrects. Les besoins totaux en eau sont en moyenne de 1,5 litre par jour pour un adulte.

    Mais ces besoins varient beaucoup selon d’autres facteurs : l’âge exact, le sexe, la température extérieur et l’activité physique.

    Les autres familles d’aliments contiennent moins d’eau :  entre 65 et 80 % pour les poissons, de 50 à 70 % pour les viandes, 35 % pour le pain, et autour de 10 % pour les céréales.

    Les fruits et légumes pour l’hydratation

    Ce n’est pas par hasard que les fruits et légumes soient les matières premières de boissons !

    N°1 de l’hydratation : les légumes

    Ils contiennent 90 à 95 % d’eau.

    Champions de la catégorie : le concombre (97 % d’eau), suivi par les salades de toutes sortes ( 95 % d’eau), par la tomate et la courgette (94 % d’eau)(1).

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    On a toujours besoin d’un radis dans sa vie © Shutterstock

    La cuisson fait diminuer un peu la teneur en eau, mais elle reste quand même très élevée. Mais quand il faut chaud, on a plus envie de crudités : elles contiennent effectivement le plus d’eau et conservent toutes les vitamines (surtout si les produits sont fraîchement cueillis). Le corps s’est très bien repéré ce dont il a besoin  – si on sait l’écouter !

    Les fibres contenues dans les légumes auront un effet satiétant intéressant qui se rajoute à l’hydratation.

    N°2 de l’hydratation : les fruits

    Ils contiennent 85 à 90 % d’eau.

    1- Les fruits frais ou aqueux

    Ce sont les plus hydratants et représentent 95 % des fruits : ce sont les fruits à jus. On y trouve, dans l’ordre décroissant  :

    - les fruits comme le melon et la pastèque : 91 % d’eau

    - les fruits acides  :  les agrumes, les baies. Ce sont les plus riches en eau ( 89 % d’eau pour le pamplemousse et le citron)

    - les fruits sucrés (= avec une teneur en sucre élevée, mais une faible acidité) : pêche, abricot, cerises, nectarines, mirabelles, prunes, quetsche, etc., c’est-à-dire surtout les fruit à noyaux (86 % pour l’abricot, 85 % pour la pomme et la poire).

    - les fruits fortement sucrés ( = jusqu’à 20 % de sucre) : raisins, bananes, dattes, etc. (82 % d’eau pour le raisin blanc, 74 % pour la banane)*.

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    Le plein de fruits et légumes au marché © Shutterstock

    2- Les fruits amylacés

    Ils contiennent moins d’eau : ce sont les châtaignes, les marrons, etc.

    3- Les fruits oléagineux

    Eux encore moins : avocats, noix de coco, olives, etc.

    4- Les graines oléagineuses

    Amandes, noix, noix de cajou, pistache, graines de courge, etc.

    5- Les fruits secs ou séchés

    Dattes, raisins, figues, abricots, etc.

    Encore plus que pour les légumes, les fruits se consomment surtout crus. Parfait pour les fibres et les vitamines à nouveau.

    Les produits laitiers et l’hydratation

    Le lait contient entre 80 et 90 % d’eau selon qu’il est entier ou écrémé (il en contient plus quand il est écrémé, avec 91 %). Forcément, les laitages (entre 70 et 80 %) et les fromages frais (entre 60 et 70 %) vont aussi en avoir une teneur intéressante.

    1- Les laitages

    Plus ils sont écrémés, plus ils contiennent de l’eau (c’est le principe des produits allégés en matières grasses ; ceux qui sont sensibles au goût l’auront certainement noté).

    En voici quelques exemples  :

    - yaourts : écrémé (88 % d’eau), brassé (86 %), entier (87 %).

    - fromages blanc : 0 % de matières grasses (86 % d’eau), 15 % de MG (84 %), entier (81 %).

    -yaourts à boire : le fait d’être « à boire » est trompeur. Ils contiennent moins d’eau que le yaourt entier, avec seulement 79 % d’eau pour celui 1/2 écrémé sucré.

    alimentation hydratation aliments riches en eau

    Yaourt à boire, pour l’hydratation aussi © Shutterstock

    2- Les fromages frais

    La teneur en eau baisse encore. Le champion de cette catégorie, c’est la… ricotta (photo), avec 72,7 % d’eau (et seulement 10,5 % de lipides, ce qui est moins qu’une crème fraiche à 15 %).

    Là encore, ce sont les fromages allégés en matières grasses qui sont les riches en eau :

    Le fromage de chèvre à tartiner contient 71 % d’eau (12,5 % de lipides) tandis que le fromage de chèvre frais en contient 62 %. Les spécialités fromagères sont constituées d’eau à 66 % ( pour 13 et 23 % de lipides).

