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  • Prévenir et soulager son mal de dos

    Vous avez mal au dos ? Découvrez vite notre programme de coaching pour en finir avec la douleur ! (disponible sur iPhone et Android)

    Vous apprendrez à identifier vos mauvaises postures au quotidien à la maison, au bureau ou pendant les trajets, pour pouvoir ensuite les corriger. Une série d’exercices pratiques vous aidera à soulager votre dos à tout moment.  L’application vous aidera à soulager vos douleurs dans le dos mais également aux hanches, aux genoux, aux épaules... car on n’en a pas conscience mais tout est lié !

    Après un test pour évaluer comment vous sollicitez votre dos, l'application vous accompagne en quatre coachings, selon un vrai parcours de formation, pour en finir avec vos habitudes toxiques et acquérir les bons réflexes pour vous soulager et vous protéger:

    • Coaching Comprendre, pour connaître la position et mouvements naturels de la colonne vertébrale et ainsi savoir tout ce qui se trame dans votre dos lorsque vous avez des mauvaises habitudes de posture et mouvements.
    • Coaching Maison, pour reconnaître et éviter tous les pièges : lecture au lit, position devant la télévision, dîner au salon…
    •  Coaching Bureau, qui vous aide à mieux profiter de votre matériel et mobilier ergonomique au travail.
    • Coaching Voyages et déplacements, pour comprendre et savoir quelles sont les meilleures postures à adopter en avion, en voiture, dans un train ou dans le métro.

    Ce programme anti-mal de dos a été élaboré en collaboration avec François Stévignon, kinésithérapeute et ostéopathe, auteur du livre "En finir avec le mal de dos" aux Editions Kero et Doctissimo.

    L'application a été réalisée avec l'éditeur "Teach on Mars" spécialisé dans les applications mobiles pédagogiques.

    Disponible sur Google Play

     

    Disponible sur App Store

    .http://www.doctissimo.fr/asp/mobile/application-mal-de-dos.htm

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  • Parmi les différentes plantes potagères du jardin, on différencie les légumes-racines comme le radis ou la carotte, les légumes-fruits comme la tomate ou le concombre, et enfin les légumes-feuilles. Mais qu'appelle-t-on exactement un légume-feuille ? Et quels sont les principaux légumes-feuilles cultivés et consommés ?

    Qu'est-ce qu'un légume-feuille ?

    Feuilles de betteAgrandir l'image

    Un légume-feuille est un légume dont la partie consommée correspond aux feuilles de la plante. Les feuilles sont consommées crues ou cuites, et peuvent être cuisinées de mille et une façons. D'un point de vue  nutritionnel, ces légumes sont très intéressants puisqu'ils sont faiblement caloriques, mais très riches en fibres, en fer, en calcium, en oméga-3, en protéines, en vitamines C et K ou bien encore en acide folique. Ces qualités exceptionnelles font des légumes-feuilles des aliments qui répondent particulièrement bien aux besoins nutritionnels quotidiens des humains. 

    Crues ou cuites, des feuilles à déguster

    Les salades

    Laitues au potagerAgrandir l'image

    Les salades sont des plantes potagères dont on consomme habituellement les feuilles crues. A priori donc, la plupart des légumes-feuilles peuvent servir de salade. Dans les faits, certaines plantes sont plus agréables que d'autres à consommer crues. Laituesmâchescressonroquettechicorées : autant de feuilles à croquer en crudité, en accompagnement d'autres plats, en sandwich, ... 

    Les choux 

    Chou dans le potagerAgrandir l'image

    Les choux font partie des plus anciens légumes consommés en Europe. Ils forment une famille de légumes-feuilles très variée. Leur culture s'étale largement dans le temps selon les variétés si bien qu'il est possible de manger du chou frais absolument toute l'année ! Pour la plupart, leurs feuilles sont disposées en boule très dense qu'on appelle 'pomme'. Ce sont des légumes très nutritifs, souvent consommés cuits et cuisinés. Le chou fermenté (choucroute) est à la fois une technique de conservation et un plat largement consommé en Europe de l'Est. Parmi les choux les plus courants on peut citer le chou vert, le chou rouge, le chou de Bruxelles, le chou chinois ou le chou cabus. Il existe aussi un chou perpétuel (= vivace), souvent appelé le chou Daubenton. Enfin, sachez que les feuilles des choux-fleurs, des choux-brocolis ou des choux-raves qu'on a l'habitude de jeter au compost sont tous aussi délicieuses que les autres !

    Epinards et associés

    Arroche dans le potagerAgrandir l'image

    L'épinard est consommé partout dans le monde pour ses qualités gustatives et nutritionnelles (c'est probablementle légume le plus riche en acide folique = vitamine B9). De nombreux autres légumes-feuilles proches de l'épinard sont également consommés selon les habitudes régionales. La plupart (en dehors de l'oseille) font partie de la famille de Chénopodiacées. Citons la tétragone cornue, l'oseille, l'arroche, les bettes (ou poirées), les salicornes, le chénopode Bon-Henri, ...

    Les feuilles aromatiques

    Ciboulette du jardinAgrandir l'image

    On les appelle épices, condiments, aromates, fines herbes... Ce ne sont pas véritablement des légumes puisqu'ils ne nous nourrissent pas, mais leurs feuilles méritent bien un paragraphe ici car elles magnifient les spécialités culinaires du monde entier. En effet, ce sont surtout les feuilles qui contiennent les arômes et les huiles essentielles. Difficile d'imaginer un monde sans persilbasilicmenthecoriandreanethfenouilthym,romarinciboulettesauge ou laurier sauce !

    http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/legumes-feuilles,1332.html?utm_campaign=ML263&utm_medium=email&utm_source=dl

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    Diabète et idées reçues

    Tout le monde connaît une personne atteinte du diabète ou un membre de sa famille qui en souffre. Comme pour toute affection courante, beaucoup d’idées – justes ou fausses – circulent sur le diabète. Scrutons quelques-unes de ces idées reçues. Sont-elles fondées ? 

    Sans prétendre détenir la vérité, je crois bon de démonter certains préjugés et superstitions qui ont la vie dure. Il est parfois très difficile de contrer la rumeur populaire colportée en dépit d’arguments scientifiques solidement étayés. Car certains disent alors : «Qui prouve trop ne prouve rien»... Qu’ajouter, sinon qu’un mensonge souvent répété ne devient pas une vérité !

