• -

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • Les personnes âgées oublient de boire car elles ne ressentent ni la soif ni la chaleur.
    Les personnes âgées oublient de boire car elles ne ressentent ni la soif ni la chaleur.-BSIP/Reporters

    La vigilance est déjà de mise dans les hôpitaux et les maisons de repos. On n’a pas attendu que la Cellule Interrégionale de l’Environnement (Celine) active le niveau 2 du plan forte chaleur et ozone (voir cadrée ci-contre).

    Le triste bilan de la canicule de 2003 est encore dans les mémoires: 1200 personnes sont mortes en Belgique cet été-là.

    Dans la plupart des maisons de repos, on a fait le plein de bouteilles d’eau, les climatiseurs et les ventilateurs sont prêts à tourner.

    «Nous sommes obligés d’avoir une pièce climatisée par établissement, chez nous c’est le restaurant, explique Françoisee Ketelbuters, directrice faisant fonction des maisons de repos andennaises, La Quiétude et Le Montjoie. Nous disposons de climatiseurs individuels pour rafraîchir les différentes salles de séjour».

    «Les personnes âgées ne ressentent pas le besoin de boire comme nous. Il faut penser à leur offrir régulièrement de l’eau aromatisée avec un sirop. On leur proposera aussi des repas froids même si ce type de menu n’est pas ce que les résidents apprécient le plus . On aura une attention toute particulière pour les personnes qui souffrent de problèmes respiratoires chroniques et celles qui sont totalement dépendantes car elles sont plus vite fragilisées par la chaleur ».

    Tomber le gilet et les couvertures

    Au CHR de Namur, le personnel des deux unités de gériatrie ainsi que celui du service de pédiatrie – les enfants sont particulièrement vulnérables face aux pics de chaleur – s’est vu rappeler les consignes de base: hydrater les patients en suffisance, baisser le store dès que le soleil inonde la chambre et les inviter à se découvrir. «Ils ne se plaignent pas de la chaleur et ont tendance à garder leur gilet et leur couverture même quand la température dépasse les 25 degrés», constate Caroline Henrard, infirmière chef de services. Les kinés et les ergothérapeutes proposeront des activités plus calmes.

    Le personnel du CHR se prépare aussi à un surcroît de travail: «Il faut s’assurer que les patients boivent régulièrement, les rafraîchir à l’aide d’un brumisateur ou d’un gant de toilette, changer leur lit et leurs vêtements plus souvent. Pour nos équipes aussi, on a prévu de l’eau en suffisance et commandé plusieurs ventilateurs.»

     

    http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150629_00671157

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • bouchees-glace-tomate

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • L’enfant qui a un diabète continue de faire du sport, comme avant, aussi bien à l’école qu’en dehors de l’école. L’activité physique est conseillée, car elle favorise le bien-être et peut améliorer le contrôle du diabète.

    L’enfant peut pratiquement faire tous les sports et même pratiquer le sport à haut niveau. Cependant, certains sports à risque sont déconseillés.

    Le sport rend nécessaire l’adaptation des doses d’insuline et de l’alimentation. En général, il faut diminuer la dose d’insuline correspondant à la période d’activité et suivant l’activité. Il faut manger plus si l’exercice n’est pas prévu ou si son intensité le justifie.

    Enfin, il faut toujours avoir avec soi du sucre et une collation supplémentaire.

    POURQUOI EN PARLER ?

    L’activité physique fait partie de la vie de tous les jours, ce n’est pas seulement le sport ; le jeu en est une. Elle donne à l’enfant l’occasion d’être avec ses camarades.

    Le diabète n’empêche pas de faire du sport, il existe de nombreux champions, dans différents domaines, qui ont un diabète et ont fait de belles carrières.

    L’activité physique a une influence sur le diabète. En effet, l’exercice est bénéfique pour la santé, qu’on ait un diabète ou pas ; c’est un plaisir, un excellent moyen d’être bien dans son corps et dans sa tête ; cela peut contribuer à améliorer l’équilibre glycémique.

    De plus, l’activité physique est un des facteurs qui fait varier la glycémie. Le traitement (doses d’insuline et/ou alimentation) a besoin d’être adapté à l’activité physique.

    C’est en tenant compte de ses expériences antérieures que l’on apprend à bien adapter son traitement en cas de sport.

    Le sport aide à maintenir la forme physique, augmente la masse musculaire et aide à lutter contre les kilos en trop et il diminue le rythme cardiaque, la pression artérielle et le risque de maladies cardio-vasculaires.

     
     

    EXEMPLES DE SPORTIFS QUI ONT UN DIABÈTE

    William Talbert, Tennis, USA. Né en 1918, diabète à 10 ans, décédé en 1999.
    Davis Cup : 5 fois capitaine, vainqueur en 1948, 1949 (double) et 1954 (capitaine, ne jouait pas). US championship : 4 titres en double, 4 titres en double mixte. Rolland-Garros : 1950 (avec Tony Trabert). 33 titres.

    Hamilton Richardson, Tennis, USA.
    Coupe Davis : finaliste en 1955 (simple) et vainqueur en 1958 (double) ; membre de 1952 à 1958.

    Lennart Bergelin, Tennis, Suède. Né en 1925.
    Davis Cup : membre de l’équipe de Suède de 1946 à 1951 et 1953 à 1955.
    Coach de Bjorn Borg.

    Dominique Garde, Cyclisme, France. Né en 1959.
    Tour de France de 1984 à 1989.

    Garry Mabbutt, Football, Royaume Uni. Né en 1961, diabète à 18 ans.
    International de football, Vainqueur de la Coupe de l’UEFA en 1984.

    Sir Steve Redgrave, Aviron, Royaume Uni. Né en 1962, diabète à 35 ans.
    JO : 5 médailles d’or à 5 JO consécutifs ; 4 sans barreur LA 1984, 2 sans barreur Séoul 1988, Barcelona 1992, Atlanta 1996, Sydney 2000.
    Championnats du monde : 9 titres. Sir en 2001

    Pär Zetterberg, Football, Suède. Né en 1970, diabète à 20 ans.
    Capitaine d’Anderlecht, Belgique. Soulier d’or en 1993 et 1997.
    Professionnel de l’année en 1993, 1997 et 1998.

    Gary Hall, Jr, Natation, USA. Né en 1974, diabète à 25 ans.
    JO : 10 médailles, 5 d’or, 3 d’argent et 2 de bronze, Atlanta 1996,
    Sydney 2000 et Athènes 2004.

     

    QUELS SPORTS PRATIQUER ?

    Presque tous les sports peuvent être pratiqués, l’important est de se faire plaisir. On choisit celui qu’on préfère et qu’on peut pratiquer régulièrement.

    L’exercice musculaire régulier, qui peut se prolonger sans épuiser l’organisme développe la résistance à l’effort. De plus, si on a un diabète, l’exercice améliore le passage du glucose dans le muscle et permet de diminuer les doses d’insuline.

    Certains sports ne sont pas à encourager (voire à déconseiller), parce qu’ils sont potentiellement dangereux avec le diabète. Il peut s’agir d’un danger en cas d’hypoglycémie deltaplane, parapente, parachutisme, alpinisme en montagne, voile en solitaire, sports mécaniques) ; ou d’un risque de lésions rétiniennes (boxe).

    Pour la plongée sous-marine, l’apnée a toujours pu être pratiquée. Avec bouteilles, les jeunes de plus de 18 ans peuvent être accueillis dans les clubs de plongée, mais avec l’obligation de respecter certaines règles (voir www.diabeteplongee.com)

    sports-01
    sports-05
    sports-04
    sports-03
    sports-02
    sports-06
     

    SPORT ET GLYCÉMIE

    Le plus souvent, l’exercice physique fait baisser la glycémie pendant le sport et surtout dans les heures qui suivent le sport. Des précautions simples permettent d’éviter l’hypoglycémie :

    • Diminuer les doses d’insuline

    • Adapter l’alimentation

    • Contrôler la glycémie, avant le sport pour savoir d’où on part et après pour savoir si la dose a été corrigée de façon correcte, pourquoi pas à la mi-temps.