    La fraîcheur, une aide à l’hydratation

    Notons que ces aliments à base de lait sont au même taux, voire en-dessous de ceux des poissons, voire des viandes. Alors pourquoi les citer ?

    alimentation hydratation aliments riches en eau

    Les fromages sont aussi liés à l’hydratation © Shutterstock

    D’abord parce qu’ils contiennent moins de matières grasses que les viandes (il est bien entendu qu’on ne parle pas des fromages affinés à pâte molle, ferme ou dures qui sont beaucoup plus gras que les viandes !). Mais ce n’est pas vrai pour les poissons !

    Ce qui est vrai en revanche, pour ces 2 familles d’aliments comparés aux produits laitiers cités ci-dessus, c’est qu’ils sont toujours servis FROIDS. Et que cette fraîcheur fait partie aussi des bienfaits de l’hydratation.

    C’est pour cela que l’on donne des yaourts frais aux personnes âgées quand il fait très chaud et qu’elles s’hydratent mal et qu’elles n’ont pas très faim (le yaourt, avec ses taux de protéines et de glucides importants est considéré comme un aliment à part entière, comme le lait).

    L’avis de la diététicienne

    L’hydratation passe heureusement par plusieurs sources : si l’eau en est l’élément essentiel, les aliments comme les fruits, les légumes et les produits laitiers du type yaourt nature demi-écrémé permettent de varier les plaisirs.

    N’oubliez pas que ces aliments apportent aussi des calories, surtout les produits laitiers ! C’est la grande différence avec l’eau !

    Mais comme pour les fruits et légumes, il suffit d’intégrer les produits laitiers à l’alimentation quotidienne pour répondre à d’abord sa faim… et à sa soif (en partie tout du moins). Donc, quand il faut chaud, mangez pour vous hydrater : surtout des fruits et légumes, crus la plupart du temps (quand on n’a pas les intestins trop fragiles).

    http://www.consoglobe.com/hydratation-manger-meilleurs-aliments-cg/3

     

    Sources de l'article :

     

     



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  • Comment renforcer le travail multidisciplinaire pour les patients polypathologiques? Echangez avec des professionnels de santé de votre quartier.
     

    Le RML-B a le plaisir de vous inviter à l’édition 2015 des rencontres multidisciplinaires locales. A partir de cas cliniques, les échanges permettront:

    • d’identifier l’apport de chaque discipline et l’articulation des différentes interventions
    • de déceler les difficultés rencontrées au niveau de la collaboration et de la continuité des soins 
    • de s’accorder sur des modalités pratiques de suivi.

     

    Cette année, les vignettes présentées par différents professionnels de santé (médecins généralistes et spécialistes, infirmiers, paramédicaux et pharmaciens), serviront de base à la discussion sur la prise en charge multidisciplinaire des patients polypathologiques (focus diabète et trouble de la santé mentale).

     

    Quatre rencontres couvrant l'ensemble de la région bruxelloise sont organisées: 

    Date Zone concernée Adresse du jour

    Mardi 29 septembre à 20h

    Sud

    de Bruxelles

    ABD asbl, Place H. Goosens, 1 à 1180 Bruxelles

    Mardi 20 octobre à 20h

    Ouest

    de Bruxelles

    av. Joseph Wybran, 40 à 1170 Bruxelles

    Mardi 17 novembre à 20h

    Nord

    de Bruxelles

    Rue Jos de Brouchoven, 2 à 1000 Bruxelles

    Mardi 8 décembre à 20h 

    Est

    de Bruxelles

    Av. Georges Henri, 251 à 1200 Bruxelles

     

    Informations 
     

    Ces séminaires s’adressent à tous les professionnels de la santé (médicaux, paramédicaux, travailleurs sociaux, pharmaciens...). 

     

    Inscription: inscription gratuite mais obligatoire en remplissant le formulaire d'inscription, par email info.rml(a)famgb.be, téléphone 02/375.12.97  ou fax 02/761.41.86

    Télécharger la pré-invitation: "rencontres multidisciplinaires locales: la prise en charge des patients polypathologiques (diabète et santé mentale)", en format PDF.

    Accréditation demandée pour
    •les médecins: en éthique et économie
    •les pharmaciens: en santé et société
    •les kinésithérapeutes

     

    http://rmlb.be/news/la-prise-en-charge-des-patients-polypathologiques-diabetiques-et-ayant-un-trouble-de-la-sante-mentale

     

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  • Les routes du futur seront à base de plastique recyclé

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  • Une greffe de graisse pour guérir du diabète ?

    L'insuline est vitale pour les diabétiques car elle rétablit l'équilibre de la glycémie. Pourtant, des chercheurs américains viennent de montrer que cette régulation est possible sans insuline, à l'aide d'une transplantation… de graisse !

    Par Léa Galanopoulo

    Rédigé le 03/07/2015

    Une greffe de graisse pour guérir du diabète ?Les personnes atteintes de diabète de type I doivent s'injecter de l'insuline pour contrôler leur glycémie

    Il y a bonne et mauvaise graisse. La graisse blanche d'abord, responsable des "bourrelets" et néfaste pour la santé, et la graisse brune. Cette "bonne graisse" brûle ses propres adipocytes pour faire augmenter la température corporelle. Lors des premières semaines de vie, la graisse brune est présente en quantité chez le nourrisson car elle lui permet de réguler sa température alors qu'il n'a pas encore acquis le reflexe de frissonnement. Puis elle se raréfie au cours de la vie, ce qui la rend d'autant plus estimable...

