• Si vous fréquentez une pharmacie dans le courant du mois de mai, le pharmacien vous posera sans doute quelques questions ciblées pour évaluer vos risques de souffrir d’une maladie cardio-vasculaire.

    Cette campagne de sensibilisation est menée en collaboration avec l’entreprise Omega Pharma, la Ligue cardiologique belge et l’Association pharmaceutique belge. Chaque année, les maladies cardio-vasculaires emportent 31.000 Belges.

     

    LES RISQUES EN CINQ QUESTIONS

     

    Cinq questions seront posées aux clients des pharmacies - êtes-vous fumeur ? faites-vous de l’exercice ? connaissez-vous votre taux de cholestérol ? de glycémie ? votre pression artérielle ?. S’ils ne sont pas en mesure de répondre à certaines de ces interrogations, ils seront invités à consulter un médecin. Des posters et des flyers déposés dans les officines inciteront également le public à demander conseil au pharmacien. 

    « Les maladies cardio-vasculaires sont très insidieuses. Elles débutent dans les artères en raison des effets agressifs qu’ont les facteurs à risque sur la paroi artérielle. C’est un processus très lent, mais progressif. Les dépistages réguliers sont importants car ils permettent de connaître les risques avant de souffrir de problèmes cardio-vasculaires. Ils peuvent provoquer une réaction opportune pour adapter son style de vie », explique le Dr Freddy Van de Casseye, General Manager de la Ligue cardiologique belge.

     

    PEU DE DIAGNOSTICS

     

    Les maladies cardio-vasculaires sont la conséquence de différents facteurs à risque, génétiques ou liés à l’environnement . Certains peuvent être corrigés, comme une pression artérielle élevée, un taux de cholestérol important, le tabagisme, du diabète, un manque d’exercices physiques, etc. La pierre angulaire de la prévention est donc de savoir gérer ces facteurs. Les maladies cardio-vasculaires, comme les AVC, les infarctus ou les insuffisances cardiaques, sont la première cause de décès pour les femmes en Belgique, et la seconde pour les hommes. En outre, deux Belges sur trois souffrent d’un taux de cholestérol élevé, même si 3 sur 4 ne connaissent pas ce pourcentage. Un personne sur cinq a une tension artérielle trop importante et une sur deux ignore si elle est sujette au diabète. Ces facteurs à risque sont trop peu diagnostiqués car le patient présente peu ou pas de symptômes.

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11546-En-mai-les-pharmaciens-evaluent-vos-risques-cardio-vasculaires.html

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  • Electrique ou aux agrocarburants : quelle voiture pollue le moins ?Il n’y aura bientôt plus de pétrole. Ça, on commence à le comprendre. Mais de là à se passer de la voiture, vous n’y pensez pas ! Alors en attendant la caisse qui marche à l’air pur, on met quoi dans le réservoir ? De la betterave ou des électrons ?

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  • Les pesticides ont le vin mauvais
    (Crédit photo : DR)
     
    La viticulture est-elle malade de ses traitements ? Au moment où la fille d'un vigneron dépose la première plainte pour homicide involontaire, Guillaume Bodin, ancien ouvrier agricole, propose un documentaire passionné et glaçant.
     

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  • Une insuline intelligente pour mieux maîtriser le diabète !

    © Shutterstock© Shutterstock

    La difficulté de contrôler les doses d’insuline

    Le diabète de type I est une maladie auto-immune. Les cellules sécrétant l’insuline pour réguler le taux de glucose dans le sang sont appelées les cellules Bêta. Dans la pathologie du diabète, ces cellules sont détruites par une dérégulation de l’activité des lymphocytes T. Le déficit en insuline conduit à une glycémie anormale, elle même entrainant des désordres biologiques à long terme.

    La complexité de la régulation s’explique par la présence de facteurs environnementaux faisant varier la glycémie : la prise d’un repas, l’activité sportive. La sécrétion d’insuline est fine et sensible. Le patient diabétique doit avec son traitement mimer au mieux cette libération dans le sang. La recherche dans la diabétologie continue et notamment grâce à l’essor des biotechnologies et de la médecine connectée pour une meilleure observance.