    Il est important de noter dans le carnet le sport pratiqué, la dose d’insuline, les collations prises, les glycémies. Il faut être d’autant plus attentif au début du diabète, quand on commence une nouvelle activité physique dont on ne connaît pas les effets.

    Peu à peu, on fait sa propre expérience et on apprend, par ses propres réactions, à faire les ajustements nécessaires, en s’aidant des conseils de l’équipe médicale.

    Attention ! Ne jamais faire de sport à jeun.

    Sport et Hyperglycémie

    Dans certains cas, l’exercice physique peut faire monter la glycémie. Pourquoi ?

    Le stress (excitation, concentration, engagement) occasionné par certains sports (ex : sports d’équipe…) ou certaines pratiques (ex : compétition …) provoque une poussée d’adrénaline qui fait monter la glycémie.

    Si, avant l’exercice, la glycémie n’est pas élevée, l’hyperglycémie sera transitoire. Attention, la glycémie risque quand même de baisser dans les heures qui suivent, elle doit donc être surveillée.

    Si, avant l’exercice, il y a une hyperglycémie (> 2,5 g/l) avec une cétose (cétonurie positive ou cétonémie élevée), l’exercice peut aggraver à la fois l’hyperglycémie et la cétose.

    ATTENTION ! Ne pas commencer un exercice physique si on retrouve une hyperglycémie avec cétose. Corriger l’hyperglycémie avec cétose avec des suppléments d’insuline d’action rapide (cf Hyperglycémie avec cétose). L’exercice ne remplace pas l’insuline.

     

    EN PRATIQUE

    Exercice physique pour une durée de 30-60 mn

    Exemple : sport à l’école, promenade à pied ou à vélo, natation, foot, tennis, badminton, roller, danse, shopping …

    Avant l’exercice, la glycémie ne doit pas être :

    • Trop basse : si elle < 1,20 g/l, ne pas faire l’exercice sans avoir mangé ;
    • Trop élevée : si elle supérieure à 2,50 g/l, rechercher la cétose. En cas de cétose, s’abstenir de faire l’exercice.

    L’activité est prévue :

    • Diminuer l’insuline correspondant à la période où l’exercice est prévu.
    • A certaines heures, prendre une collation (10 à 20 g de glucides selon l’âge).

    L’activité n’était pas prévue :

    • Comme la dose d’insuline n’a pas été diminuée,
    • Prendre une collation avant de faire l’exercice : 10 à 20g selon l’âge.
    • Ne pas oublier !
    • Prévoir son matériel : lecteur de glycémie, bandelettes urinaires, sucre, collations, boisson.
    • Prévenir une personne sur place que l’on a un diabète.
    • Noter tous les détails dans le carnet.
    • A l’arrêt de l’exercice et quelques heures plus tard, contrôler la glycémie.

    Pour tous ces problèmes particuliers, en parler avec son diabétologue.

    Sport à l’école

    En aucun cas, le diabète ne justifie une dispense d’EPS à l’école.

    Prévenir le moniteur d’éducation physique. Avoir toujours du sucre (morceaux de sucre emballés individuellement, ou équivalent adapté au sport, cf Cahier «Hypoglycémie») et une collation à proximité.

    Quelques exemples

     Roméo, 10 ans : une heure de natation de 9 à 10 heures

    • Diminuer la dose d’insuline d’action rapide du matin.
    • Emporter une collation supplémentaire, en cas de besoin.

    Sport extra-scolaire

    Les vacances

    • Si l’activité physique augmente pendant les vacances :
    • ne pas hésiter à diminuer les doses dès le premier jour
    • Plage avec jeux … moins 10-20 %
    • Ski … moins 20-30 %
    • Randonnée en montagne… moins 20-30 % plus collations
    • Ne pas oublier de les réaugmenter dans les jours qui suivent le retour.
     

    ENTRAÎNEMENT ET COMPÉTITION

    Entraînement sportif

    L’exercice physique régulier (par exemple, natation 1-2 heures, 2-3 fois par semaine) facilite l’action de l’insuline. On a donc besoin de moins d’insuline si l’on est entraîné. Cet effet disparaît rapidement à l’arrêt de l’entraînement (en quelques jours).

    Avec l’entraînement, on apprend à connaître ses propres réactions (variations de la glycémie pendant et après le sport) et ainsi à bien adapter les doses d’insuline. On ne commence un entraînement qu’avec une glycémie ≥1,2g/l et en l’absence d’hyperglycémie avec cétose.

    Si l’activité physique est intense

    Après 45 min – 1 heure

    Prendre 10 à 20 g de glucides selon l’âge :

    • Collation + eau.
    • Jus de fruit (10 à 12 g /100ml ) dilué de moitié (d’utilisation facile).

    Exemples :

    • 100ml de jus d’orange + 100ml d’eau.
    • Boissons de l’effort

    Cette prise est renouvelée selon la durée de l’activité.

    A l’arrêt de l’exercice physique, contrôler la glycémie dans l’heure qui suit.

    Si la glycémie est ≤ 0,8 à 1 g/l : prendre 10 à 20g de glucides (collation ou boisson).

    Au repas suivant l’apport glucidique est assuré et éventuellement augmenté.

    Si l’effort a été intense et/ou prolongé, l’hypoglycémie peut survenir beaucoup plus tard.

    (Exemple : hypo fin de nuit.)

     Sport à l’heure des repas ?

    On peut tout à fait, ce jour-là, changer l’heure de l’injection et du repas.

    Compétition

    L’avant dernier repas (la veille au soir pour un exercice le matin, au petit déjeuner pour l’après-midi, au déjeuner pour la soirée) doit assurer la ration habituelle de glucides sous forme de féculents (pâtes, riz …) ou de pain, et une bonne hydratation (eau peu minéralisée : eau du robinet ou eau de source).

    Au moins 3 heures avant la compétition, prendre un repas léger et digeste, assurant l’apport habituel de glucides : féculents (pain, pâtes, riz) + viande grillée ou jambon ou poisson poché et un fruit + eau.

    Diminuer la dose d’insuline selon :

    • l’intensité et la durée de l’exercice ;
    • les expériences antérieures.

    Contrôler la glycémie et la cétose 1h30 avant la compétition. Si la glycémie est ≤ 1,5g/l : prendre une collation de 10 à 20g de glucides.

    Épreuve d’endurance : cyclisme, course de fond, randonnée, VTT, match de foot ou de hand, tennis, natation sur de grandes longueurs…

    Toutes les 30 min assurer un apport de 10 à 20g de glucides sous forme de jus dilué, fruits secs, biscuits…

    Epreuve intense et de courte durée : athlétisme, natation sur de courtes longueurs, gymnastique, hockey, aviron, arts martiaux, danse…

    En cas d’attente entre 2 épreuves, manger aux heures habituelles avec des aliments faciles à digérer et éventuellement consommés de façon fractionnée.

    Exemple : sandwich pain de mie + jambon, pain au lait + fromage, compote, banane…

    Boire régulièrement de l’eau plate ou légèrement sucrée (150 ml toutes les 10 minutes).

    On peut utiliser des boissons spécialisées pour les sportifs, généralement sucrées à 6-8%, ou du jus de fruit dilué, ce qui permet en même temps de bien s’hydrater (important pour éviter les crampes musculaires pendant et surtout après l’effort).

    Dans l’heure qui suit, bien s’hydrater : boire 0,5 à 1litre de boisson légèrement sucrée, selon l’âge de l’enfant et la température extérieure.

    Récupération après compétition

    Attention à l’hypoglycémie après un effort intense et prolongé.