    • «Le diabète est une maladie de personnes âgées».
      FAUX!
       On distingue deux types de diabète :

      – Le type 1, le plus rare (environ 15% de tous les diabètes dans la population occidentale), est une maladie dite auto-immune : le système immunitaire de la personne malade, à la suite d’une stimulation inadéquate, détruit plus ou moins rapidement les cellules Bêta qui fabriquent l’insuline. Ce diabète se déclare dans la première partie de la vie ; il est beaucoup plus rare après l’âge de 40 ans. Cependant, il peut survenir à n’importe quel âge.
      – Le type 2, le plus fréquent, se déclare en principe dès 40 ans. Sa pathologie est différente : pas de destruction auto-immune des cellules qui fabriquent l’insuline, mais une diminution de l’efficacité de l’insuline programmée génétiquement, aggravée par l’inactivité physique et l’excès de poids. Après environ quinze ans d’évolution, les cellules Bêta se fatiguent et le patient doit souvent être traité avec de l’insuline. Ce diabète de type 2 se retrouve surtout chez les adultes, mais aussi maintenant chez les adolescents et même préadolescents, ce qui est fort inquiétant pour l’avenir de ces jeunes.

    • «Si je suis diabétique, vais-je devoir prendre des médicaments à vie ?».
      FAUX… ET JUSTE! 
      Difficile de répondre en effet. Si le diabète de type 2 est diagnostiqué précocement, un changement d’habitudes de vie, une alimentation adéquate, une reprise d’activité physique peut éviter la prise de médicaments au début de l’affection. Cependant, lorsqu’on a décidé de donner des médicaments, il est vrai que la plupart du temps, il faudra les prendre définitivement.


    • «Un choc psychologique peut causer le diabète».
      FAUX! 
      Cette notion extrêmement répandue, je la retrouve en discutant avec beaucoup de patients. Or c’est une idée totalement fausse. Comme expliqué plus haut, le diabète est soit une affection auto-immune d’origine génétique (diabète de type 1), soit une autre affection métabolique également génétique (diabète de type 2). Un choc psychologique ne suffit en aucun cas pour modifier le patrimoine génétique d’un individu ! Cependant, sous l’effet d’un choc psychologique extrêmement intense, le corps peut fabriquer des hormones dites de stress comme l’adrénaline et le cortisol, lesquelles pourront révéler un diabète latent à cause du pouvoir hyperglycémiant de ces hormones. Il se peut donc, lors d’un choc ou d’un stress psychologique violent, qu’un diabète latent se déclare plus précocement (raison pour laquelle il est souvent lié par le patient à l’événement qui l’a marqué). De plus, rattacher son diabète à un choc psychologique constitue, pour bon nombre de patients, le secret espoir que ce diabète puisse disparaître comme il est venu.


    • «Son docteur lui a dit qu’il n’a plus de diabète».
      FAUX!
       Il s’agit là encore d’une idée aussi courante que totalement fausse. Répétons que le diabète, de type 1 comme de type 2, est une maladie génétique : on naît avec le profil d’une affection qui se déclarera tôt ou tard. Beaucoup de gens confondent la glycémie, c’est-à-dire le taux de sucre sanguin, avec la présence ou non de l’affection diabétique. Il est parfaitement plausible qu’un diabétique traité de façon adéquate au début de sa maladie puisse voir ses taux de sucre se normaliser. Malheureusement, l’affection reste latente même si elle est très bien contrôlée. La normalisation du taux de sucre chez un diabétique ne signifie donc pas que l’affection a disparu, hélas !


    • «Un diabète de type 2 peut se transformer en diabète de type 1».
      FAUX!
        Encore une notion assez souvent exprimée. En effet, un diabétique de type 2 qui doit passer à l’insuline peut imaginer que son diabète s’est transformé en diabète de type 1. C’est parfaitement impossible, ces deux affections étant totalement différentes sur le plan génétique. Un diabétique de type 2 qui passe à l’insuline est un diabétique dont la réserve d’insuline s’est épuisée. Il ne change pas de type de diabète. 


    • «Certains diabétiques sont guéris par des rebouteux ou des magnétiseurs».
      FAUX! Cette idée récurrente court les campagnes, mais aussi les villes. Certains guérisseurs connus, dont on dit qu’ils ont «le secret», reçoivent des centaines de patients qui espèrent voir leur affection disparaître. Il ne s’agit que d’escroquerie : aucun diabétique n’a jamais été guéri par un rebouteux ou par tout autre thérapeute plus ou moins fantaisiste.

    • «L’homéopathie et l’acupuncture peuvent soigner le diabète».
      FAUX… AVEC NUANCES. Ces deux thérapies peuvent constituer, pour certaines personnes, un appoint intéressant, donc un  supplément au traitement du diabète. Cependant, elles ne peuvent en aucun cas remplacer de l’insuline ou les médicaments indispensables pour mener à bien le traitement d’un diabétique. Tout thérapeute sérieux pratiquant ces deux disciplines l’expliquera à son patient. Si un thérapeute quelconque prétend pouvoir guérir votre diabète, fuyez sur-le-champ à toutes jambes :  c’est un charlatan doublé d’un escroc.

    • «La cannelle est un appoint utile au traitement du diabète de type 2».
      PRUDENCE! Cette affirmation est l’objet d’une controverse depuis quelques années en diabétologie. Selon une étude pakistanaise menée sur une soixantaine de patients seulement, l’administration d’environ 3 gr de poudre de cannelle aurait permis d’abaisser notablement leur glycémie et d’améliorer leur HbA1c. Or d’autres études réalisées sur un plus grand nombre de patients n’ont pas révélé d’amélioration notable avec la cannelle. J’ai personnellement prescrit de la poudre de cannelle sans voir, je dois l’avouer, de résultat véritablement significatif. Mais cette prescription ne semble pas entraîner d’effet secondaire. Il convient toutefois, si l’on prend de la poudre de cannelle, de se la procurer dans une pharmacie. En effet, certains dérivés de cannelle, produits par des pays asiatiques principalement, peuvent entraîner des troubles importants de la coagulation sanguine.

    • «Le diabète est une maladie héréditaire».
      FAUX! 
      Le terme héréditaire est très mal choisi : il implique une transmission obligatoire de la maladie. Heureusement, il n’en est rien. Seuls 10% des diabétiques de type 1 ont un membre direct de leur famille atteint de la même affection. Quant au type 2, il est vrai que la pénétrance familiale est plus importante (40% des diabétiques de type 2 ont un membre direct de leur famille atteint). La transmission de l’affection n’est donc absolument pas obligatoire, même si le fait d’avoir des diabétiques ou un diabétique de type 2 dans sa famille confère un risque supplémentaire de développer le diabète. On connaît actuellement assez bien les risques encourus en fonction du nombre de parents atteints.


    • «Le diabète des chats peut se transmettre aux humains et vice-versa».
      FAUX !
       Encore une assertion totalement erronée. En effet, le diabète est par définition une maladie non transmissible, puisque c’est une affection génétique. Croire qu’il puisse passer d’un animal à un humain (ou d’un humain à un animal ou même d’humain à humain) est absurde. Cette croyance doit donc être vigoureusement combattue.


    • «Certaines poudres alimentaires peuvent guérir le diabète».
      FAUX!
       Encore une idée reçue, sans fondement. Actuellement, hélas ! rien ni personne n’est capable de «guérir le diabète». Il faut donc se méfier des poudres de perlimpinpin. Les promesses de miracles ne visent qu’à abuser de la crédulité des patients et à enrichir les charlatans qui tentent de vendre de tels produits.