    Depuis des années, les bienfaits de la graisse brune sont progressivement révélés. Elle permettrait par exemple d'augmenter la dépense calorique et donc de faire perdre du poids, mais aussi de stabiliser la glycémie. Partant de ce constat, des chercheurs américains ont découvert que cette graisse pourrait même soigner le diabète de type I. En tout cas chez les souris…  selon leurs travaux publiés le 1er juillet dans la revue de l'American Physiological Society.

    Les chercheurs ont transplanté directement de la graisse brune, prélevée sur des embryons de souris, dans le dos des animaux. Ces souris avait préalablement été modifiées et rendues diabétiques. Une semaine plus tard, plus de la moitié (53%) de ces animaux ont vu leur diabète complètement disparaître. Le taux de glucose dans leur sang était ainsi naturellement équilibré, sans insuline.

    Une protéine qui mimerait l'action de l'insuline

    Comment est-il possible de restaurer une glycémie normale chez des animaux qui ne possèdent pas d'insuline ? Car le diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui détruit  les cellules pancréatiques sécrétrices de l'insuline. Cette perte hormonale est définitive.

    Pour expliquer l'action des graisses brunes sur la glycémie, les chercheurs proposent plusieurs pistes. Ils ont notamment constaté que la transplantation de ces bonnes graisses induisait une augmentation "forte et progressive" de la concentration d'une protéine : l'IGF-1. La structure de cette dernière ressemble comme deux gouttes d'eau à celle de l'insuline ! L'IGF-1 pourrait alors se fixer aux récepteurs de l'insuline, mimer son action, et restaurer ainsi l'équilibre glycémique manquant chez les diabétiques. Les chercheurs précisent d'ailleurs que le taux d'IGF-1 "continue d'augmenter dans les mois suivant la greffe".

    Néanmoins, des nombreuses zones d'ombre restent à éclaircir, car l'IGF-1 ne semble pas pouvoir, à elle seule, substituer le rôle de l'insuline. D'autres hormones régulées par la graisse brune, comme le glucagon ou la leptine, pourraient également entrer en jeu. Ces résultats encourageants restent cependant à l'état expérimental. Actuellement aucun traitement curatif n'existe pour soigner le diabète de type 1. Le seul traitement consiste pour les diabétiques à s'injecter de l'insuline, tout au long de leur vie.

    Source : Insulin-independent reversal of type 1 diabetes in nonobese diabetic mice with brown adipose tissue transplant. S. Gunawardana et al. American Journal of Physiology - Endocrinology and Metabolism, juillet 2015. DOI: 10.1152/ajpendo.00570.2014

     

    http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/recherche/une-greffe-de-graisse-pour-guerir-du-diabete_16786.html

     

     

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  • Une chaude journée d'été passée en jupe et la plupart d'entre nous se retrouvent avec des cuisses rouges et gercées. Il existe différentes façons d'éviter cette véritable torture, mais que faire s'il est déjà trop tard ?

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  • Le Français Laurent Greco a élaboré d'une main de maître plusieurs cocktails sans alcool à base de Perrier. La folie des bulles mais sans l'ivresse.

    6 cocktails sans alcool à base d'eau pétillante

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  • Selon une étude de l’Université du Maryland, les chaleurs et précipitations extrêmes sont significativement associées au risque d’infections par Salmonella. 
    Chaque année aux Etats-Unis, la bactérieSalmonella induit 1,2 million de cas de gastro-entérite aiguë. Les chercheurs de la Maryland School of Public Health se sont penchés sur le sujet et, pour la première fois, établissent un lien entre les conditions météorologiques et l’apparition de salmonellose.

    9 500 cas de salmonellose dans le Maryland en 10 ans

    Des épidémiologistes, microbiologistes, spécialistes du système terrestre et fonctionnaires du ministère de la santé et hygiène mentale du Maryland ont coopéré à l’identification des épisodes de chaleur et de précipitations extrêmes de 2002 à 2012. Ils les ont ensuite liés aux données sur les infections par Salmonella. En cette période, 9 500 cas de salmonellose ont été signalés dans le Maryland.

    Les zones côtières plus à risque

    Les résultats montrent que les événements extrêmes sont associés  au risque d’infection parSalmonella. Pour chaque unité de mesure supplémentaire, le risque d’infection à Salmonellaaugmente de 4,1 % pour la chaleur et de 5,6 % pour les précipitations. De plus, pour les deux conditions météorologiques, l’impact est plus important dans les zones côtières que les autres. Etant donné que les épisodes de chaleurs et précipitations extrêmes sont voués à devenir plus nombreux au cours des prochaines décennies, les auteurs appellent les experts en santé publique à déployer des stratégies de prévention de la salmonellose.