    A l’arrêt de l’exercice, la glycémie peut être élevée à cause du stress, mais elle peut descendre très rapidement.

    Contrôler la glycémie 1-2 heures après la fin de l’exercice.

    L’hypoglycémie peut se produire jusqu’à 6 à 8 heures après la fin de l’effort.

    Au repas suivant, bien manger, avec :

    • une quantité de glucides au moins égale aux apports habituels;
    • moins d’aliments protidiques (viande, poisson, oeuf) pour ne pas augmenter l’excrétion d’azote (urée);
    • un apport habituel de produits laitiers pour leur propriété alcalinisante.

    Diminuer la dose d’insuline, en tenant compte de la glycémie.

    Prendre une collation en début de nuit si la glycémie est inférieure à 1,5g/l. 10 à 20g de glucides pour un enfant, 20 à 30g de glucides pour un adolescent.

    boire-01
     

    QUAND ON PORTE UNE POMPE À INSULINE

    Lorsque l’on porte une pompe, il faut étudier la possibilité de la porter ou non pendant l’exercice. Différentes options existent :

    • Déconnecter la pompe
    • Diminuer le débit de base
    • Diminuer le bolus avant ou après l’activité
    • Apporter un supplément de glucides
    • Ne rien modifier
    Dossier intérieur-03

    Activité de courte durée

    Si l’activité est de courte durée ou d’intensité modérée, dans la plupart des cas il n’est pas nécessaire de modifier l’insuline. Par contre, il est conseillé d’effectuer une surveillance plus rapprochée des glycémies.

    Activité plus intense

    Si l’activité physique est plus intense ou de plus d’une heure et que l’enfant est autonome, le plus simple est de déconnecter le cathéter pour une durée d’1-2 heures maximum. Cependant, d’autres possibilités existent :

    • Diminution du débit de base (de 20 à 50%) avec utilisation de la fonction « débit de base temporaire », pendant l’exercice et, éventuellement, pendant 1heure (ou 2h) après l’arrêt de l’activité : à déterminer avec le diabétologue.
    • Diminution du bolus précédant l’activité (de 30 à 50 % selon l’activité) si celle-ci a lieu dans les 3 heures de sa période d’action.
    • Prise supplémentaire de glucides à moduler en fonction du niveau glycémique de départ, de la durée, du type de dépense énergétique (en moyenne 10 à 20g de glucides toutes les 1h-1h30) ; ceci peut être plus facile lorsque l’enfant n’est pas autonome et si l’activité est peu prévisible.

    Activités toute la journée

    En cas d’activité toute la journée (randonnée, ski …) :

    • diminuer les bolus de la journée et du dîner ;
    • il est souvent nécessaire de diminuer le débit de base toute la journée et la nuit suivante (20-50%).

    Après l’activité, en cas de déconnexion, lors de la remise en place de la pompe :

    • si la glycémie est supérieure à 2,50g/l : il est possible de faire un bolus (50% du débit de base non reçu ; exemple : pour un débit de base 0,5u/h et un arrêt de 2h : faire un bolus de 0,5 U) ;
    • si hypoglycémie : prendre du sucre.

    Même en l’absence de déconnexion, il est possible d’avoir une hyperglycémie importante (sécrétion d’adrénaline).

    Si l’activité sportive a lieu en fin d’après-midi, il faut être attentif au risque d’hypoglycémie nocturne, les glycémies diminuant dans les heures qui suivent :

    • Diminuer le bolus du dîner.
    • Une glycémie est indispensable au coucher.
    • Si elle est inférieure à 1,2 g/l, prendre une collation (20 à 30 g de glucides ou plus).
     

    TÉMOIGNAGES

    Je me présente je m’appelle Thomas, j’ai eu mon diabète à l’âge de 6 ans et cela ne m’a pas empêché de faire un sport : le cyclisme.

    J’ai choisi cette activité sportive car ma sœur aînée était inscrite dans un club et mon papa adore le cyclisme, ne manque jamais le tour de France et encadre de jeunes cyclistes.

    Au début, lorsque je faisais des compétitions je ne savais pas qu’il fallait diminuer mes doses d’insuline, alors je faisais souvent des hypoglycémies. J’en ai donc parlé avec mon diabétologue et il m’a expliqué que lors d’un effort sportif, il était normal de réduire ses doses d’insuline.

    Aujourd’hui cela fait 10 ans que j’ai mon diabète et c’est difficile de le régler. Quand je vais rouler je baisse mes doses d’insuline de 2 unités pour la rapide et de 2 unités pour la lente. Une fois j’ai réduit de 6 unités la rapide et de 4 unités la lente c’était lors d’une compétition importante (course de 50 km), en plus j’ai mangé une barre de céréales en roulant car je sentais la fringale venir. Après la course, j’ai dû encore manger car ma glycémie était proche de 0,60 g/l, pourtant le midi j’avais mangé beaucoup de pâtes mais ce n’était pas suffisant. Une autre fois c’était le contraire j’avais tellement envie d’avoir une place sur le podium, que j’ai fait monter mon adrénaline et cela a fait monter ma glycémie et j’étais en hyperglycémie.

    Aujourd’hui je ne fais plus de compétition, je pense reprendre dans quelques années, mais tous les samedis matin, j’encadre des jeunes cyclistes et je fais du vélo par plaisir et continue à suivre les exploits des cyclistes professionnels.

    L’an dernier grâce à mon médecin, j’ai fait la connaissance d’une équipe de cycliste américaine professionnelle dans laquelle sur les 22 coureurs 5 sont diabétiques de type 1. Le nom de cette équipe est la Team Type 1 (ce qui veut dire équipe de type 1), elle a été créée par Phil Southerland.

    J’ai fait la connaissance des coureurs lorsqu’ils sont venus en France, lors d’une conférence sur le sport et le diabète et depuis je suis fan de cette équipe et je regarde tous leurs résultats. Je sais qu’ils vont venir en France en 2012 et j’irai les encourager car ils participent à une course dans ma ville (course de la Route Adélie).

    J’ai dans ma chambre un maillot dédicacé de l’équipe Team Type 1.

    Je remercie « mon collaborateur » Marc de Kerdanet de m’avoir fait connaître cette équipe !

    Propre à chaque jeune, ce sont les expériences et les échanges avec l’équipe soignante qui permettent de trouver les adaptations personnalisées à un bon équilibre glycémique pendant et après ses activités.

    « J’encourage les jeunes qui ont un diabète à vivre leur passion sportive jusqu’au bout » Carole pratique le basket au niveau professionnel, Rennes,

    J’ai commencé le basket à l’âge de 9 ans, sans grandes ambitions. C’était histoire de faire un sport… Et, avec ma grande taille, le basket s’est avéré être un choix judicieux!

    Arrivée au collège, tout est allé très vite. J’ai été détectée pour les sélections départementales, puis régionales et enfin, à ma rentrée en 4ème, j’ai intégré le pôle espoir de basket-ball de Saint-Brieuc.

    L’année suivante, je suis partie au pôle France de Toulouse avec un an d’avance et enfin mes trois dernières années avant ma majorité, j’ai intégré l’Institut National du Sport et de l’Education Physique (I.N.S.E.P.).

    Ensuite, ma formation «jeune» étant terminée, je suis rentrée dans le monde professionnel tout en continuant mes études. Je suis partie à Tarbes-Gespe-Bigorre un an (ligue1), puis deux ans au club de l’Avenir de Rennes (ligue 2), ensuite un an au club de Lyon Basket Féminin (ligue 2), pour enfin arriver cette année à Reims (ligue 2).