    Avec ce bref florilège, j’espère avoir tordu le cou à certaines idées reçues, hélas ! tenaces.

    Dr Nicolas von der Weid

    http://www.d-journal-romand.ch/archive/diabete-et-idees-recues/

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  • Rencontre avec les éducateurs en diabétologie - 18/04/2014

    Ils sont une dizaine à sillonner les 19 communes de la région bruxelloise pour assurer des séances d’éducation au diabète en 1ère ligne de soins. Déjà 4 années que ce nouveau métier de proximité existe, mais il est pourtant encore méconnu de nombreux acteurs de la santé. L’occasion pour nous d’aller à leur rencontre et leur demander de nous parler de leur expérience.

     

    Pouvez-vous nous décrire en quelques mots votre métier d’éducateur ?
    Il y a d’abord un rôle de sensibilisation : ouvrir les yeux des patients sur ce qu’est le diabète, les aider à comprendre ce qu’il se passe au niveau physiologique et l’importance de leur participation active aux traitements dans l’évolution de la maladie.
    La démarche de l’éducateur vise une plus grande autonomie grâce à une approche d’empowerment. Le défi est de motiver le patient à adopter de meilleures habitudes d'hygiène de vie afin de limiter les complications liées au diabète et faciliter une meilleure gestion du traitement au quotidien. Ce n’est pas facile, la clé est de trouver l’élément déclenchant dans la motivation, trouver un petit quelque chose qui leur permette d’avancer, de progresser. Jusqu’à l’étape suivante.


    L’éducateur, c’est quelqu’un qui vient voir comment va le patient, qui l’accompagne et l’encourage, le soutient dans ses efforts. Nous avons un rôle de « coach » et de guide. C’est pourquoi le suivi sur le long terme et des contacts d’année en année sont si importants. On dépend pour cela des prescriptions médicales, après lesquelles on doit parfois courir. Et puis le nombre de séances prévues dans les trajets de soins s’avère insuffisant pour certains patients, ce qui est dommage, surtout quand ce sont des personnes qui en ont vraiment besoin.

     

    Qu’est-ce qui vous semble particulièrement intéressant dans l’éducation à domicile ?
    L’éducation thérapeutique (dans les trajets de soins) est une opportunité d’agir plus vite, de manière plus précoce pour le patient (par rapport à une prise en charge hospitalière). Et le fait d’intervenir à domicile permet d’être plus proche du patient et de mieux appréhender son contexte de vie. Développer le lien thérapeutique dans l’environnement du patient permet une proximité qui favorise la relation de confiance et la personnalisation de l’accompagnement. En effet, pour cibler les besoins et transmettre des savoirs de façon adaptée, il faut prendre le temps de mieux connaître l’autre. Le changement n’est possible et les objectifs ne sont réalisables que s’ils sont établis de manière concertée. Une fois qu’on a compris qui est en face de nous, on peut envisager avec le médecin ce qui peut être mis en œuvre pour soutenir au mieux le patient. Il y a toujours une réponse possible.

     

    Quelles sont les bénéfices de l’éducation ?
    Grâce à ces séances, le patient bénéficie d'un plan d’éducation personnalisé, en fonction de ses habitudes, du contexte socio-culturel dans lequel il vit, du stade de son diabète. Il comprend mieux la théorie de la physiopathologie du diabète, il apprend à manipuler son matériel d'autocontrôle, à interpréter les valeurs et à atteindre les objectifs posés ensemble. Toute diminution de 1% de l’HbA1c permet de diminuer de 30% les complications du diabète. L’enjeu est donc important !

     

    Si vous pouviez vous adresser aux autres prestataires, que leur diriez-vous?
    Il y a encore beaucoup de choses à faire au niveau de la communication, de l’échange d’informations. De notre part aussi bien sûr. Si les professionnels communiquaient mieux et davantage, les patients seraient sans doute mieux compris et les suivis plus adaptés et efficaces. Vous n’imaginez pas le temps perdu à obtenir certaines informations ou documents.
    Nous sommes des partenaires complémentaires dans la prise en charge du patient. En collaborant et en se faisant confiance, on peut obtenir des résultats surprenants. Mais on ne prend pas le temps de connaître les autres prestataires, leur métier, et c’est dommage. C’est vrai que ça prend du temps et que ce n’est pas toujours faisable. Mais c’est pourtant tellement important.

     

    Nous tenons à remercier chaleureusement Mesdames Christine Boivin, Dalal Derouich, Christine Dicker pour leur contribution à cet article.

     

    http://www.rmlb.be/news/rencontre-avec-les-educateurs-en-diabetologie

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  • Le "basejump": 5 à 8 fois plus dangereux que le parachutisme

    mardi 22 avril 2014 à 14h58

    Le « basejump » est une sorte de saut en parachute, mais qui se pratique à partir non pas d’un avion ou d’un hélicoptère, mais d’un gratte-ciel ou d’une falaise, par exemple.

    © Capture d'écran YouTube

     

    Il s’agit d’un sport extrême pour lequel le sauteur ne dispose pas de parachute de secours, au cas où le principal ne s’ouvrirait pas. Si ce dernier s’ouvre mal, le sauteur envisage donc de s’agripper au mur ou à la paroi de la falaise. Le mont Kjerag, en Norvège, est un site prisé – et relativement sûr – par les pratiquants de basejump. En 11 ans, il a été le lieu de 20.850 sauts. Avec au final 9 décès, ce qui équivaut à 1 mort par 2300 sauts. 82 accidents non-mortels ont été également rapportés, la plupart du temps des fractures (notamment au genou) ou des chocs à la tête. En conclusion : le risque de faire un accident mortel au basejump est 5 à 8 fois plus important qu’en saut en parachute.

    http://www.levif.be/info/actualite/sante/le-basejump-5-a-8-fois-plus-dangereux-que-le-parachutisme/article-4000600540006.htm?nb-handled=true&utm_source=Newsletter-22/04/2014&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV

     

     

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  • Diabète : vivre comme tout le monde

    Le diabète touche aujourd'hui plus de 2 millions de personnes en France. Une maladie de plus en plus répandue, une maladie dont les complications peuvent être irréversibles. Pour limiter les risques de cécité, de néphropathie, d'amputation, les troubles cardiaques, une seule solution : un suivi assidu du traitement. Pour y parvenir certaines personnes insulino-dépendantes ont fait le choix de la pompe à insuline. Zoom sur ce dispositif méconnu qui permet d'oublier sa maladie au quotidien.