     

    Etat des lieux des différents types de traitement

    Le traitement par insuline pour le diabète de type I doit être pris à vie. Différents types d’injection sont pratiqués : injection à l’aide d’un stylo à injection, à l’aide d’une seringue ou d’une pompe.

    L’insulinothérapie a permis une réelle amélioration de la prise en charge de la maladie, cependant le traitement reste lourd, la glycémie doit être mesurée plusieurs fois par jour.

    Prévenir la maladie en trouvant l’origine de l’activation des lymphocytes T ou encore comment régénérer les cellules Bêta sont des problématiques de la recherche actuelle.

     

    Un fonctionnement innovant porteur de perspectives

    Une technologie en développement, nommée Ins-PBA-F, par l’université de Boston (MIT) donne de nouvelles perspectives pour les patients. Il s’agit d’une insuline modifiée pour que son action n’ait lieu que si il y a un besoin. Le patient n’aurait plus besoin de s’injecter de l’insuline au moment d’un repas puisque la seule présence du glucose dans le sang a un taux élevé permettrait de déclencher l’action de cette nouvelle insuline.

    Une première publication scientifique datant de mai 2013 révèle des résultats prometteurs pour ce projet.

     

    Sources :

    http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/diabete-diabete-insuline-intelligente-ajuste-glycemie-temps-reel-57200/

    http://www.lasantepublique.fr/recherche-medicale/25102013,une-nouvelle-insuline-intelligente-,818.html

    http://www.medscape.fr/voirarticle/3555427

    http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/nn400630x

    http://www.ameli-sante.fr/diabete-de-type-1/traitement.html

    http://www.inserm.fr/thematiques/circulation-metabolisme-nutrition/dossiers-d-information/diabete-de-type-1-did

     

    http://www.ersinnovation.com/biotechnologies/une-insuline-intelligente-pour-mieux-maitriser-le-diabete/

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  • Ce spécimen de Requin poche a été pêché en 2010 puis congelé, pour être analysé à partir d'octobre 2013. © Mark Grace/AP/SIPA

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  • Le club Saint-Denis Émotion développe des entraînements destinés à un public malade. Sous surveillance médicale, avec des moniteurs spécifiquement formés. Les diabétiques peuvent sans risque aborder une pratique physique adaptée qui leur permet de mieux se porter.

     

     

     

     

    « C’est le docteur Frédéric Courage, licencié au club, qui nous a proposé cette initiative », explique Daniel Balme, secrétaire général de Saint-Denis Émotion (SDE), un des clubs d’athlétisme locaux (1). « Puis, nous nous sommes mis en relation avec l’association Dianefra (2) dont le but est d’aider les diabétiques dans leur vie quotidienne, aussi bien sur le plan alimentaire, le maintien en forme que les conseils plus médicaux. » 

    En octobre 2009, SDE lance cette initiative avec une quinzaine de personnes, principalement issues du centre médical municipal du quartier Plaine. Depuis le cercle s’est un peu élargi et ce n’est que le début. « Toute personne qui souhaite participer à ces activités sportives spécifiques peut le faire en s’adressant directement au club et en prenant une licence FFA Athlé santé », ajoute Daniel Balme. 

    « En fait, poursuit-il, nous développons là un axe social, certes éloigné du haut niveau. La plupart des clubs d’athlétisme proposent des activités de remise en forme générale, mais nous sommes parmi les premiers à nous adresser à ce public. Ce qui nous vaut un intérêt soutenu de la part de la Fédération française. » 

    « Une pratique à la portée de tous »


    « Il s’agit d’entraîner des personnes diabétiques, en surpoids… pour qui, en fait, il n’y a pas plus de risques que pour d’autres à pratiquer une activité physique », commente Lamine Camara, par ailleurs entraîneur du club de basket du Saint-Denis US mais qui intervient là, à la demande de SDE, avec sa casquette de formateur spécialisé.