    On a découvert mon diabète le 18 janvier 2002. J’étais en 5ème, juste au moment où le basket commençait à prendre de l’importance à mes yeux. J’avais très peur, mais j’ai vite réussi à associer les deux. C’est plus tard vers l’âge de 16 ans que j’ai eu des difficultés à gérer, notamment sur la gestion de la prise de nourriture avant la pratique sportive. J’avais peur de tomber en hypo pendant mes matchs…

    Durant mon année à Lyon, j’ai été hospitalisée dans le but de m’initier à l’insulinothérapie fonctionnelle et depuis je gère plus facilement mon quotidien. J’évalue les quantités de glucides que je mange et je sais quelle quantité d’insuline mettre pour 10g de glucides le matin, le midi ou le soir. Cela m’aide également à trouver mes repères lorsque je suis en repos sur le plan sportif.

    Aujourd’hui mon traitement s’articule entre deux insulines: la Lantus® et la Novorapid®. Je fais mon injection de Lantus® à midi et la Novorapid® avant chaque repas. Mes doses de Novorapid® dépendent de ce que je mange et de ma pratique sportive.

    En tout cas, je peux affirmer que le diabète est tout à fait compatible avec la pratique d’un sport au niveau professionnel et encourager les jeunes qui ont un diabète à vivre leur passion sportive jusqu’au bout!

    Le sport, la voile, un défi à soi-même, une thérapie… mine de rien

    Aujourd’hui âgé de 54 ans, je navigue depuis l’âge de dix ans. Je suis tombé dans la marmite tout petit : normal, j’habite à Locquirec, en Bretagne Nord, il suffit de regarder la loupe d’Astérix au début de la bande dessinée.

    Compétition dès l’âge de 10 ans. A l’âge de 15 ans, je suis vice-champion de France de voile scolaire… Mais voilà, en 1973, il y a trente-huit ans déjà, je deviens également diabétique de type 1. A l’époque, il n’y a qu’une insuline lente et pas de lecteur pour savoir où on en est. Alors, c’est le bazar… A l’école, en seconde, je décroche complètement. A la maison, au milieu de sept enfants, on ne peut pas aménager la nourriture. Tout est compliqué.

    Je me réfugie alors totalement dans le bateau, la compétition, la voile puis, professionnellement, la construction de bateaux. Mais le démon du sport et de la compétition me démange. Grâce à cette activité physique permanente, je préserve, en partie, ma santé. Psychologiquement, je fais l’impasse sur mon diabète et, heureusement, mon médecin généraliste me préserve et surtout ne me bloque pas dans cette vie sportive, mal vue à l’époque. Il me signe tous les ans mes licences sportives et m’aide à trouver des solutions pour le sommeil, la nourriture, les hypos.

    Après des saisons à haut niveau, j’embarque en 1981 et 1982 sur deux courses du Figaro en solitaire. Toujours pas de lecteur de glycémie, alors je marche au feeling: trop de sucre, je suis mou et pas dans le coup, pas assez… je me re-sucre; l’un dans l’autre, je vis à fond et je finis, très bien placé, les deux courses de niveau international (12ème et 20ème sur 50).

    La même année, un constructeur de bateaux danois me propulse «pilote d’usine» pour son dernier bateau de course. Le tour de la Méditerranée… et toujours mes seringues dans ma trousse de toilette car les stylos n’existent pas.

    Par la suite, j’ai dû embrayer à mon compte avec mon chantier naval. Finies les longues saisons d’été à faire toutes les courses. Du coup, avec mes copains ingénieurs et grâce au sponsor Groupama Bretagne (juste avant Franck Cammas), j’ai construit un catamaran de course de 17 m avec un mat de 25 m de haut (huit étages) : l’objectif recherché a été tout de suite atteint : 1990-91-92 trois années Champion de France de vitesse à la voile à 30 nœuds.

    Dernier bateau et dernier challenge lancé en 2001 par l’achat d’occasion d’un bateau du Vendée Globe et inscription pour y courir en 2004. De sombres histoires de jalousie et d’argent arrêtent le projet trois mois avant le départ et après trois ans de préparation; il arrive que le diabète ait bon dos, c’est dur mais il faut continuer, se battre.

    Aujourd’hui, j’ai toujours ce bateau et j’amène mes amis en Irlande, en Angleterre, en Espagne. La vie est toujours aussi belle et puis… j’ai encore quelques projets en tête.

    Le premier bilan de ces années très denses est que le diabète et la voile se marient très bien. Le bateau dispose de couchettes pour se reposer, d’une cuisine pour se re-sucrer: les stocks de coca faisant plus partie de la pharmacie du skipper que de l’avitaillement de l’équipage. Enfin,- et cela est beaucoup plus surprenant – le rythme des quarts de nuit et le sommeil par tranches de deux ou trois heures permettent de se tester et de réajuster l’insuline au fur et à mesure… avec quelques épisodes atypiques: imaginez sortir du duvet à 3 heures du matin et vous tester avec la lampe frontale sur la tête et les pieds calés au plafond… tempête oblige. Inversement, les périodes inactives en manœuvre de voiles et les grignotages sont à surveiller pour éviter les hyperglycémies.

    En ce qui concerne le handicap qui existe avec le diabète, je me suis toujours adapté et ai toujours concouru à armes égales dans les compétitions «normales». Que ce soit le diabète ou beaucoup d’autres soucis que d’autres peuvent avoir, mine de rien, tous les sportifs font avec leurs «plus» et leurs «moins», comme dans la vie.

    Mais il est très important de ne pas jouer les aventuriers. Un bon marin prend toujours la météo avant de partir et met «à la cape» en cas de tempête; le diabétique fait la même chose. J’ai beaucoup travaillé pour comprendre le diabète et mes réactions afin de m’adapter et d’être performant en compétitions. Non seulement, mon médecin a toujours été au courant de mes activités, mais j’ai aussi constaté que ma bonne nutrition influençait directement mon diabète et, donc, mes performances.

    Je vous souhaite à tous de trouver votre équilibre, car la vie est belle et vaut le coup de faire quelques efforts pour vivre intensément.

    Gildas IAUCH, «Dynamic Diabetic» (www.dynamicdiabetic.com)

    http://www.ajd-diabete.fr/le-diabete/vivre-avec-le-diabete/le-sport/

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Au lieu de jurer et de s'énerver dans les embouteillages, mieux vaut pousser la chansonnette. À en croire plusieurs études relayées par le quotidien Het Laatste Nieuws, chanter dans sa voiture réduit le stress, rend plus heureux et prolonge même l'espérance de vie.

     

    Les gens qui chantent dans leur voiture vivent plus longtemps

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • gens-heureux

    ©  Photo Shutterstock

    Il suffirait d’imiter les gens heureux pour le devenir. C’est ce que disent en substance tous les promoteurs du bonheur. En théorie, ces affirmations sont vraies. C’est dans la pratique que les choses se compliquent.

    Par Flavia Mazelin Salvi, avec Jean-Michel Hirt, psychanalyste

    Le bonheur a-t-il encore des secrets ? L’hypothèse est peu probable tant le thème est abordé continuellement, à travers de nouvelles études ou des livres qui viennent nous expliquer comment l’attraper dans nos filets ou, au contraire, nous prévenir que cette quête a tout de la chasse au dahu. Mais, dans l’océan des publications, deux sources font toujours référence. La première est l’étude que deux chercheurs en psychologie, Shigehiro Oishi et Edward Diener, partenaire de recherche du père de la psychologie positive, Martin Seligman, ont menée en 2007 sur le thème de la quête du bonheur. Au total, dix mille personnes ont été interrogées dans quarante-huit pays. Conclusion : être heureux est l’aspiration prioritaire, très loin devant trouver le sens de la vie, devenir riche ou encore s’assurer le paradis. La seconde source est une synthèse de toutes les recherches et études -traitant de la -psychologie positive. Depuis deux ans, ce recueil des « choses que font les gens heureux » circule partout dans le monde, au point qu’il est devenu une véritable bible apocryphe du bonheur. Parmi les conseils en forme d’affirmations qu’il contient, nous en avons retenu sept, les fondamentaux, que nous avons choisi de livrer à la réflexion critique du -psychanalyste Jean-Michel Hirt.