     

    La fin des injections

    Diabète pompe insulinePour limiter le risque de complications, il faut scrupuleusement contrôler son diabète et suivre assidûment son traitement ; ce qui implique pour de nombreux patients des injections multiples. "Je vivais très mal, je n'acceptais pas ma maladie, explique Mario, diabétique depuis 23 ans. Je me voyais comme un pestiféré : dans le mot diabète il y a le mot diable . Je me sentais exclu et dissimulais l'existence de ma maladie. Je me cachais pour effectuer mes injections et pourtant cela n'est pas facile sur son lieu de travail ! . Lorsque les gens vous voient sortir votre "petit matériel" d'injection, ils ont souvent  un mouvement de recul".

    Pour Ahmed, diabétique lui aussi depuis 9 ans, les injections d'insuline étaient une véritable contrainte. "Je devais me faire 2 piqûres, puis j'ai dû passer à 3 puis à 4, avec toutes les contraintes liées à un traitement aléatoire. Je faisais des hypoglycémies et des hyperglycémies très fréquemment. Je n'en pouvais plus de cette maladie qui contraignait à régler sa vie sans écart".

    Pour ces deux hommes, à l'image des patients qui ont un jour décidé d'opter pour une pompe à insuline, la vie a changé. Ils ont oublié les 100 à 150 piqûres d'insuline qu'ils se faisaient par mois et n'ont plus aujourd'hui qu'à changer tous les 3 jours le cathéter de leur pompe à insuline. Ce dispositif qui mime au mieux le fonctionnement du pancréas permet de délivrer de l'insuline en continu avec très peu de variation et de programmer la dose d'insuline à délivrer à chaque repas. De plus, la pompe permet d'adapter la quantité d'insuline à ses activités.

    Pratique, la pompe offre une très grande liberté par rapport aux traitements traditionnels par piqûres. Devoir faire face à l'imprévu n'est plus une angoisse, la vie est simplifiée.

    Se délivrer du poids psychologique de la maladie

    Au-delà de la gestion contraignante du traitement, le diabète est une maladie difficile à vivre, à admettre. La pompe à insuline est parfois la seule façon d'accepter cette maladie pour certains insupportable. "Pour moi la pompe n'était pas une "obligation" du point de vue médical, explique une fidèle internaute du forum de Doctissimo, mais cela répondait à une envie de liberté. Je dis maintenant, avec du recul, que je vis tout simplement depuis le mois d'avril, j'ai accepté cette maladie que je ne supportais pas, je vis et enfin je suis heureuse". Mario ne la contredira pas, pour lui la pompe est véritablement synonyme de renaissance "J'ai enfin accepté d'être diabétique, je peux vivre comme tout le monde et je suis heureux désormais. Fini les hypoglycémies et le fait de se cacher, j'ai repris le sport que je n'osais plus pratiquer, j'ai renoué le dialogue avec mes collègues de travail, mes amies : grâce à la pompe, le diabète s'est adapté à moi et non l'inverse".

    Martine sous pompe depuis quatre ans est elle aussi consciente que ce dispositif lui permet de vivre pleinement sa vie.

    Le travail, les responsabilités, les amis, la famille… de nombreux patients redécouvrent ce qu'ils avaient oublié, les activités sur lesquelles ils avaient tiré un trait. La pompe à insuline leur permet de s'intégrer sans retenue, sans peur du regard des autres, bref de ne plus subir leur maladie.

    Décider de passer d'un traitement "classique" par piqûres au port d'une pompe à insuline est une démarche qui demande parfois du temps, les patients manquant cruellement d'informations. N'hésitez pas à poser toutes les questions qui aujourd'hui vous préoccupent à votre diabétologue. Tournez-vous également vers les patients. Regroupés ou non en association, ils connaissent mieux que quiconque leur maladie. Eux seuls décrivent avec justesse comment la pompe à insuline peut changer la vie.

    Aude Maréchaud

    Forum Diabète

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/diabete/articles/9124-diabete-pompe-insuline.htm

     

     
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  • Pourquoi nos fruits n’ont plus de goût ?

    PUBLIÉ LE 17 AVRIL 2014

    Il n'est pas encore si loin le temps où les pommes avaient un parfum de pomme, où l'on distinguait sans peine une poire d'une rave et où les fraises n'étaient pas énormes mais savoureuses.

    mapassionduverger.fr

     

     

    Nostalgie du passé ou transformation de nos papilles ? Plus simplement, et c'est plus grave, les fruits n'ont plus de goût ! Ils sont pourtant si beaux, gros et bien réguliers, les fruits « modernes », bien plus qu'il y a vingt ans.

    De fait, ce n'est pas une contradiction, mais une explication. Les agronomes l'avouent : lorsqu'on sélectionne un caractère chez une plante, en créant une nouvelle variété, c'est toujours au détriment d'un autre.

    Nous voulions des fruits tape-à-l'oeil, ils nous les ont donnés. Les agriculteurs désiraient en produire beaucoup, c'est chose faite. Mais au passage, quelques chromosomes bien agréables ont dû se perdre. Dommage.

    Et puis, rendement oblige, plus on donne à l'arbre d'eau et de nourriture, c'est-à-dire d'engrais soluble, plus il produit de fruits. Mais au lieu de sucs parfumés, ils regorgent tout bonnement d'aqua simplex. C'est faire payer l'eau bien cher au consommateur !

    L'intensification de la culture veut aussi que l'on ne fasse pas toujours pousser les arbres fruitiers là où ils donnent les meilleurs résultats gustatifs. La notion de « terroir », si importante pourtant lorsque les fruits de la vigne sont transformés en vin, a perdu sa valeur.

    On savait autrefois, par exemple, que les pommes étaient meilleures en montagne qu'en plaine. Mais qui peut aujourd'hui se permettre de s'en soucier ? Les lieux de grande culture industrielle sont davantage liés aux facilités de transport et de commercialisation qu'à la recherche d'une qualité organoleptique maximale.

    D'ailleurs nos fruits viennent aussi bien d'Espagne, d'Italie ou du Chili que de Belgique ou de France. Verts ou dorés ?

    Pour les transporter plus facilement, surtout les plus fragiles, et pour mieux les conserver, il existe un moyen très simple. C'est de les cueillir avant maturité. Pas verts quand même, mais pas vraiment mûrs non plus.

    Avez-vous déjà goûté des abricots dorés à point par le soleil, qui emplissent la bouche d'un nectar capiteux ? Eh bien au bout de quelques jours, ils sont tout mous et invendables... Donc on ne les trouve plus : tant que le client est d'accord, mieux vaut lui refiler ces boules dures qui ont à peine la couleur de l'abricot et encore moins la saveur, car elles possèdent le gros avantage de ne pas s'écraser et de durer plus longtemps.

    Pour avoir encore des Golden en juin, neuf mois après la récolte, il ne faut pas les cueillir lorsqu'elles sont devenues jaune franc avec une fesse rose - stade où elles peuvent prétendre à leur qualificatif de 'Delicious'.