     

    Jiang C et al, Environment International, vol83, October 2015, p58-62, doi:10.1016/j.envint.2015.06.006

     

    http://www.foodinaction.com/chaleur-et-prcipitations-extrmes-augmentent-le-risque-de-salmonellose/?

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  •  
     
    Les piqûres de guêpe ou d’abeille peuvent provoquer trois types de réaction : une réaction locale, une réaction toxique qui dépend du nombre de piqûres et une réaction allergique qui peut se déclencher après une seule piqûre. La réaction locale est la plus fréquente et nécessite rarement l’intervention d’un médecin. Les réactions toxiques et allergiques sont des urgences médicales pour lesquelles une hospitalisation est souvent nécessaire.
     
     
     
     

    Symptômes

    Le bourdon, plus volumineux et plus velu, reconnaissable à son bruit,  pique mais ne laisse pas son dard.

    L’inoculation de venin est intradermique c'est à dire dans le tissu conjonctif dense de la peau. Au niveau des muqueuses et de la conjonctive (œil), la diffusion du venin est plus rapide ce qui entraîne un gonflement plus important. Trois réactions sont possibles:

    Une réaction locale

    • La piqûre est douloureuse. Elle s’accompagne d’une rougeur locale, d’un gonflement (oedème local) de quelques cm, d’une légère induration. Cette réaction s’accompagne parfois de démangeaisons. Produite par des  amines vasoactives et par des  peptides, cette réaction disparaît en général en quelques heures.
    • En fonction de l’endroit de la piqûre, le gonflement peut être plus important : par exemple au niveau du visage (paupières, ailes du nez, oreilles, lèvres) et du cou. Une piqûre dans la bouche ou dans la gorge peut gonfler au point d’entraîner un risque d’étouffement.

    Une réaction toxique

    • Les symptômes seront plus intenses en cas de  piqûres multiples :  la quantité de venin injectée est plus importante. À la réaction locale s’ajoutent alors des signes généraux : vomissements,  diarrhée,  maux de tête, chute de tension, plus rarement convulsions et perte de connaissance.
    • Chez un adulte, une surveillance en milieu hospitalier est conseillée si la victime présente plus de 20 piqûres.  

    Une réaction allergique (choc anaphylactique)

    La réaction allergique ne dépend pas de la dose de venin injectée. Une seule piqûre suffit à la déclencher.

    Les symptômes sont:

    • Cutanés: urticaire généralisée, rougeur, démangeaisons et gonflement important.
    • Respiratoires: œdème de la langue, œdème de l’épiglotte et du larynx, bronchospasme qui s’accompagne d’une sensation d’oppression thoracique, d’angoisse et de cyanose (coloration bleutée de la peau).
    • Cardiaques: chute de la tension, choc.
    • Digestifs: nausées, vomissements, diarrhée.
    • Neurologiques: vertiges, perte de connaissance.


    L’obstruction des voies respiratoires et le choc cardiovasculaire peuvent entraîner la mort de la victime.

     
     
     
     

    Traitement

     

    Premiers soins sur place :

    • Lors d’une piqûre, la douleur est immédiate et un œdème local se développe rapidement
    • Si possible, identifiez l’insecte qui vous a piqué.
    • Les abeilles laissent l’aiguillon et la glande à venin accrochés à la peau. L'appareil continue ainsi à injecter les réserves de venin. Dans ce cas, retirez rapidement le dard avec l’ongle ou avec le bord non tranchant d’un couteau (en glissant parallèlement à la surface de la peau) ou d’une carte de crédit. N’utilisez pas de pincette, la glande à venin pourrait éclater et libérer encore plus de venin.

    Les guêpes piquent sans laisser de dard.

    Le frelon a un dard plus long. La piqûre est plus profonde. Le venin peut être injecté directement dans les vaisseaux sanguins, accélérant ainsi la réaction.

    • Enlevez les bagues en cas de piqûre à la main pour ne pas gêner la circulation du sang si un gonflement se développe.
      Bien désinfecter à l’eau et au savon, puis appliquer une solution antiseptique : les hyménoptères sont des omnivores et volent des arbres fruitiers vers les poubelles .
    • En cas de  douleur intense, prenez un antidouleur par voie orale. 
    • Certains auteurs recommandent d'approcher de la zone piquée une source de chaleur (sèche-cheveux, eau la plus chaude possible) puis une source de froid (glace). Cela permettrait de diminuer la douleur et le gonflement.
    • Vérifiez si vous êtes en ordre de vaccination contre le tétanos.

    Consultez un médecin:

    Si la réaction locale (gonflement, douleur, rougeur ) s’aggrave  dans les jours qui suivent la piqûre ou si des signes généraux d’infection tels que de la fièvre et/ou des frissons se développent.  Une infection peut se développer à l’endroit de la piqûre.