    Jean-Michel Hirt est psychanalyste, professeur de psychopathologie  et spécialiste de psychologie clinique interculturelle. Il est l’auteur de Paul, l’apôtre qui « respirait le crime »(Actes Sud, 2014).

    1 Ils s’entourent de gens heureux

    Ce que disent les études. La joie est contagieuse. Ceux qui sont entourés de gens heureux ont un maximum de chances de devenir heureux à leur tour et de le rester.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « Il y a quelque chose de l’ordre de l’évidence dans ce constat. Comme si l’on disait que notre humeur est meilleure par une belle journée d’été douce et ensoleillée, quand on est en bonne compagnie. Mais est-ce qu’une sensation plaisante suffit à rendre heureux ? Rien n’est moins sûr. Nous pouvons connaître un sentiment de bien-être, nous sentir heureux, tout en étant avec des personnes qui le sont moins. Ou en nous trouvant nous-mêmes dans une situation compliquée, qui pourtant nous apporte du plaisir parce qu’elle sollicite notre intelligence et mobilise nos ressources. “Se prendre la tête”, c’est-à-dire penser, peut générer beaucoup de satisfactions. Le bonheur des relations ne réside pas dans le calme plat, l’absence de tensions, de conflits ou de complexité. Certains trouvent d’ailleurs leur compte à être entourés de proches qui ne vont pas bien ou qui sont englués dans les problèmes. Les mêmes éprouvent un malaise à -fréquenter des gens dits “heureux”. »

    Ses propositions. « Il s’agit pour chacun de se mettre à l’écoute attentive de ce qu’il ressent (émotions, -sensations) lorsqu’il est en relation avec les autres. Le corps envoie des signaux qui nous renseignent sur l’effet que produit sur nous tel ou tel lien. Mais, attention, rien ne se joue en bloc, ni en un instant. C’est sur la durée qu’il faut juger. On doit compter avec l’ambivalence des sentiments et des émotions, les nôtres et celles de l’autre, mais aussi avec les circonstances qui colorent la relation. Il est aussi intéressant de nous interroger sur les bénéfices que nous trouvons dans la compagnie de personnes qui ne vont jamais bien, et sur ce que nous rejouons de notre propre histoire avec elles. »

    2 Ils cultivent la résilience

    Ce que disent les études. Les gens heureux savent rebondir après une épreuve et ne se laissent pas enfermer dans la dépression.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « La résilience reste un phénomène bien mystérieux. La capacité à se relever est liée à quelque chose de l’enfance, elle réside dans les ressources premières et inconscientes que l’adulte a pu conserver de ces années-là. De fait, “cultiver la résilience” est une expression qui n’a pas tellement de sens. Pour la cultiver, il faudrait en connaître les ingrédients avec précision, ce n’est pas le cas. Nous ne sommes pas seulement animés par des pulsions de vie ; il y a aussi des pulsions de mort qui œuvrent silencieusement en chacun de nous. La résilience se joue entre ces deux régimes pulsionnels. Qui peut les quantifier ? Qui peut prédire de quelle manière se jouera et se terminera ce duel ? Personne. »

    Ses propositions. « Tout d’abord, prendre conscience qu’il y a en nous des forces qui nous tirent vers le bas, et que d’autres sont comme un appel vers l’air, vers la lumière. C’est en encourageant les secondes, en prenant soin d’elles que nous pouvons peut-être nous relever plus facilement d’une épreuve. L’erreur serait de chercher à se relever très vite sans en passer par un questionnement sur ce qui nous a fait tomber. On sait aujourd’hui que la dépression est aussi une période de remaniement psychique, de recherche intérieure, et que ce temps de repli favorise la possibilité de poursuivre sa route autrement. Ce qui est aussi une façon de chercher à être plus heureux. »

    3 Ils agissent pour être heureux

    Ce que disent les études. Les gens heureux n’attendent pas le bonheur. Ils sont actifs dans la quête et dans l’expérimentation de tout ce qui peut augmenter leur sentiment de béatitude.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « On retrouve dans cette formulation le volontarisme conquérant de la culture américaine. Tout dépend de ce que l’on entend par “être actif” dans cette quête : s’agit-il d’appliquer les recettes des best-sellers sur le bonheur ou bien d’ouvrir un espace de questionnement sur soi pour connaître ce qui peut accroître notre sentiment de bien-être ? »

    Ses propositions. « Choisir la seconde option : nous interroger sur la façon dont nous pourrions nous sentir plus heureux. Cela peut passer par l’identification de nos résistances (nos freins intérieurs) et des obstacles extérieurs, puis par une écoute attentive de la façon dont s’exprime notre désir. Dans tous les cas, essayer d’être heureux revient toujours à développer une forme d’attention et de tendresse pour soi qui s’étend ensuite aux autres. »

    4 Ils sont dans le don

    Ce que disent les études. Tous les gens heureux utilisent une partie de leur temps à faire du bénévolat, à écouter, à aider les personnes de leur entourage qui en ont besoin.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « Donner procure une jouissance de -soi-même. La gratification narcissique est indéniable. Cela améliore et renforce l’estime de soi, et nourrit aussi nos aspirations idéales. L’altruisme est un progrès de la culture, une conquête qui est liée à la façon dont nous nous traitons nous-mêmes. Pour donner de manière altruiste, et non se servir de l’autre pour combler uniquement nos failles narcissiques, encore faut-il pouvoir s’aimer suffisamment, et cela n’est pas une disposition présente chez tous. C’est toute la limite de l’injonction “Faites le bien pour être heureux”. L’altruisme n’est pas l’opposé de l’égoïsme sain, qui est un préalable en ce qu’il suppose une prise en compte de soi face à l’autre. »

    Ses propositions. « Prendre soin de soi en se mettant à l’écoute de ses besoins, de ses manques et de ses attentes, puis essayer de les satisfaire à sa mesure et de manière personnelle donne la possibilité de pratiquer un altruisme respectueux de l’autre et bénéfique pour soi. Un “donateur” frustré, ou qui a une mauvaise image de soi, pourra difficilement respecter l’altérité de celui à qui il donne et trouver une satisfaction dans le don. L’ouverture aux autres est gratifiante pour les deux parties lorsque l’on s’est d’abord ouvert à soi-même. »

    5 Ils voient le bon côté des choses

    Ce que disent les études. L’optimisme est une condition sine qua non du bonheur. Contrairement aux pessimistes, les optimistes pensent qu’après la pluie vient toujours le beau temps. Et ils font confiance à leurs ressources pour faire tourner les choses à leur avantage.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « Il n’est pas question de nier les bienfaits de l’optimisme. Mais il est important de préciser que cet état d’esprit dépend pour une large part de l’histoire et du vécu de chacun. Des événements difficiles et précoces, une famille anxieuse, peu aimante ou trop silencieuse ne sont a priori pas des éléments qui prédisposent à l’optimisme, même si ces éléments ne condamnent pas au pessimisme. Tout dépend de la façon dont chacun fait avec son histoire et avec ses croyances. Ce qui est certain, c’est que dans ce domaine la volonté est hors jeu, ce qui rend vaine l’injonction à voir le bon côté des choses. »

    Ses propositions. « Seul un travail sur soi peut permettre de changer de disposition intérieure, de réviser ses croyances et de ne plus être prisonnier d’une vision négative de soi, des autres et de la vie. Cela passe par la recherche des événements, des images liées à son enfance qui ont contribué à une vision pessimiste et anxieuse de la vie. Il peut aussi être utile de se remémorer les épreuves surmontées et les succès obtenus. Cela aide à ne pas se sentir démuni face aux difficultés. »