    Même stockées en atmosphère contrôlée, elles ne se conserveraient que jusqu'au mois de mars. A qui la faute ? Le producteur cherche, c'est normal, à produire davantage - même si à l'heure actuelle la surabondance et le stockage excessif qu'elle provoque sont devenus un problème onéreux. Le distributeur souhaite commercialiser des produits de conservation facile et qui se vendent bien. On le comprend aisément. Et si le consommateur préfère privilégier l'aspect des fruits plutôt que leur saveur, c'est certainement son droit. Tout est donc pour le mieux dans le plus fade des mondes... sauf pour ceux qui aiment manger de bons fruits.

    Il leur reste toujours la solution de planter un bonsaï fruitier (ça existe !) sur un coin de leur balcon, ou d'aller à la cueillette des fraises des bois.Mais peut-être les temps changent-ils, car on rencontre parfois des étals où trônent des pommes à se pâmer, des poires à la chair juteuse et parfumée, de petites tomates-cerises autrement plus goûteuses que les rigides 'Roma' ou des abricots qui fondent dans la bouche.

    Après tout, les amateurs avertis de vin, pour qui la jouissance des papilles fait partie des plaisirs essentiels de la vie, sont de plus en plus nombreux. Alors pourquoi ne pas décider d'apprécier aussi nos fruits quotidiens ?

    François Couplan organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Infos : www.couplan.com

    http://www.bio-info.com/fre/28/bien-etre/alimentation/pourquoi-nos-fruits-n_ont-plus-de-gout

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  • Centre Antipoisons belge

    PIGNONS DE PIN: GOÛT AMER APRÈS CONSOMMATION

     

    La consommation de pignons de pin peut entraîner l’apparition d’un goût amer, d’une sensation de goût métallique, lors de la prise d’aliments ou de boissons. A part ce désagrément, aucun effet néfaste sur la santé n’a été identifié. Ces troubles disparaissent spontanément.

    Classiquement, ce problème se caractérise par:

    1° Une apparition tardive des symptômes.

    Lorsqu’ils sont consommés, les pignons présentent un goût tout à fait normal. Il n’y a pas de problème de mauvaise conservation ni de rancissement. Le goût amer se manifeste typiquement 1 à 2 jours après ingestion et persiste 1 à 2 semaines (exceptionnellement jusqu’à 45 jours).

    2° Les symptômes sont déclenchés par la prise d’aliments.

    Le goût amer n’est généralement pas permanent mais est classiquement déclenché par la prise de nourriture. La sensation de très mauvais goût en bouche varie selon le type d’aliments ; le pain et le café sont des exemples typiques d’aliments provoquant ce mauvais goût. La sensation d’amertume persiste quelque temps après le repas, de quelques heures à toute une journée chez certaines personnes.

    3° Quantité de pignons consommée.

    Il n’est pas certain que toutes les personnes exposées développent les symptômes. Dans certains cas, l’ingestion de quelques pignons est suffisante pour provoquer les troubles du goût.

    4° Provenance des pignons.

    A ce jour, tous les pignons suspects proviennent de Chine. Il semble que le problème soit lié à une confusion entre espèce non comestible (Pinus armandii, fig. A ) et espèce comestible (Pinus koraiensis, fig. B). Les pignons suspects sont plus petits, moins anguleux et ont une couleur plus terne, tirant vers le beige.

    Mode de préparation.

    Le mode de préparation des pignons (crus, grillés, en pesto, etc.) n’a pas d’influence sur le phénomène.

    6° Que puis-je faire ?

    • Contactez le Centre Antipoisons par téléphone (070/245245) ou par courriel à Geert Verstegen. Nous nous intéressons aux caractéristiques des pignons (pays d’origine, marque, numéro de lot, date de péremption) et à la façon dont les symptômes se sont présentés et ont évolué.
    • Contactez également l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) au numéro gratuit 0800/13550. Votre plainte est donc importante pour aboutir au retrait du marché des pignons posant problème.

    http://www.centreantipoisons.be/nourriture/pignons-de-pin-go-t-amer-apr-s-consommation

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  • Les bulles d’eau à boire : des contenants révolutionnaires !

    15 avril 2014 - Auteur : Catherine Decock

    Des étudiants en design industriel, installés à Londres, ont développé une bien curieuse petite bulle. Baptisée Ooho, elle contient de l’eau potable et s’utilise presque comme une bouteille d’eau. Biodégradables et comestibles, ces mini sphères sont un pied de nez à la pollution terrestre et marine.
    Quand on sait que, chaque année, 89 milliards de bouteilles d'eau en plastique sont vendues à travers le monde, un contenant conçu à partir d'algues comestibles et assez solide pour stocker de l'eau est une alternative particulièrement interpellante. Rodrigo Garcia Gonzalez, Pierre Paslier et Guillaume Couche, tous trois étudiants en design industriel, ont mis au point cette petite chose qu'ils qualifient de "facile à faire soi-même, bon marché, solide, hygiénique, biodégradable et comestible", peut-on lire sur le sitewww.fastcoexist.com.

    CUISINE MOLÉCULAIRE

    Les trois compères se sont inspirés de la gastronomie moléculaire et notamment du principe de sphérification, qui consiste à mettre une préparation liquide sous forme de sphère. Cette technique a été inventée en laboratoire en 1946 et récemment popularisée par le chef Ferran Adria dans son restaurant elBulli en Espagne. Grâce à la sphérification, l’aliment est congelé pour lui donner la forme désirée, avant de le recouvrir d’une autre substance. « Nous avons appliqué une version évoluée de la sphérification à l’un des éléments vitaux les plus basiques et essentiels : l’eau », commente Rodrigo Garcia Gonzalez.

    ALGUES BRUNES ET CHLORURE DE CALCIUM

    Un composant à base d’algues brunes comestibles et de chlorure de calcium forme le gel de protection entourant l’eau. « Cette double membrane assure une protection hygiénique à l’intérieur de la membrane. Elle permet également d’introduire un logo entre les deux couches sans avoir recours à un quelconque adhésif », poursuit le designer. En effet, les Ooho peuvent être personnalisées, par des entreprises par exemple qui ont la possibilité d’insérer leur logo entre les deux épaisseurs de la membrane. Il suffit que ce logo soit fabriqué à partir de matériaux comestibles, comme le papier de riz. Avant d’être prise au piège dans la membrane, l’eau est transformée en glace afin de faciliter l’opération. La sphère ainsi formée peut être étirée pour créer des bulles de différentes tailles. Lorsqu’on a soif, il suffit de percer la membrane et de boire par le trou. Et si on est pris d’une fringale, on peut même manger cette bulle en forme de figue puisqu’elle contient de l’acide alginique, la rendant totalement comestible.