    En cas de  piqûre dans la bouche ou dans la gorge: le gonflement peut être rapide et important et entraîner des difficultés respiratoires. Donnez un glaçon à sucer, consultez immédiatement un médecin ou rendez-vous aux urgences d’un hôpital.

    En cas de réaction allergique, appelez le 100 ou le 112 pour un transport d’urgence à l’hôpital. L'allergie se manifeste par une éruption cutanée avec de fortes démangeaisons, un gonflement du visage, des vertiges, de la pâleur, des difficultés respiratoires, une sensation d’étouffement. Couchez la victime et surélevez-lui les jambes.

    En cas de piqûres multiples (plus de 20 chez l’adulte), une surveillance à l’hôpital est conseillée.

     
     
     
     

    Toxicité

    Les venins ont une action directe: la toxicité cellulaire (qui entraîne la destruction des cellules) et une action indirecte: les manifestations immunologiques.

    La composition chimique des venins est complexe. Ils contiennent des enzymes (phospholipases, hyaluronidases, …), des peptides ( kinines, …), des amines (histamine, ...) et  des acides aminés. 

    Ce sont surtout les enzymes ( phospholipases et hyaluronidases)  qui, chez certaines personnes, vont entraîner  la formation d’immunoglobulines responsables de la réaction allergique (Ig E).

     
     
     
     

    Risque

     

    Chez une personne allergique au venin de guêpe ou d’abeille, une seule piqûre suffit pour déclencher une réaction grave.

    Chez une personne non allergique, l’intensité de la réaction dépend de la quantité de venin injectée et donc du nombre de piqûres. La quantité de venin injectée par une abeille est de l’ordre de 50 à 100 microgramme et pour la guêpe de l’ordre de 2 à 10 microgramme.

    Une seule piqûre peut être très douloureuse  mais reste en général sans gravité.

    En cas de piqûres multiples, il est conseillé de surveiller l’apparition de symptômes et de demander une intervention médicale si nécessaire.   

     

     
     
     
     

    Prévention

    Soyez attentifs lorsque vous sortez pieds nus, de manière à éviter les piqûres d’abeilles ou de guêpes.
    • Ne vous promenez pas pieds nus dans la nature, surtout dans l’herbe.
    • Ne portez pas sur vous des substances attirant les guêpes et les abeilles (parfums, laques, crème solaire parfumée,…)
    • Évitez bien sûr le voisinage des ruches ou des nids.
    • Restez à bonne distance des poubelles mal fermées.
    • Évitez les vêtements de couleurs trop lumineuses pouvant ressembler à celles des fleurs
    • Si un insecte tourne autour de vous, restez calme. Évitez les gestes brusques et les mouvements désordonnés, repoussez-le doucement.
    • Si vous êtes allergique, évitez de manger à l’extérieur.  
    • A l’extérieur, évitez les boissons en canettes, vous risquez une piqûre de la gorge en avalant une guêpe tombée dans votre boisson.   
    • Les personnes allergiques peuvent demander à leur médecin de leur prescrire une trousse d’urgence composée d’adrénaline injectable (type Epipen® 0.3mg), d'un antihistaminique (par ex du Zyrtec®) et d'un corticoïde par voie orale. Prévenir aussi l’entourage et les amis de ce risque allergique.
    • Vous pouvez faire appel aux pompiers pour détruire un nid de guêpe. Pour un essaim d’abeilles prenez contact avec un apiculteur.
     
     
     
     

    En savoir plus?

    Les hyménoptères, ordre d’insectes comprenant les guêpes, les abeilles, les frelons et les bourdons, sont caractérisés par:

    2 paires d’ailes solidaires pendant le vol

    un corps divisé en trois régions : la tête, le tronc et l’abdomen

    un appareil venimeux situé à l’extrémité postérieure de l’abdomen qui comprend un aiguillon mobile connecté à une paire de glandes venimeuses

    Le mâle hyménoptère ne possède pas d’appareil venimeux et ne pique donc pas

    La famille des apidés

    Les Apidés ont un corps velu.

    L’abeille (Apis),  possède un dard  barbelé relié aux muscles de l’abdomen. L’abeille ne pique que si elle est dérangée dans son travail. Cet insecte travailleur ne pique qu’une seule fois car une partie de son abdomen est arraché avec le dard, entraînant la mort de l’abeille.

    Le bourdon (Bombus), plus volumineux et plus velu, reconnaissable à son bruit,  pique mais ne laisse pas de dard.

    La famille des vespidés

    Les Vespidés ont un  abdomen jaune rayé ou taché de noir, fusiforme à l’arrière et séparé du thorax par un rétrécissement marqué ( d’où l’expression taille de guêpe).

    La guêpe sociale (Vespula) mesure 15 mm vit dans des nids de quelques centaines à quelques milliers d’individus. Elle se nourrit de larves de mouche et d’autres insectes et joue de ce fait un rôle important dans l’écosystème. Les guêpes sont attirées par les fruits, le sucre et la viande. Les guêpes femelles possèdent  un dard et peuvent piquer plusieurs fois.

    Le frelon (Vespa),  proche de la guêpe, mesure 35 mm et peut piquer plusieurs fois. Ses piqûres sont  très douloureuses et peuvent être dangereuses.

    Quelques mots sur les traitements de désensibilisation:

    Mécanisme de la réaction allergique

    Les mécanismes de réaction allergique aux piqûres d’hyménoptères sont comparables à ceux du rhume des foins ou de l’allergie à la pénicilline par exemple.

    Lors d’une première piqûre, chez des personnes prédisposées, des anticorps de type IgE sont produits. Ces anticorps vont se fixer sur des cellules spécialisées, les mastocytes,  qui se trouvent surtout  dans la peau, les intestins et les voies respiratoires.

    Lors d’une seconde piqûre, la combinaison de l’antigène (venin de hyménoptère) avec l’anticorps (IgE se trouvant sur les mastocytes) produit une libération d’histamine et de substances vasoactives présentes dans les mastocytes à l'origine des symptômes allergiques. Cette réaction allergique se déclenche dans les 5 à 10 minutes qui suivent la piqûre.

    Diagnostiquer la personne allergique et le type d’allergie

    Il faut identifier l’insecte en cause. Se rappeler que seule l’abeille laisse son dard dans la peau. Une allergie au venin d’abeille n’entraîne pas d’allergie au venin de guêpe (sauf dans de rares cas où on peut avoir une allergie croisée).

    Des tests cutanés sont réalisés. Ils sont à base de venin purifié et dilué.

    Pour éviter des réponses faussement négatives , il faut attendre 6 semaines après une réaction allergique lors d’une piqûre pour réaliser les tests cutanés (temps nécessaire à la recharge des mastocytes) .

    Si le patient est sous antihistaminiques, attendre 10 jours après l’arrêt du traitement pour effectuer les tests cutanés.

    Des dosages sanguins permettent de rechercher la présence d’anticorps IgE spécifiques contre différents antigènes des venins de guêpes ou d’abeilles.

    La désensibilisation

    Les traitements de désensibilisation sont réservés  aux personnes ayant fait une réaction grave. L’immunothérapie spécifique ou désensibilisation est un traitement permettant de rendre le patient tolérant à un allergène particulier, c’est-à-dire capable de le neutraliser.

    Ce type de traitement est toujours pratiqué par un médecin en milieu hospitalier.

    Durant une première phase (traitement initial), le patient reçoit en injection sous-cutanée des doses croissantes du venin d’hyménoptère auquel il est allergique. Ces injections sont répétées toutes les semaines pendant 10 à 12 semaines, en augmentant progressivement la dose jusqu’à atteindre une dose correspondant à 2 piqûres d’abeille ou à une dizaine de piqûres de guêpe. 

    Après cette phase initiale, les injections sont administrées toutes les 4 à 6 semaines pendant trois ans au moins. Il s’agit de la phase d’entretien. Ces injections peuvent être faites par le médecin de famille en concertation avec le spécialiste.

    Pour obtenir un effet à long terme chez l’adulte on recommande de poursuivre le traitement pendant 3 à 5 an

    http://www.centreantipoisons.be/nature/animaux/piq-re-de-gu-pe-d-abeille-de-frelon-et-de-bourdon

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  • LIVRE DE RECETTES POUR DIABÉTIQUES: SÉLECTION DU JOUR

    80 recettes de grands classiques de la pâtisserie Française revisités pour les diabétiques par Annabelle Orsatelli
    La pâtisserie pour diabétique c’est Permis ! – Publié par les éditions Albin Michel

    patisserie-diabetique

    Si vous êtes diabétique et que vous ne souhaitez pas vous priver de dessert, ce livre est fait pour vous !
    Il propose 80 recettes spécialement adaptées aux diabétiques. 

    Vous pouvez trouver ce livre en ligne sur Amazon La pâtisserie pour diabétiques, c’est permis !
    (mais aussi sur Fnac.com, Cultura.com, e-Leclerc.com)

    – Les grands classiques de la pâtisserie revisités: du gâteau de tous les jours au dessert festif : croustillant,  muffins , cookies, brownies, bavarois … Ainsi que leurs préparations de base:  : crèmes pâtissière, chiboust, au beurre…, glaces et mousses, choux, pâtes à tarte et à gâteaux, glaçages, …

    Pour y arriver, Annabelle Orsatelli dévoile ses secrets de la pâtisserie pour diabétiques : charge glycémique, compositions farineuses spéciales, substituts du sucre, ingrédients spécifiques…

    cupcake2L’auteur nous  fait l’honneur de découvrir l’une des ses recettes: Cupcakes à la fraise

    Les ingrédients spécifiques utilisés telles que les farines à index glycémique bas et les substituts de sucre se trouvent dans les magasins bio ou sur internet (Greenweez, Amazon, Diabétys, etc…).

    Ces recettes sont l’aboutissement de 2 années d’études et de tests afin de pouvoir revisiter les classiques de la pâtisserie Française dont une portion équivaut à la quantité de glucides contenue dans un yaourt nature sans sucre.

    Le livre sur Amazon:

    Annabelle Orsatelli est une pâtissière amatrice chevronnée, formée aux techniques de pâtisserie complexes : macarons, feuilletés, viennoiseries… Trois membres de sa famille, dont son mari, souffrent du diabète.

    Préface du Dr Franck Senninger, médecin nutrionniste.
    Photographies de Charlotte Jacquet et stylisme de Julie Schwob
    Commander le livre : La pâtisserie pour diabétiques, c’est permis !

     

    http://www.recette-pour-diabetique.com/la-patisserie-pour-diabetiques-cest-permis/

     

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  • Il n’est pas facile de perdre du poids. Entre les changements que le régime induit dans le mode de vie, l’activité quotidienne, l’alimentation, il n’est pas rare de faire des écarts, voire de laisser tomber. Si les médecines complémentaires ne peuvent pas se substituer aux prescriptions de base, saviez-vous qu’elles peuvent toutefois vous aider à réaliser votre objectif ? Zoom sur 4 médecines complémentaires qui peuvent faciliter la perte de poids.

    L’homéopathie comme aide à la perte de poids

    L’homéopathie comme aide à la perte de poids

    Avant de commencer un régime, il est important de détoxifier son corps. La pollution, la cigarette, la consommation d’alcool ou de café, entre autres, tendent à encrasser le corps, ce qui diminue l’efficacité des traitements homéopathiques. Détoxifier son corps permet également d’accélérer son métabolisme, et donc de brûler les graisses plus rapidement. Une solution homéopathique à faire préparer par son pharmacien permet de stimuler les organes chargés de détoxifier le corps comme le foie, les reins, la thyroïde, les poumons, la circulation veineuse, la peau et l’intestin : Carduus marianus 4 DH, Chelidonium 4 DH, Taraxacum 4 DH, Solidago 4 DH, Berberis 4 DH, Lappa Major 4 DH et Viola Tricolor 4 DH. La cure dure une semaine en début de régime, à raison de 20 à 30 gouttes 3 fois par jour. Elle peut être renouvelée une fois par mois tant que le régime continue.

    Les différents remèdes homéopathiques peuvent influencer notre comportement et nos tendances vis-à-vis de la nourriture, et ainsi nous aider à mieux résister aux différentes tentations. L’Ignatia Amara est par exemple efficace pour modérer l’appétit et résister au grignotage : 2 granules d’Ignatia Amara 7 CH 3 fois par jour suffisent à profiter de ses bienfaits. Si l’envie de manger est permanente, il est plutôt indiqué de prendre 2 granules d’Antimonium Crudum 9 CH 3 fois par jour. 

    Référence

    A-C. Quemoun, R. Gruman, Perdre du poids avec l’homéopathie, 2015

     

     

    Mincir plus facilement avec la phytothérapie

    Mincir plus facilement avec la phytothérapie

    Quand il s’agit de mincir avec la phytothérapie, c’est l’agar-agar qui est le plus populaire. Et pour cause, ce gélifiant végétal et naturel extrait d’une algue est très peu calorique, constitué à 80% de fibres et forme un gel dans l’estomac, ce qui a un effet coupe-faim. L’agar-agar absorberait également une partie des sucres et des graisses ingérés au cours du repas. Elle se transforme en gelée en-dessous de 40°C, mais uniquement après avoir été préalablement chauffée. C’est pourquoi elle ne peut s’utiliser en cuisine que dans des préparations chaudes ou qui nécessitent d’être chauffées avant d’être consommées. On peut par exemple incorporer 1 g d’agar-agar dans une boisson chaude et la consommer avant qu’elle ne refroidisse, 15 minutes avant le repas. C’est alors à l’intérieur du corps que l’agar-agar se transformera en gelée. A des doses trop élevées, l’agar-agar a des propriétés laxatives : il faut donc veiller à ne pas dépasser une consommation de 3 g par jour.

    D’autres produits naturels ont des effets « coupe-faim ». C’est notamment le cas de la pomme, riches en pectines, et du konjac, une plante vivace qui contient des fibres alimentaires au pouvoir d’absorption de l’eau très important (les glucomannanes). Un seul gramme de ces fibres pourrait absorber jusqu’à 200 ml d’eau ! Sa consommation augmente alors la viscosité du bol alimentaire, et du même coup la sensation de satiété. Voilà pourquoi on recommande de le prendre sous forme de comprimé (1 g) une heure avant le repas.

    Il existe également des plantes aux propriétés « brûle-graisses », c'est-à-dire capables d’augmenter la dépense de calories et donc de dégrader davantage de gras. Ce sont souvent des plantes qui contiennent de la caféine comme le thé vert ou le guarana, employés tous deux dans certains régimes amincissants. Le thé vert se consomme surtout sous forme d’infusion (3 à 4 tasses par jour au maximum et plutôt en mangeant) tandis que le guarana s’utilise davantage en comprimés (1 à 3 g maximum par jour au moment des repas). Attention toutefois, la plupart des plantes riches en caféine sont déconseillées chez les enfants, les personnes hypertendues et les femmes enceintes.