    6 Ils savent débrancher

    Ce que disent les études. Les gens heureux s’aménagent des coupures pour ne pas se laisser submerger par le stress ou envahir par les autres.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « Il est difficile de ne pas être d’accord avec ce constat, mais je ne m’en tiendrais pas au sens évident du terme “débrancher”. Par débrancher, je n’entends pas seulement couper le courant pour éviter le court-circuit, mais plutôt mettre en veille pour en revenir à une forme d’intériorité qui n’est pas seulement de l’ordre de la récupération. Il s’agit alors de débrancher pour se rebrancher sur soi. S’accorder ce temps est une forme de bientraitance envers soi qui nourrit le sentiment de bien-être. »

    Ses propositions. « Ce retour à soi peut se faire de différentes manières. Par la méditation, la rêverie, la -pratique d’un art, par l’écoute de ses sensations corporelles, de ses émotions, de ses pensées. L’essentiel n’est pas tant de courir après les vacances ou les divertissements que de se donner régulièrement la possibilité d’habiter pleinement son être, de ne pas vivre trop longtemps hors de soi. »

    7 Ils s’ouvrent à la spiritualité

    Ce que disent les études. Prier, méditer, s’adonner à des rituels spirituels sont des pratiques qui ont des effets positifs sur la santé psychique. Les valeurs contenues dans les religions contribuent au sentiment de bonheur.

    Le commentaire de Jean-Michel Hirt. « Ne prendre en compte que la dimension matérielle de l’existence ne mène guère au bonheur : l’argent et le confort sont des moyens, non des fins. Mais réduire la spiritualité à des pratiques et des croyances religieuses est un peu simpliste. Celles-ci peuvent être utilisées pour apaiser des angoisses et faire l’économie d’une démarche de libération personnelle que permet l’exploration de sa psyché et de son histoire. Il ne s’agit pas de nier les bienfaits de la prière ou de la méditation, mais plutôt de ne pas les prendre pour des -médicaments. Par spiritualité, on peut aussi entendre l’ouverture à la dimension la plus vaste de son esprit, c’est-à-dire à l’être dans toute sa complexité. Cette ouverture se fait par la parole. »

    Ses propositions. « Être à l’écoute de soi puis de l’autre, en étant attentif à la poésie des mots, sans s’attarder sur le sens. Entendre ce qui provient de soi en termes de désir, d’idéal, de singularité, même si c’est dérangeant pour soi. Entendre en souriant, ressentir en nous le spectacle de la nature, une œuvre d’art, une lecture… Cela nous permet de sortir de nos cachots, de passer d’une intelligence fonctionnelle à une intelligence de l’être tout entier. Cet agrandissement de soi est -constitutif du bonheur d’être. »

     

    http://www.psychologies.be/com/blog/420-les-7-choses-que-font-les-gens-heureux.html

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Les uns sont taxés de « marchands de peur », les autres de producteurs de « pommes empoisonnées ». La sortie, le 16 juin, d'un rapport de l'ONG a déterré la hache de guerre entre l'ONG et certains producteurs. Interviews croisées.

     

    Pesticides : des maraîchers s'attaquent à Greenpeace

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Ce qui attaque le plus les poumons des Bruxellois? Pas les voitures…
    Photmontage: un avion dans un ciel bruxellois pollué

    L'aéroport de Zaventem est non seulement l'aéroport européen impactant le plus les riverains, mais également la première source de pollution respiratoire sur Bruxelles et les communes avoisinantes du Brabant flamand, ressort-il des conclusions du think tank Cœur Europe. Ce dernier s'est penché sur les émissions de particules fines et ultrafines par les avions survolant la capitale, rapportent ce mercredi La Libre et la Dernière Heure.

    "Avec 400 décollages par jour dès le printemps, ce sont plus de 300.000 litres de kérosène qui seront brûlés quotidiennement par les avions au décollage de l'aéroport de Zaventem", calcule Cœur Europe. "Ce chiffre est légèrement supérieur à la consommation totale essence et diesel des 190.000 véhicules utilisés quotidiennement par les habitants de la Région de Bruxelles-Capitale sur Bruxelles", ajoute le think tank.

    Si la pollution sonore concerne avant tout les personnes directement survolées, la pollution respiratoire a des effets néfastes sur l'ensemble de la population de Bruxelles et de ses alentours, souligne Jean-Noël Lebrun, membre fondateur de Cœur Europe.

    http://www.rtl.be/info/regions/bruxelles/ce-qui-attaque-le-plus-les-poumons-des-bruxellois-pas-les-voitures--703279.aspx

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Quand on ressent, jour après jour, que sa vie est devenue incontrôlable, il est temps d’agir. De nos jours, chacun subit un rythme effréné et une pression insoutenable. On n’a plus le temps de s’intéresser à soi. On est absorbé par des milliers d’autres occupations: les enfants, le travail, les amis, la maison…

    Trop, c’est trop!

    Mais quand est-ce que trop devient réellement trop? Quand perd-on le contrôle de soi-même? Un temps de pause est indispensable, pour réfléchir à sa vie en toute tranquillité. Loin du stress, des attentes professionnelles et sociales, on remet sa personne au premier plan.


    Plusieurs solutions
    Je m’appelle Laurent Ingber et je peux vous aider. J’ai suivi de nombreuses formations qui me permettent d’assister l’autrui à refocaliser sa vie:

    • École de massage à Watpo Thaïlande
    • Sophrologie Caycédienne, formation instructeur
    • Yoga Kundalini instructeur premier degré
    • Méditant   Vipassana   depuis 15 ans dont l'origine est le Bouddhisme Theravada



    Il faut se forger une solidité mentale et une force physique pour triompher des multiples difficultés quotidiennes. Pour atteindre ce but et dominer l’anxiété, plusieurs solutions s’offrent à vous:

    • le massage relaxant: le fait de reposer et détendre son corps libère une énorme quantité d’énergie.
    • la détente mentale: il est important de savoir se déconnecter en laissant de côté les problèmes de la vie.
    • le yoga: la pratique du yoga remonte à plusieurs siècles. L’augmentation de la capacité de concentration et l’ouverture de la conscience sont deux exemples de ses nombreux bienfaits.
    • la sophrologie: retrouvez très rapidement une certaine sérénité interne.
    • la pleine conscience: par la pratique de la méditation, vous gagnerez, entre autres, une meilleure stabilité émotionnelle.



    Les objectifs
    Les bienfaits de ces techniques ont été prouvés depuis des millénaires. Il s’agit de pratiques anciennes, qui provoquent chez l’être humain plusieurs réactions bénéfiques:

    • la détente physique et mentale
    • la gestion améliorée des émotions et du stress
    • l’aiguisage de la concentration


    Si vous souhaitez gérer les troubles de votre vie, ainsi qu’avoir plus d'informations sur les différentes techniques, veuillez consulter les sous-rubriques et la page Contact.

     

    http://unpasverslemieuxetre.be/fr

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • HISTOIRE (DE FESSES) - La bataille napoléonienne survenue il y a tout juste 200 ans aurait-elle été remportée par les Français si l'empereur avait été mieux soigné ? Une légende historique veut que Bonaparte ait tardé à lancer l'attaque à cause d'une violente crise hémorroïdaire… Quels sont les fondements (si l'on ose dire) de cette anecdote ?

    Par Florian Gouthière

    Rédigé le 18/06/2015

    Waterloo, les hémorroïdes et la vessie de l'empereurDétail de ''La Bataille de Waterloo. 18 juin 1815'', par Clément-Auguste Andrieux, 1852.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Découvrez le nouveau « Terra eco » : « Le goût assassiné »
    (Crédit photo : Edgar Su / Reuters)
     
    Uniformisé, industrialisé, aseptisé, le contenu de nos assiettes fait la chasse au goût depuis plus d’un demi-siècle. Redevenons acteurs de notre alimentation.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • pommes.jpg

    Les pommes des supermarchés belges sont pleines de pesticidesALIMENTATIONMARDI 16 JUIN 2015, 00H13

    Greenpeace dénonce, dans un rapport, l'utilisation de pesticides toxiques qui contaminent nos vergers européens.