    ECOLOGIQUE

    Les créateurs mettent le doigt sur un fait réel : de plus en plus de personnes boivent de l’eau à partir de bouteilles jetables. « La réalité est que nous buvons de plus en plus d’eau avant d’en jeter la bouteille en plastique. Quatre-vingts pour cent (de ces bouteilles) ne sont pas recyclables. Ce consumérisme est un reflet de la société dans laquelle nous vivons », estime encore Rodrigo Garcia Gonzalez. En repensant le contenant, il est possible de réduire les coûts. Pour les entreprises, ce qui coûte cher, c’est le contenant en soi, la bouteille en plastique. Les bulles Ooho peuvent être fabriquées pour 2 cents seulement, assurent les designers.

    QUELQUES INCONVÉNIENTS

    Actuellement, les Oohos ne sont pas encore commercialisés, mais les trois étudiants prédisent une application immédiate lors d’événements sportifs. Les bulles d’eau seraient plus facilement transportables et génèreraient moins de déchets. On s’interroge toutefois sur leur transport : comment les emmener sans les salir ou les abîmer, au fond d’un sac par exemple ? De plus, est-il aisé de se désaltérer en buvant au travers un petit trou, sans en mettre partout ? Mais même si les entreprises n’optent pas pour les Ooho écolos, les créateurs espèrent que « les gens fabriqueront leur emballage eux-mêmes à domicile ». « N’importe qui peut en faire dans sa cuisine, en modifiant et en innovant la recette », conclut Rodrigo Garcia Gonzalez. 
    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-10181-Les-bulles-d-eau-a-boire-des-contenants-revolutionnaires.html
     
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  • Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    La crampe musculaire peut survenir après une séance d’entraînement mais aussi quand un membre est resté trop longtemps dans la même position. Pour soulager la douleur, essayez les remèdes suivants.

    Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    Remèdes naturels contre les crampes musculaires

    La sollicitation excessive d’un muscle, la déshydratation, le stress ou la fatigue peuvent provoquer une crampe musculaire. Cependant, si vous êtes prise d’une crampe douloureuse au mollet durant la nuit ou si un muscle se bloque sans raison apparente, le problème vient habituellement du système nerveux, qui envoie un signal de contraction musculaire erroné.

    Ce que vous pouvez faire pour soulager une crampe

    • Appliquez un coussin électrique ou une serviette chaude sur le muscle douloureux afin de le détendre et augmenter l’apport de sang dans les tissus touchés. Réglez-le à basse température, laissez-le en place 20 minutes et ménagez un intervalle de 20 minutes avant de l’appliquer de nouveau.
    • Prenez une longue douche chaude ou un bain. Pour détendre davantage vos muscles, ajoutez une demi-tasse de sel d’Epsom à l’eau du bain.
    • Repérez l’épicentre de la crampe. Exercez une pression sur ce point avec votre pouce, la base (ou talon) de votre main ou votre poing. Appuyez 10 secondes, relâchez et appuyez de nouveau. La douleur devrait être tolérable, signe que vous faites la bonne chose. Au bout d’un certain nombre de répétitions, elle devrait diminuer graduellement.
    • Il se pourrait que vos crampes musculaires soient dues à une carence en électrolytes– potassium, sodium, calcium et magnésium. Vous n’avez probablement pas besoin de prendre plus de sodium, mais vous auriez peut-être intérêt à augmenter votre consommation des trois autres minéraux. Le pain et les céréales complètes, les fruits à coque (noix, noisette, etc.) et le haricot sont de bonnes sources de magnésium. Quant au potassium, il y en a dans la plupart des fruits et légumes, particulièrement dans la banane, l’orange et le melon brodé. Enfin, les produits laitiers fournissent ducalcium.
    • Si l’exercice provoque des spasmes, prenez au moins deux tasses d’eau deux heures avant vos séances, puis 125 à 250 ml tous les quarts d’heure durant la séance. Si vous transpirez abondamment, une boisson pour sportifs, par exemple le Gatorade, vous permettra de refaire vos réserves d’électrolytes.
    • Pour prévenir les crampes nocturnes des mollets, évitez autant que possible de pointer les orteils durant la nuit. Évitez en outre de trop serrer vos draps et couvertures, ce qui risque de provoquer une tension dans les orteils et de déclencher une crampe.

    Stimulants naturels pour le traitement des crampes

     

    • Mélangez une partie d’essence de wintergreen avec quatre parties d’huile végétale et massez le muscle touché avec cette préparation. L’essence de wintergreen contient du salicylate de méthyle, composé qui soulage la douleur et stimule la circulation. Vous pouvez en appliquer plusieurs fois par jour, mais n’utilisez pas un coussin chauffant en même temps; vous risqueriez de vous brûler la peau.
    • Pour prévenir les crampes nocturnes, prenez de la vitamine E. Selon les résultats d’études, cette vitamine améliore la circulation artérielle.
    • Comme les crampes musculaires sont souvent causées par la déshydratation, buvez plus d’eau si vous êtes sujette à en faire.

    http://www.plaisirssante.ca/ma-sante/sante/remedes-naturels-contre-les-crampes-musculaires

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  • L'hémostase regroupe les différents mécanismes assurant la prévention des saignements spontanés et l'arrêt des hémorragies en cas de rupture de la continuité de la paroi des vaisseaux sanguins.
    Plusieurs acteurs interviennent dans cette fonction physiologique essentielle de la vie : la paroi du vaisseau, les plaquettes (petites cellules circulant dans le sang), le système  de la coagulation (qui comprend les facteurs de coagulation présents dans le plasma - partie liquide du sang - et de la fibrinolyse). En fait, il s'agit de combler ce que l'on nomme une brèche vasculaire (rupture du vaisseau) par un caillot afin d'arrêter l'épanchement de sang à l’extérieur des vaisseaux sanguins. Schématiquement, ce caillot peut être figuré par un mur constitué de « briques » - les plaquettes qui adhèrent les unes aux autres - et de ciment - la fibrine résultant des nombreuses étapes de la coagulation souvent appelées cascade de la coagulation en raison des étapes successives - pour en consolider la structure. Une fois la paroi vasculaire consolidée, ce caillot doit disparaître par action d'un autre phénomène, la fibrinolyse.


    Une anomalie congénitale ou acquise au niveau d'un ou plusieurs des acteurs de l'hémostase, notamment au niveau des facteurs de la coagulation, peut prédisposer à des accidents hémorragiques.


    L'hémostase est mise à l'épreuve plusieurs fois par jour à l'occasion de rupture de fins vaisseaux, soit par traumatisme, soit par variation de la pression sanguine, mais chez le sujet normal, l'arrêt rapide du saignement explique l'absence de traduction clinique de ces petits accidents.

     

    http://bef.novonordisk.be/documents/article_page/document/Hemostase_questceque.asp

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  • Les différents types de maladies du côlon

    Les maladies inflammatoires du côlon sont le plus fréquemment des atteintes du tube digestif. Rapide tour d’horizon des pathologies les plus diagnostiquées.

    Les anomalies les plus observées chez un sujet  atteint de diverticulose colique se révèlent  par d’anormales petites cavités qui se forment à l’intérieur de la paroi intestinalechez des sujets constipés. Ces affections  sont liées à l’effort d’une forte poussée pour évacuer les selles et ressortent aux endroits où la paroi musculaire intestinale est le plus affaiblie et sensible. Apparaissent alors de petites cavités qui se transforment en  niches à bactéries pouvant s’enflammer et causer des diverticules accompagnées  de spasmes et de fièvre. Les principales causes favorisant  la survenue  de ces diverticules sont la constipation et une alimentation trop  pauvre en fibres.

     

    Chez les sujets qui souffrent de côlon irritable, c’est le mouvement général du côlon qui est touché. Les symptômes adviennent  dans des circonstances où l’anxiété est importante et sont accompagnés de douleurs, d’une sensation de ballonnement et d’une alternance de constipation et de diarrhée ou encore  d’une aérophagie.

    Concernant le cancer ?

    Le cancer du côlon demeure l’un des cancers qui sévit le plus spécifiquement dans les pays industrialisés. Les principaux facteurs impliqués sont la formation de polypes et les antécédents familiaux. Ce qui devrait inciter à faire assez régulièrement un contrôle par coloscopie.

    Les polypes intestinaux sont une sorte d’excroissances qui naissent aux alentours de la muqueuse intestinale et peuvent causer à la longue d’importants saignements ou évoluer vers un cancer du côlon, d’où l’urgence de les éradiquer  lors de la pratique d’une coloscopie.

    Il existe d’autres maladies inflammatoires du côlon moins contractées dont

    • La rectocolite hémorragique  qui touche tout ou une partie du côlon ;
    • La maladie de Crohn caractérisée par un rétrécissement d’une partie du côlon et d’une inflammation touchant certaines parties.

    À noter que les deux maladies chroniques directement impliquées dans la survenue d’un cancer colorectal sont la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, communément appelée aussi colite ulcéreuse. Ces deux maladies présentent des similitudes, à quelques différences près. Toutes deux sont des maladies inflammatoires se manifestant par des périodes de crises et suivis de périodes de rémissions pendant lesquelles les symptômes disparaissent totalement.

    Les principaux symptômes se déclenchent suite à  un saignement anal, des douleurs abdominales et de la diarrhée.

    La rectocolite hémorragique affecte le côlon mais aussi le rectum. Tandis que la maladie de Crohn touche quasiment toujours l’intestin grêle et peut se répandre sur n’importe quelle partie du tube digestif, de la bouche à l’anus.

    http://www.ifsip-ouarzazate.com/2200-les-maladies-du-colon

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  • Pendant longtemps on a considéré que les facteurs environnementaux n’influaient pas sur notre ADN. On sait aujourd’hui que ces facteurs peuvent affecter l’expression de certains gènes en jouant sur leur état chimique, donc sur leur niveau de production : c’est l’épigénétique.

    Des chercheurs de l’université de Lund (Suède) ont analysé les cellules productrices d’insuline de patients en bonne santé et de patients atteints de diabète de type 2.

    Des centaines de gènes concernés chez les sujets diabétiques

    Ils ont pu mettre en évidence des changements épigénétiques sur plus de 800 gènes chez ceux qui développaient la maladie. Plus d’une centaine de ces transformations pourraient contribuer à réduire la production d’insuline, une des causes du diabète de type 2.

    Des transformations épigénétiques qui affectent la production d'insuline

    Pour savoir si ces modifications sont une cause ou une conséquence du diabète, ils ont montré que les mêmes modifications pouvaient apparaître chez des sujets sans diabète mais âgés ou ayant un IMC élevé. Lestransformations épigénétiques contribuent donc bien à la baisse de production d’insuline.

     

    L’intérêt est que les changements épigénétiques sont réversibles, ce qui ouvre la voie à la recherche de traitements capables d’induire des modifications épigénétiques pour rétablir une production suffisante d’insuline.

    Source : PLoS Genetics 06 Mars 2014

     

    Auteur : Loïc Leroux
    Crédit photo :  
    © Vasiliy Koval - Fotolia.com

     

    http://www.afd.asso.fr/actualites/les-facteurs-epigenetiques-impliques-dans-le-diabete-de-type-2-005717

     

     

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  • J'ai mal dormi et j'ai une sale tête! La faute à la rétention d'eau

    08 avril 2014 - Auteur : Catherine Decock

    Après une nuit trop courte, la tête que l'on affiche devant le miroir peut parfois faire peur. Teint terne, yeux gonflés et rouges, paupières tombantes, peau ridée: cette mauvaise mine est due à une rétention d'eau.
    Selon une étude publiée dans le journal Sleep et relayée par The Huffington Post, les personnes qui font une nuit de 8 heures ont meilleure allure et semblent en meilleure santé que ceux qui manquent de sommeil ou qui sont victimes d'insomnies. 

    PROBLÈME DE DÉSHYDRATATION

    Pour le docteur Sherrif F. Ibrahim, professeur adjoint du département de dermatologie de l'université du Centre médical de Rochester, la rétention d'eau est à l'origine de ce teint brouillé. Par ailleurs, le fait que la peau des paupières soit la plus fine de notre corps entre également en jeu. "Tout changement du taux d'hydratation, qui se produit notamment quand on fait de la rétention de sel parce qu'on a trop mangé la veille, se répercute sur cette fine peau. Les effets se verront beaucoup plus que sur la peau du reste du corps", explique le spécialiste. La déshydratation creuse les yeux, tandis que la surconsommation de sel produit de la rétention d'eau et engendre des yeux bouffis.

    LA VALLÉE DES LARMES

    Le docteur Ibrahim ignore toutefois le processus complet qui lie le manque de sommeil à la rétention d'eau. Il suppose que ce lien pourrait avoir un rapport avec les raisons pour lesquelles une personne s'est endormie tard la veille. "Généralement, quand les gens restent éveillés jusqu'à une heure tardive, s'ils font quelque chose, la plupart du temps ils boivent, ils font la fête ou ils pleurent. Cela contribue largement au fait que les yeux soient gonflés", avance-t-il. Il assure par ailleurs que les cernes sont également dues à la rétention d'eau. Quand on est déshydraté, la couleur des vaisseaux sanguins est plus prononcée.

    L'âge est aussi responsable d'une mine moins éclatante. "Quand les gens vieillissent et passent la quarantaine, ils perdent du volume autour des yeux. Se forme alors ce qu'on appelle 'la vallée des larmes' qui crée une ombre juste à la jointure entre la joue et la paupière. Cet effet rend la cerne encore plus sombre", lit-on dans The Huffington Post.

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-10152-J-ai-mal-dormi-et-j-aiune-sale-tete-La-faute-a-laretention-d-eau.html

     

    Ce livre, fondé sur de nouvelles découvertes, vous démontre comment le manque d'eau dans votre corps - la déshydratation chronique - est à la base d'un très grand nombre de maladies dégénératives comme l'asthme, l'hypertension, la surcharge pondérale et même de quelques problèmes émotionnels telle la dépression. Ce livre vous propose d'apprendre à utiliser l'eau pour : prévenir et inverser un vieillissement précoce ; éliminer certaines douleurs comme les brûlures d'estomac, les lombalgies, l'arthrite, les coliques, l'angine et les migraines ; soigner l'asthme ; soigner l'hypertension ; perdre du poids naturellement, sans régime strict. Un livre indispensable à toute personne soucieuse de sa vitalité et de sa bonne santé ! 

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  • Qu’est-ce que le torticolis spasmodique ?

    Le torticolis spasmodique est une forme de dystonie localisée.
    Il concerne les muscles du cou, provoquant une attitude de la tête en rotation (torticolis), en flexion (antécolis), en extension (rétrocolis) ou en inclinaison(latérocolis).

    Ces trois formes de dystonie sont souvent regroupées sous l’appellation torticolis . L’adjectif spasmodique est souvent employé pour souligner l’effet de spasme et la gravité de la maladie qui provoque des tremblements chez de nombreux patients.

    Qui souffre de torticolis ?

    Le torticolis frappe aussi bien les hommes que les femmes de n’importe quelle tranche d’âges, bien qu’il soit plus commun chez les personnes de cinquante ans. On pense qu’environ 3 personnes sur lO.OOO en souffrent.

    Quels sont les symptômes du torticolis ?

    Les symptômes du torticolis évoluent progressivement. Au début, le patient s’apercevra peut-être que sa tête se met à s’incliner pendant une conversation ou lorsqu’il se promène, conduit ou essaie d’écrire. Il remarquera que sa tête tremble, notamment quand il essaie de lutter contre une contraction ou une inclinaison involontaire.
    Petit à petit et d’une façon plus ou moins permanente, la tête risque de s’incliner sur un côté, de s’abaisser vers une épaule ou de se pencher en avant ou en arrière.

    Parfois le torticolis s’accompagne d’une douleur au niveau de la nuque ou des épaules. Quand le torticolis ne peut pas être réduit par le mouvement volontaire, le patient aide souvent sa tête à reprendre une position normale en appliquant un doigt sur la joue du côté de la rotation de la tête (geste antagoniste) ou du côté opposé à la rotation (geste paradoxal).

    Le torticolis peut présenter des symptômes qui peuvent être plus ou moins bénins ou graves.

    Lorsque le patient est stressé, les spasmes risquent de s’aggraver et peuvent devenir douloureux.

    Quelles sont les causes du torticolis ?

    Comme pour les autres formes de dystonie, on ne connaît pas encore les causes du torticolis. Cependant, on pense qu’il provient d’un déséquilibre chimique ou défaut de câblage dans les noyaux gris situés dans la partie du cerveau qui contrôle nos mouvements. Ces noyaux gris émettent des signaux incorrects et, en conséquence, ce sont les mauvais muscles qui se contractent quand nous essayons de bouger ou bien nos muscles se contractent involontairement.

    Vais-je souffrir du torticolis toute ma vie ?

    Il est possible que votre torticolis s’aggrave pendant plusieurs années avant de se stabiliser. Cependant, entre 5 à lO % des personnes qui en souffrent voient leur état s’améliorer ou leur maladie disparaître complètement sans raison apparente ; mais dans de nombreux cas, le torticolis réapparaît après une période de rémission
    de plusieurs mois ou de plusieurs années.

    Le torticolis peut-il s’étendre à d’autres parties du corps ?

    En général, le torticolis ne frappe que les muscles du cou, mais occasionnellement certains patients sont également frappés de blépharospasme ou d’autres formes de dystonie localisée comme la crampe des écrivains ou la dysphonie spasmodique (spasmes des cordes vocales).

    Que dois-je faire si je crois souffrir de torticolis ?

    Si vous croyez souffrir de torticolis, vous devez consulter votre médecin généraliste. Il vous enverra chez un neurologue qui vous fera subir des analyses plus poussées et vous prescrira un traitement approprié.

    Quelles formes de traitement existe-t-il ?

    Les principaux traitements qui vous seront sans doute proposés sont l’administration de médicaments, des injections de toxine botulique et la rééducation. On est rarement obligé de faire appel à la chirurgie.

    Quels sont les médicaments prescrits ?

    Certains patients réagissent bien à des médicaments comme les anticholinergiques, les benzodiazépines ou la carbamazé pine. Plusieurs d’entre eux enrayent efficacement la douleur liée au torticolis et réduisent également les inclinaisons et tics involontaires. Cependant, de tels médicaments doivent être administrés à long terme et il n’est pas rare de souffrir d’effets secondaires sans pour cela obtenir des résultats toujours satisfaisants.

    Qu’est-ce que la toxine botulique ?

    Au cours des dernières années, un nouveau traitement sous la forme d’injections de toxine botulique a amélioré les perspectives d’avenir des personnes souffrant de torticolis. On injecte une dose infime de cette substance dans les muscles du cou et des épaules. Le traitement agit en affaiblissant les muscles responsables des contractions et peut être efficace pour réduire les mouvements anormaux de la tête et du cou et soulager la douleur. L’effet des injections dure en général deux à trois mois ; il faut donc répéter le traitement à intervalles réguliers.

    Les effets secondaires, rares et toujours passagers, comprennent des difficultés à avaler et à parler et une possible diminution de la force des muscles du cou, mais ceux-ci disparaissent en général au bout d’une semaine ou deux.

    Que puis-je faire pour essayer d’enrayer cette maladie ?

    Les démarches personnelles, comprenant les techniques de relaxation, l’homéopathie, l’acupuncture et une surveillance alimentaire, ne semblent pas apporter de réels bénéfices aux personnes atteintes de torticolis. Comme avec les autres formes de dystonie, il est important d’avoir une attitude positive, c’est pourquoi la rééducation joue un rôle important. Essayez de vous informer le mieux possible sur le torticolis et de parler à d’autres personnes qui en sont atteintes, cela vous aidera sans doute à accepter votre maladie et vous permettra d’apprendre à faire face  aux symptômes.

    Il est important que votre famille et vos amis vous aident. Il leur serait peut-être bénéfique d’en savoir davantage sur la dystonie et le torticolis afin de mieux comprendre vos problèmes.

    Il existe des associations de malades souffrant de dystonie qui peuvent vous aider et vous soutenir, ainsi que votre famille.

    Vous pouvez en demander les coordonnées à votre médecin.

    http://www.amadys.fr/2009/12/05/le-torticolis-spasmodique/

     

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  • Une patiente se fait greffer un crâne en plastique

    Une jeune femme de 22 ans s'est fait remplacer une partie de sa boîte crânienne par une copie en plastique, une première mondiale réalisée par une équipe médicale de l’université d’Utrecht, aux Pays-Bas. Imprimé en trois dimensions (3D) à partir d'une modélisation, l'implant de substitution est une réplique fine du crâne originel.

    Lire la suite...

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