     

    L’acupuncture comme aide à la minceur

    L’acupuncture comme aide à la minceur

    Pour traiter des cas de perte de poids, c’est plus souvent l’acupuncture auriculaire qui est mentionnée. Ce type d’acupuncture utilise l’oreille comme une représentation du corps (il aurait une forme de foetus inversé) pour traiter divers troubles. La stimulation de certaines parties de l’oreille permettrait, entre autres, de réguler l’appétit et les envies de grignotage. Selon une étude1 réalisée en Corée du Sud sur 91 Coréens (16 hommes et 75 femmes) dont l’IMC est égal ou supérieur à 23, l’acupuncture auriculaire aurait permis aux patients de diminuer leur IMC entre 5,7 et 6,1%.

    Pour les personnes plus sérieusement atteintes d’obésité, l’acupuncture auriculaire donnerait également de bons résultats, mais plus particulièrement dans les cas où l’obésité est liée aux excès alimentaires, et moins à d’autres facteurs comme l’hérédité2.

    Enfin, d’autres études3 ont montré que l’acupuncture, sans préciser de quel type il s’agit, aurait permis à des personnes atteintes d’obésité grave (IMC supérieur ou égal à 35) de diminuer considérablement leur IMC après plusieurs mois de traitement. Ainsi, après 12 mois de traitement, l’IMC moyen de la population étudiée est passé de 40,22 à 31,1. Cette thérapie s’accompagnait également de prescriptions diététiques, mais ce groupe de personnes a perdu plus de poids que le groupe témoin qui suivait un régime plus restrictif et pratiquait plus de sport, sans séances d’acupuncture. L’acupuncture aurait des effets coupe-faim, régulateur de métabolisme et antistress, ce qui en fait une option intéressante en complément d’un régime pour accélérer la perte de poids.

    Références

    S. Lacoste, Ma bible de la phytothérapie : le guide de référence pour se soigner avec les plantes, 2014

    O. Aprikian, V. Duclos, S. Guyot, C. Besson, C. Manach, A. Bernalier, C. Morand, C. Rémésy, and C. Demigné, “Apple pectin and a polyphenol-rich apple concentrate are more effective together than separately on cecal fermentations and plasma lipids in rats,” J. Nutr., vol. 133, no. 6, pp. 1860–1865, 2003. 

    A. González Canga, N. Fernández Martínez, A. M. Sahagún, J. J. García Vieitez, M. J. Díez Liébana, A. P. Calle Pardo, L. J. Castro Robles, and M. Sierra Vega, “*Glucomannan: properties and therapeutic applications+,” Nutr Hosp, vol. 19, no. 1, pp. 45–50, 2004.

    S. Bérubé-Parent, C. Pelletier, J. Doré, and A. Tremblay, “Effects of encapsulated green tea and Guarana extracts containing a mixture of epigallocatechin-3-gallate and caffeine on 24 h energy expenditure and fat oxidation in men,” Br. J. Nutr., vol. 94, no. 3, pp. 432–436, 2005.v

     

    Sources
    1. S. Yeo, K. Kim, S. Lim, Randomised clinical trial of five ear acupuncture points for the treatment of overweight people, Acupunct Med, 2013
    2. Cui Yong Qiang, Mon opinion sur l’auriculo-acupuncture chinoise, 1994
    3. A. Brahimi, Obésités graves et acupuncture, 2011

     

    Favoriser la perte de poids avec l’hypnose

    Favoriser la perte de poids avec l’hypnose

    L’hypnose consiste à mettre le patient dans un état de transe dans le but de lui suggérer des idées, et ainsi modifier ses comportements ou son ressenti corporel. L’hypnose pourrait donc aider un patient qui cherche à perdre du poids à réaliser son objectif, notamment en l’amenant à être dégoûté de la nourriture grasse, ou inversement en le confortant dans l’idée de manger équilibré, à réduire le grignotage…

    Il est reconnu que le stress et les problèmes émotionnels peuvent amener à manger davantage, et donc à prendre du poids1. L’hypnose pourrait donc également, de façon indirecte, avoir un effet sur le poids, comme l’ont montré plusieurs études2 : un traitement d’hypnothérapie pour réduire le stress a engendré une perte de poids considérable chez des patients par rapport à un groupe témoin.

    Néanmoins, l’hypnose se doit d’être considérée comme une thérapie complémentaire qui facilite les thérapies plus conventionnelles. Elle est d’ailleurs souvent accompagnée de thérapies cognitives ou autres psychothérapies chez les personnes qui souffrent de leur surpoids.

     

    http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=mincir-coup-de-pouce-medecines-complementaires-favoriser-la-perte-de-poids-avec-l-hypnose

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