    Des cocktails de pesticides continuent à être utilisés par les producteurs de pommes dans de nombreux pays européens, en particulier par les agriculteurs fournissant la grande distribution, affirme Greenpeace dans un rapport.

    L’ONG a analysé 85 échantillons -36 dans l’eau, 49 dans le sol-, prélevés dans les vergers de 12 pays européens parmi les plus gros producteurs de pommes, en ciblant ceux fournissant la grande distribution.

    En moyenne, 75% des échantillons (78% pour le sol, 72% pour l’eau) «contenaient des résidus d’au moins un» des 53 pesticides identifiés.

    «Au moins 70% des pesticides identifiés présentent une toxicité globale élevée pour la santé humaine et la faune sauvage», affirme Greenpeace, dénonçant ce «fardeau toxique» imposé par «la production industrielle».

    La Belgique, l’Italie et la France pointées du doigt

    Le nombre de pesticides le plus élevé dans les sols a été détecté en Italie, en Belgique et en France.

    Concernant l’eau, les pesticides sont les plus nombreux en Pologne, en Slovaquie et en Italie, selon le rapport.

    Les pesticides les plus fréquemment retrouvés dans les sols sont le boscalid, «un fongicide présent dans 38% des échantillons», et le DDT (26% des échantillons).

    Concernant les échantillon d’eau, les pesticides les plus fréquemment identifiés sont le boscalid (dans 40% des prélèvements) et le chlorantraniliprole, un insecticide lui aussi retrouvé dans 40% des échantillons.

    Le rapport dénonce ce «cocktail de pesticides» et «montre la réalité de l’usage vraiment important, systématique et +multiproduits+ des pesticides dans la production agricole conventionnelle», a déclaré Anaïs Fourest, chargée de campagne agriculture à Greenpeace.

    Quelles alternatives  ?

    Greenpeace demande aux Etats membres de l’Union européenne de«mettre progressivement fin à l’utilisation des pesticides chimiques de synthèse dans l’agriculture» et de soutenir les «alternatives non chimiques pour lutter contre les parasites, en particulier les pratiques agricoles écologiques».

    La publication de ce rapport vise à «interpeller la grande distribution», comme la campagne «zéro pesticide» récemment lancée par l’ONG en France pour tenter de convaincre les six principales enseignes de la distribution française (Auchan, Carrefour, Casino, Leclerc, Intermarché, Magasins U) de soutenir les agriculteurs s’engageant à produire sans pesticides.

    Des résidus de pesticides sont présents dans près de la moitié des denrées consommées en Europe, mais pour la plupart dans les limites légales et probablement sans effet sur la santé, a assuré en mars l’Autorité européenne de sécurité des aliments. Les pommes figurent parmi les fruits les plus chargés en résidus.

    avec AFP

     

    http://mobile.lesoir.be/908842/article/demain-terre/alimentation/2015-06-16/pommes-des-supermarches-belges-sont-pleines-pesticides

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Des prothèses sensibles contre les douleurs fantômes

    Depuis quelques années, des chercheurs du monde entier mettent la touche finale à des prothèses d'un nouveau genre : bardées de capteurs de pression, elles sont reliées aux terminaisons nerveuses du patient, qui peut ainsi retrouver des sensations tactiles. Mais comme en témoigne le dernier succès en date (une prothèse de pied, implantée début janvier en Autriche), il s’agit tout autant de faire ressurgir de nouvelles sensations que de faire disparaître les "douleurs fantômes", ces signaux nerveux résiduels qui semblent provenir du membre amputé.

    Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP

    Rédigé le 09/06/2015

    Des prothèses sensibles contre les douleurs fantômesDes prothèses sensibles contre les douleurs fantômes

     

    En février 2014, une équipe de chercheurs suisses, allemands et italiens expérimentait une prothèse sensible sur un patient danois de 36 ans amputé du bras. Quatre électrodes ont été reliées aux nerfs périphériques de son épaule gauche. Après trois semaines de tests et d'ajustements, les électrodes étaient reliées à des capteurs réagissant à la tension des tendons artificiels.

    Le sens du toucher est possible grâce à l'innervation extrêmement riche de la peau et de ses multiples récepteurs sensoriels. Ils transforment les différents stimuli (pression, température, température, douleur, vibration) en phénomène électrique qui part le long des fibres nerveuses vers le système nerveux central.

    Les informations  véhiculées par les fibres nerveuses rejoignent la moelle épinière, traversent plusieurs structures cérébrales pour atteindre le cortex cérébral dans l'aire pariétale. Une fois le message reçu par le cerveau, il répond à son tour à ce stimulus sensitif en envoyant, via d'autres fibres nerveuses, des informations aux cellules cutanées.

    L’exosquelette pour patient paraplégique testé dans le cadre du projet Walk Again (qui avait bénéficié d’une couverture médiatique importante lors du dernier mondial de football) était lui aussi partiellement recouvert de capteurs sensitifs.

    Chez ce patient, la manipulation d'objets entraînait l'émission d'informations électriques qui, converties en impulsions nerveuses, étaient transmises plus haut aux nerfs du bras. Dans cette première expérience, les capteurs étaient peu nombreux, très espacés, et n'engendraient pas des stimuli d'une très grande richesse. Mais des travaux sont déjà avancés pour resserrer leur réseau et véhiculer un nombre toujours plus grand de sensations.

    Sentir les cailloux sous la chaussure

    Le 8 juin 2015, une équipe autrichienne de l'université de Linz a annoncé avoir franchi un nouveau cap technologique, après six mois d’expérimentation d'une prothèse sensible de jambe.

    Le bénéficiaire est un enseignant de 54 ans nommé Wolfgang Rangger, amputé sous le genou en 2007 suite aux complications d'un accident vasculaire cérébral (AVC). Désormais, explique-il à nos confrères de l’AFP, il ressent "la différence quand je marche sur du gravier, le béton, l'herbe ou le sable. Je sens même les petits cailloux." Aujourd’hui, le patient peut courir, faire du vélo et de l'escalade - un sport qui nécessite une perception fine des surfaces sur lesquelles se posent les pieds.

    Connecter les nerfs et les capteurs

    Ici encore, la technique associe le déplacement d’un faisceau de nerfs et leur connexion à des capteurs ultra-sensibles.

    Les médecins de Wolfgang Rangger ont repris, au centre du moignon, des terminaisons nerveuses conduisant initialement au pied amputé. Ils les ont ensuite déviées à la surface de la cuisse, à l'endroit où celle-ci est en contact avec le haut de la prothèse. La jambe artificielle comporte de son côté des capteurs sous la plante du pied, reliés à d'autres cellules, appelées stimulateurs, qui sont au contact du moignon. C'est l'information transférée entre les capteurs et les stimulateurs qui permet de simuler, et finalement reproduire, la sensation du membre perdu. 

    A chaque pas, à chaque pression sur le sol, le pied artificiel de Wolfgang Rangger adresse désormais un signal précis à son cerveau.

    "Sur un pied en bonne santé, ce sont des récepteurs sur la peau qui remplissent cette fonction", résume le professeur Egger, qui a coordonné l’opération. "Chez un amputé, ils manquent, bien sûr. Mais les transmetteurs d'information que sont les nerfs continuent d'exister. Il suffit de les stimuler". Ce médecin avait déjà innové en 2010 en présentant une prothèse de bras contrôlée par la pensée, grâce à la mise en place d'une connexion entre les nerfs moteurs et la prothèse.

    La fin des douleurs fantômes

    Outre un pas beaucoup mieux assuré, la prothèse de jambe testée sur Wolfgang Rangger offre un second avantage : elle a mis fin, "en quelques jours à peine", aux insoutenables douleurs fantômes qu'il avait dû supporter pendant des années après avoir perdu sa jambe.