    « Mon but est de mettre le sport, bien évidemment adapté, à la portée de tous, même de ceux qui n’ont jamais pratiqué, ou qui ont tout abandonné depuis dix ans ou plus, dit-il. Nous pratiquons le mardi soir au stade annexe du Stade de France, avec des exercices qui n’ont pas grand-chose à voir avec ce que l’on peut trouver dans les clubs privés, et le samedi matin au parc de La Courneuve, pour de la marche avec ou sans bâtons. »

    « J’aime bien parler de sport préventif », explique Lamine Camara, qui développe aussi des projets dans ce sens avec le docteur Anne-Louise Avronsart, du centre médico-sportif (3). « Dans le domaine du sport de compétition, il s’agit par exemple de faire en sorte que les blessés ne se blessent pas à nouveau. C’est toute une action à mener avec le kiné, pour la reprise d’activité… Dans le cas du diabète ou de la possible déclaration de cette maladie, c’est d’une certaine façon la même chose. Une activité sportive peut enrayer la mauvaise machine et éviter bien des complications. » 

    Premier bilan : « ça marche »


    Un point de vue qu’approuve Frédéric Courage, lui-même coureur de fond et de marathon « chez les vétérans désormais ». Ce que « nous proposons convient parfaitement aux personnes trop sédentaires, âgées de 45 ans et plus, atteintes d’obésité, de diabète, d’hypertension… qui risquent entre autres pathologies de développer des maladies cardiaques si elles ne pratiquent pas 
    d’exercice ».

    En même temps, le docteur Courage est lucide : « Il ne suffit pas de dire aux gens : ce serait bien que vous fassiez du sport. Dans notre démarche, un certificat médical d’aptitude à la pratique sportive est délivré et une diététicienne intervient pour conseiller comment changer son mode d’alimentation. Il n’est pas question là de régime à proprement parler, mais de conseils pour se nourrir autrement, avec plus de fruits et de légumes et moins de mauvaises choses… »

    Au bout de trois mois, Saint-Denis Émotion fait un premier bilan : « Ça marche ! » Frédéric Courage cite plusieurs cas, comme celui d’un homme de moins de 40 ans qui a perdu 12 kilos en trois mois (il en pesait 140) et a pu ainsi arrêter l’insuline qui fait aussi grossir (4).

    « Une pratique sportive régulière, sans être intense, permet une réelle perte de poids et la transformation de graisses en muscles.
    Particulièrement chez l’homme de moins de 50 ans, mais c’est valable pour tout le monde, y compris chez les femmes. » Puis il ajoute : « Chacun doit se prendre en main, avec le soutien du club et des soignants. Quand je vois comme l’autre samedi matin de décembre, le groupe des plus convaincus marcher sous la pluie dans le parc de La Courneuve, je me dis que nous sommes sur la bonne voie… »

    Gérald Rossi

    (1) Saint-Denis Émotion, Tél. : 01 48 2 56 81 , site :http://www.saint-denis-marathon.com/emotion.html
    (2)http://www.dianefra.fr/ 
    (3) Le centre municipal médical des sports est installé au palais des sports Auguste-Delaune, Tél. : 01 48 22 55 45  
    (4) La règle ordinaire dans un régime pour maigrir est de 2 kilos par mois.

     

    Voir vidéo sur :http://lejsd.com/index.php?s=17&r=3296

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  • Le "calculateur végétarien" mensuel ou annuel permet de calculer l'impact moyen qu'exerce la pratique du végétarisme. En fonction de la période pendant laquelle vous n'avez pas consommé de viande, le calculateur vous donne une indication de l'influence de vos habitudes alimentaires sur l'environnement.

     

    Calculez combien d'animaux vous avez déjà "sauvé" en tant que végétarien 

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  • Valeur nutritionnelle pour 100 g Chips
    Calories : 570 kcal
    ● Proteines : 5 g
    ● Glucides : 50 g
    ● Lipides : 39 g

    Famille : Corps gras

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  • Chacun sait qu'une vie saine passe par une alimentation équilibrée, de l'exercice physique, le bannissement du tabac ou encore par la limitation de la consommation de certaines substances, comme l'alcool. Et chacun sait aussi qu'une vie saine favorise la bonne santé, la longévité, réduit les risques de maladies... Alors pourquoi est-ce qu'on ne s'y met pas tous ?

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