    "Avec ma prothèse conventionnelle", témoigne Wolfgang Rangger, "j'arrivais à peine à marcher. Je ne dormais pas plus de deux heures par nuit, et j'avais besoin de morphine pour tenir le coup dans la journée."

    Cette sensation de souffrance au membre que l'on n'a plus, fréquemment observée, découle d'une hypersensibilité se développant progressivement dans le cerveau, qui est en quelque sorte à la recherche du membre amputé. La douleur fantôme est aggravée par le souvenir traumatique de l'accident ou de la maladie qui a conduit à l'amputation.

    La prothèse "sensible" y remédie en adressant à nouveau des informations au cerveau, mettant fin à sa recherche perpétuellement infructueuse.

    Encore quelques années à patienter...

    De longs essais cliniques doivent encore être menés avant que de ces prothèses expérimentales puissent recevoir une autorisation de mise sur le marché. Ainsi, les premières prothèses sensibles de main ne devraient pas être commercialisées avant 2019.

    Concernant le prototype de jambe développée en Autriche, son coût est aujourd’hui estimé "entre 10.000 et 30.000 euros". Ses concepteurs jugent son industrialisation "déjà possible", mais souhaitent prendre le temps d’analyser les données recueillies avec le premier patient.

    http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/prothese/des-protheses-sensibles-contre-les-douleurs-fantomes_16538.html#xtor=EPR-1000002224

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Coca-Cola retrempe-t-il dans le greenwashing ?

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que nous imitons ceux qui nous entourent lorsqu'il s'agit d'habitudes alimentaires. Notre entourage influencerait nos menus même lorsque nous sommes seuls.

    De l'embonpoint ? C'est la faute de vos amis 

     

    Des chercheurs de l'Université de New South Wales, en Australie, ont établi un lien entre notre prise de poids et nos amis. Pour cela, ils ont compilé 38 études sur le sujet et publié leur conclusion dans Social Influence. Il en est ressorti que nos habitudes alimentaires seraient influencées par ceux avec qui nous partageons nos repas. Au point de modifier notre véritable appétit. Ce phénomène de mimétisme signifie que si l'on se trouve avec des gens qui ont un appétit de moineaux, on aura tendance à manger moins et au contraire que l'on mangera plus si l'on dîne avec des amateurs de portions gargantuesques. Un comportement inconscient qui pourrait être une des causes de l'obésité ou de l'anorexie précise Le Figaro.

    Souvent quand on ne sait pas quoi manger, on s'inspire de ceux qui nous entourent. Un ajustement instinctif à l'environnement en quelque sorte. Selon Lenny Vartanian, psychologue et principal auteur de l'étude, il s'agit de modélisation sociale. Le "débit" des repas est aussi influencé par ceux avec qui on mange. Si la personne mange vite, on aura aussi tendance à engouffrer son repas et à ingurgiter de grandes portions. Tout comme lorsque nos amis prennent un dessert, on va spontanément en prendre aussi. Ou finir notre assiette lorsqu'on est invité. Même si on n'a plus faim. Comme l'indique Laurence Haurat, psychologue et nutritionniste à Paris, dans Le Figaro, c'est parce que "la pression du groupe est très lourde, car c'est avant tout un plaisir partagé".

     

    http://www.levif.be/actualite/sante/de-l-embonpoint-c-est-la-faute-de-vos-amis/article-normal-398133.html?

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Contrairement à ce que l'on pourrait penser, être un minimum ordonné et nettoyer régulièrement son frigidaire ne suffit pas. Il faut aussi et surtout remplir son frigidaire correctement, en suivant les conseils prodigués par le site web Greatist.Voici la seule façon correcte de remplir son réfrigérateur

     

    Grâce à sa technologie, votre frigidaire vous permet de conserver vos aliments à la bonne température. Un frigidaire n'est pas simplement subdivisé en compartiments différents : il est également segmenté en différentes zones de température. Donc, inversement, en ne conservant pas ses aliments au bon endroit, on n'utilise pas son réfrigérateur de la meilleure manière.

    Voici comment y remédier et utiliser tous les bénéfices dont est capable de votre frigidaire.

    Les portes sont la partie la plus chaude du frigidaire et servent donc aux aliments qui se détériorent le moins rapidement. Mettez-y les sauces, les jus et les autres produits capables de supporter les variations de température. Le lait et les oeufs n'ont donc rien à faire là. (Même si votre frigidaire possède probablement un compartiment destiné aux oeufs dans la porte.) (NB: Les avis varient au sujet des oeufs. En fait, cela ne fait aucune différence, de les garder au frais ou à la température ambiante. Les seules choses sur laquelle être vigilant sont d'abord de les garder à température constante, de préférence fraîche, et dans un environnement sain, sans odeur. Donc la cuisine n'est pas le meilleur endroit pour conserver ses oeufs, ni le réfrigérateur.)

    Les planches supérieures ont la température la plus constante. Conservez-y les aliments qui ne doivent plus être préparés : les restes, les boissons, l'humus, les repas à réchauffer au micro-ondes et les petits snacks.

    Les planches inférieures sont les plus froides et donc l'endroit le plus sûr pour la viande crue, les oeufs, les fruits de mer et les produits laitiers. Pour éviter que les bactéries qui peuvent se trouver dans la viande crue ne contaminent pas d'autres zones du réfrigérateur, mettez la viande toujours au même endroit. Gardez-la dans l'emballage d'origine et déposez-la sur une assiette (que vous lavez régulièrement).

    Les bacs du frigidaire sont généralement réservés aux fruits (quand ils ont atteint leur maturité) et aux légumes parce qu'ils aident à assurer un climat humide et frais.

    Certains légumes se conservent mieux au réfrigérateur, tels le céleri, la laitue, le poivron, les haricots verts ou jaunes, les échalotes, les oignons verts, le chou, la courgette, l'aubergine. En revanche, éviter d'y mettre les tomates, le concombre, les courges et le navet, et bien sûr les pommes de terre, les oignon, l'ail, les patates douces. Il en va de même côté fruit pour les fruits exotiques et les agrumes, qui supportent mal le froid.

    En outre, ne faites pas l'erreur de les mélanger: beaucoup de fruits, tels que les pommes, les pêches, les prunes et les poires dégagent de l'éthylène, un hydrocarbure qui leur permet de mûrir. Malheureusement, l'éthylène fait aussi mûrir d'autres végétaux. Il jaunit et ramollit les légumes et les fait parfois germer.

    Le dessus du réfrigérateur est parfois utilisé pour conserver du vin, du pain et des herbes fraîches, mais ce n'est pas un endroit frais. N'oubliez pas que votre frigidaire est un appareil électrique destiné à garder l'air intérieur frais. Logiquement, l'air chaud monte et rend donc cet endroit inadéquat pour y mettre du vin et du pain. Installez-y plutôt d'autres appareils électriques ou des livres de cuisine.

     

    Par ailleurs, le site conseille également de régler son frigidaire sur 5 °C et son congélateur sur - 17 °C et de ne pas conserver les tomates, les pommes de terre, les potirons et les oignons au réfrigérateur. Enfin mieux vaut ne pas trop le remplir, car moins l'air froid peut circuler, plus vous aurez des zones chaudes. En revanche, vous pouvez tout à fait bourrer votre congélateur.

    http://weekend.levif.be/lifestyle/culinaire/voici-la-seule-facon-correcte-de-remplir-son-refrigerateur/article-normal-397893.html?

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Aujourd'hui, face au stress ambiant et à la pression du quotidien, on brandit souvent comme solution ultime la pleine conscience ou encore la méditation. L'écrivaine Paulien Derwort va à contre courant et estime au contraire que verser un torrent de larmes ou jeter la vaisselle est bien plus sain.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires